Tomoe Hayato [inscription acceptée]

De son port et oripeaux :

Si l’on s’attache à son corps dans son plus simple apparat, Tomoe est plutôt longiligne, ses jambes montées en graines fusant du sol pour s’étendre, et déboucher sur un déhanché plutôt fin, un concept s’harmonisant avec sa taille. Sa poitrine est belle et bien présente, mais très discrète, et enfin, ses épaules quelque peu menues et rachitiques complète le tableau. Sa taille avoisine les 177 centimètres, et son être entier semble être conçut sur une apparente finesse, à l’image d’un brin d’herbe.

Sa peau, blanche, jure avec l’ébène de ses cheveux, affichant un contraste délicat avec ses yeux, d’un bleu pâlichon, remplie d’eau, et ses lèvres sont rouge, ourlées d’une agréable façon. Les traits de son visage son ciselés de façon simple, sans être vulgaires ni extraordinaires, ils sont plaisants du fait de leur normalité apparente. Elle n’est pas pour autant banale, souvent désirable, de simple fait qu’elle reste souvent mystérieuse, de ses formes et de son visage, ne laissant que ses cheveux, longs et fins, à la vue des personnes.

En effet, ses vêtements, si ce n’est ses bras, cache entièrement ses formes, son corps. Elle porte un large chapeau de paille, que l’on retrouve chez les cultivateurs oeuvrant dans les rizières. Il lui suffit de pencher la tête pour que quiconque n’aperçoive son visage, pourtant souvent expressif, si ce n’est cet air froid et distant dans de ses yeux, dichotomie assez spéciale si l’en est.

De sa mentalité :

Le vide. L’impression de vide, de manque, est continuellement présente. Elle ne sait pas d’où cela provient, ni comment s’en défaire. Cela ne la fait pas réellement souffrir, puisqu’elle ne ressent rien, indifférente à sa vie, celle des autres. Quand elle souffre physiquement, cela lui permet de ressentir quelque chose, comme un sens profond à son existence, l’esprit comblé et occupé par la douleur. Rien d’autre ne lui permet de se sentir plus vivante que quand son corps proteste contre un traitement des plus durs.

L’humiliation, elle ne connaît pas le sens de ce mot. Pour elle, le simple fait de vivre est humiliant en soit. Mais elle ne se sent pas le courage de mettre fin à ses jours, certaine de trouver un sens formel à son errance dans ce bas monde, qu’elle laisse couler, telle l’expression, comme un long fleuve tranquille, au confluent d’un océan, l’agitant par moment de façon violente.

A la regarder, lorsqu’elle est départie de son auvent, alors habituellement fiché sur sa tête, son visage est très expressif. Une simple joie étire un lent sourire, la gêne lui fait monter le fard aux joues, la colère amène ses sourcils finement taillés à se serrer l’un contre l’autre, à la manière de deux amants éperdus. Bien aise alors est celui qui peut la voir comme indifférente. Certainement quand elle est froide comme la mort, c'est-à-dire, la plupart du temps, lorsque rien ne la concerne, et que tout lui passe par-dessus la tête.

De son histoire avec un petit ‘h’ :

Bien apprit est celui qui connaît le pays du riz bien mieux qu’un riziculteur dans une rizière. L’histoire qui nous amène à nous pencher plus en avant sur une parcelle plutôt qu’une autre – et pourtant cette dernière n’ayant rien à envier à une autre parcelle – est celle d’une jeune fille, aidant son père et sa mère, dans leur tâche, dans leur parcelle, dans leur rizière. Mais surtout, il apparaît que le destin de cette jeune fille, aidant à la tâche, dans une parcelle, dans une rizière, se devait d’être différent de celui de son père, et de sa mère. Car tout semble être question de destin dans cette affaire là. Par une simple équation, un destin, et plus encore, une histoire, seront le sujet de ce présent récit.

L’héroïne de cette entreprise écrite (car, il faut le reconnaître, un récit ne le serait point sans une personne indigne du commun banal des mortels), répondait au nom de Hayato, et au prénom de Tomoe. Le premier tenant du père, le second, de la mère. Quoique, rien de bien extraordinaire en apparence. Ainsi donc, deux Tomoe, côtoyaient trois Hayato, dans une modeste demeure, dans un modeste pays, celui du Riz. Modeste il est vrai, mais en devenir, se forgeant une certaine place dans la communauté non représentée des villages cachés, grâce au village le gouvernant, Oto no kuni. Autrement appelé le village du son, en raison des capacités sonores, et soniques, audibles – ou non – des shinobis apprenant l’art sombre, oeuvrant pour le village. La pauvre et non moins choyée, paysanne, que représentait Tomoe-fille, s’entendait parvenir des histoires alléchantes, tarabustant ses oreilles, tintinnabulant son esprit, et, bille en tête, décida d’en venir à remplacer sa faucille et son râteau, pour un kunaï et un shuriken.

Devant le refus, des plus catégoriques, de sa famille, en l’occurrence Tomoe-mère, et Hayato-père, d’accéder à ses désirs, caprices de jeune fille – ou non – et de son envie de ne plus participer dans leur tache, dans leur parcelle, dans leur rizière, Tomoe-fille décida l’indécidable, abandonner le coteau familiale sans en prévenir les concernés. Bille en tête et couvre chef, la belle se devait d’arriver dans le lieu du principal enseignement du village du son. Agée dès lors de quinze printemps, elle apprit l’art, dans les grandes lignes, et dans les bases, des shinobis, aspirant, secrètement, à devenir une grande Kunoichi. Le haut de forme dont elle s’était saisie lors de sa fuite, par un nuit obscure, n’était autre qu’un large chapeau tressé, typiquement lié aux riziculteurs, et risibles des non initiés, ne quittait plus sa tête, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il tonne, qu’il fasse un soleil de plomb. Sa silhouette était donc reconnaissable parmi tant d’autre, du simple fait de son chapeau, mais de ses guenilles et ses frusques, ainsi que sa stature longiligne et végétale.

