Airô Tora Chuunin de Kiri
Nombre de messages : 287 Age : 32 Localisation : Kiri...kou ? Date d'inscription : 15/05/2007
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| Sujet: [Habitation] La grande demeure de la famille Tora ( Airô ) Sam 26 Mai - 14:30 | |
| La demeure de la famille de Airô de la branche Tora du clan des Aïnus se situait à la périphérie du village. C'était une grande batisse, à laquelle s'ajoutait deux batîments annexe, une bibliothèque, et un petit dojo. La grande maison comprenait toutes les pièces d'une maison banale de Kiri comme des autres villages d'ailleurs. Le style kirisien ressortait dans cet maison, les volets et les portes étant peintes en bleus pour perpétuer la tradition qui voulait que les pêcheurs, pour économiser de l'argent et ne pas gaspiller la peinture restante de la coque de leur bateau, peignait leur volet et leur portes en bleu. Cette peinture enduisant par la même occasion le bois de ses portes et de ses fenêtres d'une couche protectrice qui est normalement prévu pour la coque des bateaux. La bibliothèque n'était rien comparé à celle de Kiri, mais on pouvait y trouvé différentes sortes de livres sur les ninjas, allant des histoires épiques aux livres de méthode (ceux-ci y était moins présent, car il n'était pas délivrer très facilement, renfermant des secrets sur des techniques, qui ne peuvent être divulgués à tort et à travers. le dojo est décoré de nombreux Katana qui ont en parti fait la renommée de la famille. | |
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Airô Tora Chuunin de Kiri
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| Sujet: Re: [Habitation] La grande demeure de la famille Tora ( Airô ) Jeu 24 Jan - 21:31 | |
| Airô s’était levé avant l’aube, réveillé par son plus fidèle ami, Kawabata. La brume épaisse enveloppait encore le village de Kiri, l’humidité de l’air embuait les vitres de sa chambre à cause du contraste de température avec l’intérieur. La douce chaleur qui régnait dans la chambre protégeait le jeune homme du froid extérieur. Il regardait tranquillement la brume au dehors emmitoufler dans sa couverture, laissant ses sens s’éveiller un à un. *Quel bonheur que de se réveille au petit matin dans une atmosphère familière, le corps sain, l’esprit vide de toute préoccupation pouvant s’ouvrir au monde qui s’éveille lui aussi de sa torpeur matinale. Chaque petit plaisir nous paraît le comble de la joie au réveil, tout est si enivrant, si merveilleux que l’on aimerait vivre ainsi pour l’éternité.*Sortant de sa vision féérique matinale, il se leva face à la fenêtre observant le jour qui se profilait derrière la brume et qui n’annonçait plus d’occupation qu’il ne le souhaitait, préférant se prélasser avec son ami près d’une des nombreuses rivières qui traversait l’île du village. *Même si l’envie de sortir ne me repousse pas, continuer l’entraînement aujourd’hui ne m’enchante pas vraiment. Pourquoi faut-il toujours tenter d’atteindre les sommets ? Pourquoi, nous, être humain visons toujours la gloire, la réussite, la fortune ? Pourquoi ne nous contentons-nous pas d’une modeste vie, ponctuée de petit plaisir qui chaque jour nos rende plus heureux ?*L’air pensif, s’appuyant contre son armoire en regardant la rue dont les contours se dessinaient au gré de la brume, le trottoir disparaissant quelques instants pour réapparaitre plus loin, les échoppes aux enseigne encore endormie se cachant des regards de rares passant dont le travail venait de se terminer. Sous cette ville encore étouffée par la brume, le jeune Tora s’éveillait. Mélancolique, philosophe, il observait le monde tourné, se construire sous les premiers rayons de soleil pointant à l’horizon, lisant entre les lignes du destin l’avenir du monde pour le diriger par sa clarté. « Finalement, je crois que cette journée ne commence pas si mal mon ami. L’entraînement d’aujourd’hui sera rude, mais nous n’en n’apprécierons que mieux le repos de ce soir. Allez, viens, partons au devant de cette belle journée que rien ne pourra, si nous le décidons, venir gâcher sa clarté. »Les deux amis, une fois préparé, le déjeuner engloutit en toute hâte, le sac remplit de quelques provisions et autres objets dont il aurait besoin, il partit rejoindre son terrain d’entraînement éclairé par la beauté du jour dont les premiers rayons transperçaient la brume du village. Entraînement aux roseaux de l'enfer | |
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