Chihiyo Naki : Du désert qui fait frontière

Chihiyo avait franchit les portes de Suna, elle courrait comme si quelqu’un l’avait remarqué. Comment dans un village désert quelqu’un pourrait-il l’avoir vu ? Elle montait avec difficultés les dunes, le sable glissait, l’emportant avec lui, donc à chaque pas, elle reculait de deux… Elle décida de faire l’impasse de tout ça et de se calmer. Elle marcha, péniblement sous le soleil qui martelait sans retenu le crâne de la kunoichi. La progression dans le sable était dure. A chaque pas, ses geta s’enfonçaient un peu plus dans le sable, multipliant l’effort à fournir. Sauf que cette fois, Chihiyo était déterminée. Elle marchait, encore et encore, sans se soucier des conséquences de ses actes. Elle savait qu’aussitôt que sa mère l’aurait appris, Chihiyo marchera sur un fil… Mais à quoi bon ? Elle marchait.
Pas un souffle d’air, pas un bruit, un silence pesant à vous rendre fou. La jeune femme avançait sans n’avoir d’eau à boire, ni une chose quelconque à manger. Mais son honneur tait en jeu, elle qui était orgueilleuse comme il n’en est pas possible. Pas question de revenir en rampant à Suna.
Elle avait progressée mine de rien. Elle était à présent sur la plus haute dune, la dernière aussi. Elle se retourna, faisant face à Suna, et y jeta un regard noir, avant de se laisser glisser sur le sable, épuisée. De cette manière, elle descendit de façon rapide l’importante montagne de sable. D’ailleurs, elle fut rassurée, car lorsqu’elle fut arrivée en bas, elle vit de petit gravier… Qui se mêlaient au sable, ce qui signifiait que bientôt elle en aurait fini avec toute cette poussière. Plus elle avançait, plus elle rencontrait de rocher, et moins de sable. Rien que ça, elle souriait satisfaite. Elle avait quitté Suna et son désert.

A présent, elle marchait sur un sol dur, et non plus sur cette surface qui semblait lisse et ne l’était pas. Ca lui fit un bien fou au cheville. Le paysage était magnifique, devant elle, se dressaient des montagnes couvertes d’arbres et de plan de bambous. D’immense lieux boisés, ce qui signifiait à l’ombre. Elle s’avança, et son pied heurta une roche qui se mit à rouler. Sous cette roche se trouvait une petite brèche dans le sol, et un serpent en sorti. Chihiyo n’était pas vraiment impressionnée, et puis, elle n’avait pas de temps à perdre. Elle le contourna et reprit la route. Mais le serpent quant à lui était reconnaissant d’avoir était sorti de cette obscurité. Il la suivit et s’enroula autour de sa cheville. Chihiyo qui n’avait pas le temps à perdre avec un serpent fit un geste brusque pour le faire lâcher prise, et le serpent s sentant soudainement agressé planta ses quenottes pleines de venin dans la cheville de la jeune femme et partit, retourna en rampant dans son trou. Avant qu’il ne puisse retourner à l’abri, la kunoichi l’empala sur son kunai, et découpa sa tête et la mit dans son sac. En effet, Chihiyo, qui écoutait avant les cours de sa mère, savait se débrouiller en poison etautre. Pour le venin du serpent, pour l’identifier, il fallait la tête du serpent pour pouvoir déterminé quel effet le poison avait, et en combien de temps. Mais elle ne fit comme si de rien était, et avança.

Elle avait atrocement mal à la cheville. De plus, montrer une montagne à pieds, lorsque l’on avait mal, et que le moindre de nos efforts pouvait changer la durée maximale des effets du venin, elle peinait… La montée fut longue, et le temps perdu risquait de couper l’herbe sous le pied de Chihiyo. Du haut du mont, elle pouvait voir qu’il lui restait une forêt à traversait…

Dans un ultime soupir elle descendit, tombant à plusieurs reprises, glissant sur les gravats. La forêt n’était plus très loin… Elle avançait, tête de mule, sans dévier d’un cran sa route. Elle marchait à présent sur du plat, mais se heurtait à chaque arbre. Sur son front perlaient des goûtes de sueur, qui étaient provoquées par la bouffée de chaleur que le poison procurait à la kunoichi. Non loin d’elle se dessinait un sentier, non loin de là où peut avant Orochi était partie. Katsue était toujours dans l’arbre d’ailleurs. Chihiyo accéléra sa marche, et arriva sur le sentier.

