Comme prévu, je vous propose donc un personnage. Voici donc son background précédé de sa fiche signalitique.
Nom: Tokugawa
Prènom: Ranmaru
âge: 18 ans
Nindö: Obtenir justice et liberté. Pouvoir se débarasser de son lourd fardeau dans le but de rejoindre la "grande dame".
Village ésperé: Nuke-nin.
Son apparence: Ranmaru a tout d'un type banal. Sa musculature
n'épaterai aucune fille, son visage peu sembler banal. Selon la saison
ou les missions il peut porter un grand pantalon de toile noir, avec un
t-shirt en résille noir aussi recouvert d'un imper déchiré et un plus
coloré tel que du brun ou du gris; Parfois, il peut arborer une tenue
plus traditionelle. ses cheveux sont courts et chatains foncés. son
corps est maigre et voir même peut-être maladif. Si Ranmaru attire ce
n'est pour son physique ou alors il ne va attirer que la curiosité...
Aspect psychologique: Je préciserai si vous avez besoin mais je
préférerai que vous vous fassiez votre idée à l'aide du background...
Son histoire....
« C'est quand même
moche la vie. Tout le monde s'y accroche alors qu'il n'existe rien de
plus fragile. »
Ranmaru était accroupi devant le
corps d'un genin d'Iwa. Sa gorge lui faisait mal, l'émotion
sans doute. Il posa sa main droite sur le visage de son ami: Comment
cela a-t'il pu se produire..? Il y a deux jours ce garçon
« tait encore plein de vie, enjoué; A présent
son sans vie gît sur ce sol rocailleux>. La main gauche de
Ranmaru farfouilla dans son imper et en sortit une cigarette.Il pleuvait à torrent,le tonnerre menaçant grondait au loin... *1.2.3.4 il se
rapproche. *
« C'est quand même
moche... »
Ranmaru regardait ce ciel gris, pensif, perdu
dans ses pensées et dans l'horreur. Les cieux, gris de fureur,
infligeaient son courroux à la terre, beaucoup d'éclairs
étaient tombés ce soir, beaucoup de shinobis sont
tombés eux aussi.
« c'est quand même
moche... »
*Une mission de routine?! Tu parles! *
Il se releva, epousta son imperméable et regarda autour de
lui. De la montagne, que cette putain de
montagne. Iwa c'est magnifique en automne mais qu'es ce que c'est
pourri en Hivers! Le froid cinglant le prenait à la gorge,
rougissant ses joues et gerçant ses lèvres. Ses mains
engourdies avaient adopté une couleur bleue, violet. Il secoua
sa tête; comme pour sortir d'un mauvais rêve; La réalité
lui semblait bien pire que ses cauchemars.
« C'est quand mêmemoche »
Il fallait protéger
les frontières, tu parles! Nous n'étions que de la
chair à canon et à présent nous étions
tous morts... Tous?! Non, j'étais encore en vie.
« Être le dernier debout, c'est quand même moche. »
Il entreprit de marcher un peu: Pour
trouver quelqu'un à sauver ou un shinobi d'en face à
finir. Ses pas étaient lents et mal
assurés. Sa cheville le faisait souffrir, son épaule
gauche ne lui répondait plus et son visage était
couvert de sang. Non! De Son sang. Ranmaru était de taille
moyenne, de constitution faible, voir malingre. Il escaladait avec
difficulté cette roche si friable et si fragile. Parfois, unéclair venait éclairer
son visage désespéréet tendu: Ses traits étaient marqués par la douleur et
la fatigue. Ses cheveux tombaient tels des baguettes de tambour sous
le poids de la pluie battante. Une fois en
haut de cette colline si difficile d'accès, il s'arrêta
un instant, interdit devant le massacre. Des corps de shinobis et de
civils jonchaient le sol. Une marée de sang et de corps: L'eau
qui ruisselait était rouge-marron, teintée par la boue
et le sang. Il saisie à nouveau son paquet de cigarettes.