Soudainement, ses jambes se figèrent, ses pieds lui semblèrent trop lourds pour les soulever. Sa vision se troubla, et d’un coup, ses jambes fléchirent. Elle tomba, et son bandeau de Suna se détacha et tomba deux mètres devant le corps inerte de Chihiyo.

Ranmaru était en patrouille quand il vit la femme en mauvaise posture... Après une discrete filature, cette dernière s'écroula....

*Putain mais c'est pas un moulin ici!*

Le jeune Ranmaru attendit un instant dans les arbres, sans mot dire, guettant le piège....

Rien ne bouge... Le génin approcha à pas de loup et toucha du bout du doigt le corps inerte de la jeune femme. Il murmura pour lui même

" Tu es... à... moi...."

Il saisit le bandeaud e Suna à terre et le fixa à coté de celui de konoha sur son bras... Il ligota la femme avec des fils serrés et la porta jusqu'aux portes du village....

[La suite à la case de Ryoko.]

Yop yop!

Etant à la recherche de divers info, je trainais par la lorsque je suis tombé sur cette présentation...

Pourquoi y'a pas toute les infos habituelle? Joueuse active ou non?

Ok.


Mais ça ne m'aide toujours pas pour le reste de sa présentation qui n'est pas présente ici...

Chihiyo Naki a écrit:

Nom : Naki

Prénom: Chihiyo

Age: 17 printemps

Description physique: [ plus bas u_u]

Nindô: Sadique comme elle l'est, Chihiyo est très attiré par la voie médicale... non pas pour soigner, non a un escient plus dérivé... Savoir qu'elle est capable de faire passer un homme de la mort à la vie, sous-entend qu'elle peut faire basculer un homme de la vie à la mort. Cette vision qui lui laisserait croire qu'elle a le droit de vie ou de mort l'amuse terriblement.

Histoire: [Je ne résumerais pas u_u"""""]

Aime: Elle aime jouer à manipuler les gens, faire d'eux des marionnettes. Une fanatique du caractère de sa mère, elle en est une copie presque parfaite... Elle aime qu'on lui fasse confiance et lui offre des responsabilité, ainsi qu'elle aime également faire connaître ses dons persuasifs.

N'aime pas: Chihiyo est une jeune femme qui a horreur de devoir jouer les femmes douces et gentilles... Mais elle le fait, juste pour avoir le plaisir de voir les gens croire en son hyppocrisie. Elle a également en horreur les gens qui hésite avant d'éxécuter un ordre.

[Demande d'adhésion à Suna]

Techniques :

Equipement :