*Vide *
« Quelle journéepourrie »
Il lâcha nonchalammentle paquet. 5 oiseaux argentés se ruèrent sur lui. Le
paquet frappa le sol en même temps que les kunais frappaient
son dos. Il fut secouer par un spasme, un gerbe de sang, expulsé
de sa bouche, alla se mêler au sangde ses frères. Il tomba d'un coup, son corps fit un bruitsourd quand il s'écrasa contre laroche, dans les bras de la grande dame. Il avait le visage figé sur le ciel, deux fins filets de sang s'écoulaient par lescommissures de sa bouche. Ses larmes semêlèrent aux sang et àla pluie dans un tourbillon lent et régulier. Sa vie lui
échappait:
« Mourir en se faisant
abattre de dos, sous une pluie battante et
avec aucune clope au bec: c'est quand même moche... »
« Maman, maman! Regarde! »
Un petit garçon montrait à sa mère un papillon.
Nous sommes au village D'Iwa no kuni, je
jeune Ranmaru a alors quatre ans. Le garçon courait après
la magnifique bête multicolore. Dans
sa course folle, il heurta un homme, grand, bien charpenté, le
bandeau des shinobis d'Iwa reflétait
le soleil et oublis sa un instant Ranmaru.
« Papa! Maman, papa est rentré! »
Chez les Tokugawas on était ninjade génération en génération, c'était
du sérieux, on sert le Kage jusqu'aubout, jusqu'à notre mort...
Il sauta au coup de son père, cemagnifique chuunin, qui était le héros
inconditionnel du petit garçon.
« Papa, tu restes combien detemps cette fois? »
Le chuunin ne répondit pas, le silence était lourd, lourd de sens. Il balaya lesourire du garçon comme le vent balaye une feuille morte. Il
avait compris: que son père partait lelendemain. Ranmaru était donc destinéà être un shinobi, un grand expert de taïjutsu
comme son père; Lui il aurait aimé être peintre,
ou romancier peut-être, mais un Tokugawa mâle n'avait
aucun choix: Shinobi ou rien!
Il entra à l'académie,mais la famille ne tarda pas à déchanter:
Ranmaru n'avait aucune aptitude pour le taïjutsu; Ses tests d'aptitudes montrèrent néanmoins,une facilité à malaxer le chakra: il fut donc accepté.
Pendant ses cours, Ranmaru rêvassaitsouvent les yeux rivé sur la montagne que l'on voyait àtravers la fenêtre. Les montagnesbordaient le village, en grandes sentinelles imperturbables,puissantes et vigilantes. Il se voyait déjà au sommetd'une de ces collines, le pinceau à la main peignant « Son »
Iwa. En cette période, la végétation mangeaitlittéralement , couvrant la « grande dame » d'une robe verte, pleine de vie et de bourgeons.L'odeur du renouveau planait, la faunebatifolait et ce papillon coloré,libre comme l'air aux couleurs chamarrés,hantait ses rêveries. En automne, la robe de la « grande dame » était plus triste, mais plus fascinante. Le
voile mordoré était si prenant, hypnotique, embaumant
tout le village d'odeur de feuilles mouillées et d'humus battu
par le vent.
« Ranmaru! Ca t'embête
ce que je t'explique?! Récites moi..... »
*Merde! Pour donner
sa vie à Iwa, il faut l'aimer putain! Ce pays, personne ne
l'aime comme moi, personne ne distingue autant les nuances des
montagnes, de la « grande dame ».Se promener nue-pied sur le lichen
et la mousse, les yeux dans les yeux avec
la « grande dame ». Personne n'aime Iwa ainsi.
J'aurai tout donner pour vivre dans ces hauteurs, vivre et avoir pour
seule inspiration la « grande dame » *
La grande place, l'académie enfête en arrière plan, une poignée d'élèves sont à l'honneur. Tout Iwa est là, les pleures desmères de familles forment une nuées de gouttesfantastiques. Toutes ont un mouchoirs à la main, les yeux rougis par les larmes et le sourire empruntde fierté; Mon camarade de gauche lui, bombe le torse,fier comme un pape, alors que mon voisin de droite retient ses larmes de jouet avec un succès des plus discutable. Moi, je fixe la grande dame, j'ai l'outrecuidance de penser qu'elle m'observe, fière et ravit. Ma mère fondit en larme à l'instant ou mon professeur s'approche de moi, le bandeau protecteur à la main. Elle retiens son souffle, quand d'un geste lent et nonchalant, je le serre un peu au dessus du coude droit; Ce soir, j'aurai le droit à un grande fête, car maintenant je suis un homme,
du moins, selon mon père.