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Description du personnage :
C’est une jeune femme de 17 ans, dénommée Chihiyo, Chihiyo de la famille Naki. Elle est facilement reconnaissable de silhouette, elle est grande, fine voire svelte, et à l’air fragile, mais marche avec assurance et la tête haut, fière. Sa peau, donnant un effet velouté, doux, et claire, ce qui ne veut pas pour autant dire qu’elle est albinos, ne cherchez pas les extrêmes. Les traits qui la dessinent sont fins, légers, les contours de son visage en sont une preuve. Délicatement tracés, les contours de son visage sont léger, doux, et lui donne un air si calme et si serein, que ça pourrait paraître vrai. Ses grands yeux marron, maquillés comme il se le doit, peut avoir l’air doux, quand il ne regarde pas les autres de haut, ou qu’ils ne menacent personne de se faire assassiner dans peu. La profondeur de ses yeux peut faire perdre la raison au plus sage des hommes, et la franchise qu’ils semblent éprouvés quand elle ment, cette fausse franchise, cette hypocrisie en est blessante… Elle n’a aucun problème pour mentir, il est sûr que dans son cas, ses yeux ne sont pas traîtres, ils sont même ses meilleurs complices. Ses lèvres, maquillées de pourpre, semblent afficher un sourire bienveillant, ce qui n’est pas le cas. Le côté sadique que Chihiyo possède de sa mère, doit sûrement se manifestait le plus par les airs que prennent ses douces lèvres. Elle a tout de la parfaite femme empoisonnée, quand vous avez connue Nami, vous avez presque l’impression de l’avoir face à vous. Ses longs cheveux bruns, cachant un peu la partie droite de son visage, sont montés en chignon, solidement soutenu par deux aiguilles d’acuponctures décorées. Quelques mèches s’enfuient du chignon, et tombent sur sa nuque. Elle se détache rarement les cheveux, mais quand ils ne sont pas soutenus, ses cheveux lui tombent environ vers le bas de la taille.
La corpulence de Chihiyo n’est pas imposante, elle est fine, bien qu’assez grande, mais parait si fragile… Elle n’a pas une poitrine plus importante que ça, et n’a d’ailleurs pas vraiment d’atout physique, si ce n’est qu’elle peut mentir sans que son corps ne la trahisse. Elle avait une taille fine, et de longues jambes. Ses mains, douces et gracieuses, n’avaient pas peur d’avoir à se salir. Ses ongles, de pourpre repeins, semblaient tout le temps maculés de sang.
Chihiyo était quelqu’un de plutôt extravagant, tout en restant terre à terre, sadique, tout en connaissant le sens de ses priorités.
Elle est vêtue de façon voyante. Elle porte un corset pourpre, cette couleur qui lui va si bien, noué par des rubans noirs dans son dos. Elle portait par-dessus, une sorte de veste large, d’une couleur de blanc cassé, qui dévalait sur ses épaules, et finissait par d’amples manches. Le motif qui est dessiné sur cette veste est très explicite, mais il faut savoir l’interpréter : sur le dos de sa veste, il y a une ronce grimpante qui y est représentée. En haut de la ronce, on peut apercevoir une magnifique fleur. Une jolie fleur protégeait par d’agressives ronces… A ses mains, si fines, et ayant l’air de temps vouloir aider les autres, elle porte des gants, pourpre à bordure noire, coupés au niveau de ses doigts, laissant ainsi ses articulations en meilleures fonctionnement. Ses gants, ils lui montaient environ vers le creux du coude, et étaient serré par des liens sur le côté interne du bras. Dans le creux de son épaule gauche est dessinée une rose noire, fanée… Genre de tatouage très peu commun… A sa taille fine est nouée un fin ruban passant un peu sous le corset, soutenant les poches des armes et des parchemins de la kunoichi. Cachés par la longue jupe, sur le milieu de ses cuisses, sont dissimulées deux poches à projectiles, une sur chaque jambe. Ainsi elle dispose de tout sous la main, et caché de l’adversaire. Sa jupe, de couleur blanc cassée, et fendue sur la droite et sur la gauche, pour un déplacement plus aisé. A l’extrémité de celle-ci, on y reconnaît le motif représentant une ronce, qui s’étend sur tout le tour du tissu. Cette ronce est représentée en noir, sur une bande pourpre. Autour de son cou, Chihiyo porte une parure superbe. Un grand collier qui doit valoir cher, et qui lui donne un côté riche.
Quand Chihiyo marche dans la rue, il faut que le passage soit libre, elle n’hésite pas à faire écarter les passants pour avoir son espace vital, elle est du genre culottée. Quand elle arrive à la bibliothèque et qu’elle recherche un livre, si une personne a le malheur de le lui prendre sous le nez, elle lui fait sévèrement regretter… Elle n’est pas vraiment du genre joueuse, elle ne joue qu’avec le feu, ce qui peut, et se qui porte sur les nerfs de tous. Elle est là, elle veut qu’on le sache, elle se fait remarqué, mais mieux vaut ne pas se la tourner à dos. Elle aime retrouver des gens qui sont quelque peu sadiques, il n’y a que là qu’elle se sent vraiment à l’aise.