*Être adulte à 14ans... Je suis pas surque... Disons, avoir le permis de tuer à cet âge! Et puis quoi? Se prendre pour dieu le père à 30 ans... Du moins cela reste une suite logique. *
On m'avais intégré dansune équipe « d'élite ». Disonsque pour être franc il y avait « une élite »et trois suiveurs... Mariko était notre chef d'équipe,
enfin officiellement car l'élite c'était pas elle. Son truc c'était la tatane exprès avec supplément de coup de boule. Moi mon truc c'était les illusions, le genjutsu. Rien de plus logique, toute ma vie j'ai fait illusion: d'être heureux de devenir shinobi, d'être fier de suivre les traces de mon père, d'être vivant... Le génie c'était Kojiro, il était bon en tout sauf pour le travail d'équipe dirons nous. Tout le monde avait été clair: Valait mieux que dix autres génins meurent à sa place, c'était un atout de choix qu'ils
disaient. Sa phrase fétiche c'était:
« Regardez moi faire, ilssont 5, prenez-en de la graine, vous les faibles. »
Après quelques annéesde bon et loyaux services, la guerre arriva à grand pas. J'avais alors 17 ans. J'ai pas tout compris, il semblerai qu'on ai frappé les premier, et qu'on ait frappé fort! Iwa supposa alors qu'il y allait avoir une
répression. Alors il envoya plusieurs équipes de génins aux frontières avec
Kusa no kuni. Nous étions toujours sensé être un groupe d'élite... Sauf que par prudence, nos cher senseïs ont décidé que notre fameuse élite devait rester à Iwa car il avait mieux à faire. On ne nous en a pas dit plus. Donc nous, élites je le rappel, nous devions contrer l'élite de konoha et de Suna. Ben tiens... Ce ne fut pas un combat mais bel et bien un massacre... Ma
chance fut, de me faire éjecter du combat, et d'être précipité au fond d'une crevace... Mais la grande dame était de mon coté, j'étais blessé
à bien des endroits mais elle m'avait sauvé la vie...
Je me réveilla. Je mis un temps fou pour remonter la pente. Une épaule et une cheville en vrac: ça aide pas. Une fois monté, je peux
constaté l'horreur... Le troisième membre de notre équipe, juste devant, brûlé, écorché, tailladé de toutes parts. Je m'accroupis et je fermai ses yeux.....
« Ahhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! »
je venais de me réveiller je ne sais où. Mon dos me faisait souffrir le martyr mais je criais pour expulser ces visions et ces cauchemars.
J'étais nu dans un lit petit mais confortable. Mes affaires rapiécées et lavées était posées là sur une chaise. Une vieille femme me regardait et m'avoua de but en blanc:
« Je n'ai pu sauver que toi... Demain tu dois partir, la région
n'est pas sure.... »
« A peine rétabli et déjà foutu dehors, ça promet. Ou aller... Iwa,
il vont payer ainsi que suna et konoha. Kiri était avec eux je
crois... Nuke-nin? C'est encore, je crois, ce qu'il y a de mieux...
avant tout, je dois acheter des clopes.... »
_______________________
Quand à la fiche de personnage, je n'ai trouvé de barème précis pour les déserteurs. J'ai juste compris qu'ils commençaient génin. Voilà, si quelqu'un pouvait éclairer ma lanterne si-il-vous-plaît cela serait sympa. Merci à vous.
Edit: J'ai un souci de couleure et mise en page à cause de mon copié collé sortit de word.... J'essaye de resoudre le souci, merci ^^
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Mar 27 Mar - 11:24
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