Histoire :
Tout commença dans le village du vent… Suna no kuni. Comme dans tous les villages cachés, des ninja sont entraîné durement à la maîtrise de la voie de leur choix, et forme ainsi l’élite du village, constituant la force militaire première du pays… et bien, dans le village de Suna, une ninja parmi tant d’autres eut plus d’influence sur la vie de certaine personne… Vous aurez évidement reconnue Nami Kana.
Nami était une jeune femme très persuasive, capable d’avoir ce u’elle voulait, de qui elle voulait, et cela, sans exception, enfin, pas d’exceptions connues jusqu’à ce jour. C’était une Jounin hors paire, elle savait mener à bien ses missions, ne perdait jamais aucun membre de son équipe, et réussissait toujours sa récolte d’information. Récolter des informations, elle savait le faire, mieux que personne, de plus, cette femme avait des atouts physique non négligeables, ce qui faisait que les hommes se laissait facilement charmer, sans qu’elle n’est parfois à les forcer plus spécifiquement. C’est pour ça qu’un jour, le Kazekage lui demanda de devenir espionne, pour son propre compte… Bras droit du Kazekage c’était terriblement valorisant pour ce cadeau empoisonné… Elle avait un caractère sadique qui plaisait beaucoup au Kage du village, visiblement, tous ses hommes de mains étaient sadiques, de son espionne au jounin qu’il avait lui-même fait monter en galons. Nami était bien plus souvent hors du village qu’à l’intérieur, récoltant des nouvelles de partout, les derniers décès de shinobi influant, les nouveaux déserteurs, les recrus a ne pas manquer, même parfois, elle eut à éliminer elle-même certains de ses informateurs, mais elle le faisait avec tant de classe qu’on ne pouvait lui en vouloir. Et Kazekage aimait bien d’ailleurs, le chic dont elle faisait preuve quand elle informait sa victime de toutes les tortures qu’elle allait lui faire subir, comme pour le prévenir que sa mort serait douloureuse. Le dirigeant du village lui donna quelques jours de congés, et en ces quelques jours, cette femme épineuse remarqua un homme plutôt à son goût dans une forge. Le forgeron du village lui plaisait alors qu’elle pouvait avoir le Kage lui-même, mais elle s’en moquait. Elle savait qu’elle pouvait tous deux les manipuler. Mais elle ne s’en vantait pas, sa fierté était grande, elle ne voulait pas se voir exécutée sur la place du village. Ce forgeron s’appelait Kenshi, et il ne résista pas longtemps à l’espionne. Même si il avait tenté de résister, Nami a toujours ce qu’elle veut. Quand le Kazekage les vit tous deux ensembles, il fut d’une humeur noire. Son bras droit, un jounin aux airs tout aussi sadique que l’espionne avait bien remarqué tout cela. Quand Nami reprit du le dirigeant de Suna l’envoya au loin du village, et pendant un long moment, histoire de séparer le couple. Comme d’habitude, l’espionne ne semblait pas plus affectée que ça, et mena sa mission au top, comme à ses coutumes. Elle revit Kenshi, passa du temps avec lui, plus qu’avec le Kazekage…
Neuf mois plus tard, Nami mis au monde une jeune enfant, Chihiyo était son nom. Ce poupon avait l’air d’être si fragile et avait tant besoin de protection… Mais l’espionne s’en moquait et repartie aussitôt en mission. Kenshi, qui voulait garder son titre de meilleur forgeron et confia alors Chihiyo à une femme aigris, désagréable et frustrante. Cette nouvelle gouvernante lui convenait pourtant, car, elle avait pour but d’apprendre le plus tôt possible la lecture à Chihiyo, afin de pouvoir rester tranquille durant ses journées. Alors, chaque jour l’enfant qui n’était que très jeune lisait, enfin essayait. Mais le pire dans tout ça, c’est qu’elle y arrivait. Contente de son exploit, la gouvernante enfermait ainsi, chaque jour, Chihiyo dans sa chambre avec une pille de bouquins énormes. Tous les sujets étaient abordés, même celui sur les assassinats… Et c’est précisément celui-ci qui éveilla le côté que Nami lui avait offert à la naissance, ce côté sadique, et cette envie de savoir ce que faisait le fait d’ôter la vie, ça l’intrigua. Elle le lisait tous les jours, jusqu’à le connaître par cœur. Une voie intriguait et flattait plus son égaux sadique que les autres… La médecine… Ôter la vie, l’offrir, la sauver, ou aggraver les douleurs, elle pouvait avec ça tout faire… Un sourire machiavélique lui paraissait sur les lèvres dès qu’elle y pensait. Elle grandit très vite, dans cette chambre, seule et enfermée. Elle devenait peu à peu, un joli brin de femme, mais dans sa tête c’était sa mère qu’elle devenait, et ça n’était peut être pas aussi beau que son physique…
La belle espionne, Nami, quand à elle avait une mission très importante à surveiller… La guerre entre un des villages minoritaires, qui jusqu’à présent était dirigé par Suna, mais un changement de situation, une rébellion, une révolution, ce que vous voulez, mais ils décidèrent de gagner leur indépendance, et le village de Suna allait bientôt faire rage, elle devait gagner grand nombre d’information, mais cette mission lui fut bien moins simple que toutes les autres. De retour à Suna, elle raconta tout au Kazekage, tout ce qu’elle savait, et c’est alors que la guerre commença, car il décida qu’à présent, ils étaient assez préparés pour la grande bataille. Nami était aux côtés du jounin, et de Kazekage durant la guerre. Les Sunéens avaient trop vite déclaré la victoire, des alliances avec le pays minoritaire avait été signé, et des ninja vinrent en refort. Le kazekage s’était retrouvé embusqué par 4 ninja ennemis, rien d’insurmontable, mais lorsque chacun leur tour, il le plongèrent dans des visions de plus en plus atroce, et que le dernier invoqua la créature avec laquelle il avait fait son pacte, l’instant était beaucoup moins au rire…C’est ainsi qu’ une triste nouvelle attrista Suna, mettant le village dans un profond deuil. La mort du Kazekage… Son bras droit, le jounin aux airs sadiques fut alors nommés, et rendant un dernier hommage au défunt ninja, qu’il avait vu maudire un homme, il en profita pour faire d’une pierre de coups. Il voulait savoir si Nami resterait à ses côtés, et faire sourire le Kazekage, du haut de son autre monde. A vrai dire, il ne savait pas si l’ancien dirigeant voulait ça, mais lui, voir un fiasco pareil, c’était d’une grande jouissance. Il demanda alors, à Nami, d’assassiner son mari dans la forge, le soir même. Nami ne refusa pas…
Ce soir là, Chihiyo était avec son père à la forge, et rangeait quelques armes dans la seconde pièce quand l’espionne vint frapper Kenshi. Chihiyo qui se redirigeait vers son père le vit au sol, se faire asséner un coups mortel… Elle ne bougea pas… Elle avait reconnu dans la pénombre sa mère, et lui vouait un culte... Elle gravait dans sa tête cette image… Elle avait oublié qu’il s’agissait de son père… Elle admirait sa mère, elle admirait le crime qu’elle avait fait… son côté sadique était à présent totalement révélé…
Elle voulait désormais faire comme sa mère, devenir comme elle, elle ne désirait que ça…
Le lendemain, croisant sa mère, qui n’avait pas l’air lus gênée que ça, de savoir que sa fille avait vu la scène et l’avait reconnue, Chihiyo lui demanda si elle pouvait se présenter à l’académie de Suna…

La présentation étant : Ici

Merci Chihiyo...

On m'avait informé entre temps que ta présentation était dans la partie "général". Donc c'est cool, on a bien tout ^^

Désolé du dérangement...