Elle eut un maître, un sensei comme on dit dans le pays, qui lui enseigna ce qu’il y avait à savoir à son âge, n’allant ni trop loin, ni trop vite. Et ce, pour diverses raisons, qui la poussèrent finalement à le tuer par une nuit éclairée, de l’astre rond et plein. Il n’allait ni trop loin, ni trop vite, car son élève, bien que brillante, l’attirait. Et, contre services rendus à l’acquisition de l’art sombre, il profitait aimablement de son corps, bien qu’elle n’eut que quinze printemps, approchant timidement du seizième. Au début, elle s’insurgea, hurla. Au début seulement. A la fin, elle ne parlait guère, subissait les assauts de son maître les lèvres fermées, et le corps inerte, sans même un bruit, jusqu’à ce que les instincts primaires du rustres sans frusques, soient assouvis. Ce fut lors d’un de ces ébats à sens unique, que l’élève surpassa le maître, dans l’art de la fourberie. Et c’est ainsi que quelques jours plus tard, dans une rizière, nichée près du village du son, gisaient ici et là, un tronc, une jambe, une tête, une main, un appendice sexuel, un pied, une oreille, …

La donzelle, privée d’humanité et de gaîté, laissa derrière elle le village d’Oto. Elle n’avait plus rien ici, plus rien qui devait la retenir plus longtemps. Les jutsus sonore, du moins, s’inspirant de cet élément, l’intéressait. Mais elle n’avait pas pu les développer, du moins, n’avait-elle eut le temps d’approfondir son étude. Pantelante, couverte de sang, elle erra pendant longtemps… un an, voir deux. Personne n’entendit parler d’elle durant cette période.

La guerre contre Konoha éclata. Elle devait y prendre part, indirectement, mais sûrement. Bien qu’elle ne tua pas, elle se renseigna, découvrant l’existence jusqu’alors inconnue, d’un groupe réunis en village de déserteur. N’en était-elle point une ? Une de celle qui, poussé par diverses raisons, valables, ou non, une de celles et ceux, qui se sont réfugiés dans ce village caché. Il ne lui fallut guère de temps pour retrouver la trace dudit village. Vêtu d’une longue robe rouge, gagné par le vol et la fourberie, et ce, sans remord, aucun, et de son chapeau qui ne quittait plus sa tête, qu’il pleuve, qu’il vente, qu’il tonne, qu’il fasse un soleil de plomb, Tomoe-fille-déserteuse, se présenta, de tout son aplomb, et de son indifférence, en ses contrées cachées, loin des regards, …

Aime : L’indifférence, les douces mélopées, le saké, le vide et l’abstrait, l’art.

Aime pas : Sa vie, celle des autres, …

Fiche personnage :

• Taijutsu : 3 (+7) = 10
  
• Genjutsu : 4 (+6) = 10
  
• Ninjutsu : 4 (+6) = 10
  
  
• Force : 4 (+4) = 8
  
• Vitesse : 3 (+7) = 10
  
• Intelligence : 12
  
  
• PV : 24
  
• PC : 36 (+20) = 56

Techniques choisies (en + de celles de bases) :

• Shuriken bunshin no jutsu (Gen, rang C)
  
• Shishi rendan (Tai rang C)
  
• Doton, doryuu (Nin, rang D)
  
• Doton Bakuhatsu (Nin, rang C)

Pour ta fiche tout est expliqué dans les règles. Tu as les pts de base, + 10 pts du fait de ton rang de genin et 20 pts du fait que tu rejoigne Nuke-nin.

A cela tu possède le kinibori, suimen, nawakane, henge, kawarimi, bunshin, Kai, et la technique que tu as choisi. A cela tu rajoute 3 jutsus de plus.

Quand à l'affinité de Oto, c'est le son. Mais tu peux en choisir une autre.

Pour les Techniques Uniques à Oto voie cela avec les administrateurs (Kusaru et Haya en particulier).

Termine ta fiche et on parlera de ton acceptation, qui est bien partie.

Alors, désolée mais il a été décidé que les Nukenins devaient avoir des présentations mieux qu'excellentes. La tienne est bonne, mais ce n'est pas suffisant.

On a mis ce point en place à cause du nombre grandissant de Nukenins par rapport aux autres villages, qui sont sensés être rares, ainsi que de tous les aventages avec lesquels ils débutent.

Voilà, désolée pour la gêne occasionnée ^^

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Concernant la fiche, tu as 30 pts de base
+10 (passage Genin)
+20 (parce qu'on n'est pas faible chez les nukenins)
Ainsi que trois jutsus, en plus de tous les jutsus de base (Kinobori, Suimen, Kawarimi, etc.)

Concernant l'affinité, c'est celle que tu veux.

Concernant les TUs, tout le monde peut créer des TUs en cours de jeu, tant qu'il a les compétences et que c'est crédible.


EDIT : Nos posts se sont croisés avec Koto.
Ajout pour l'affinité, le Son n'est pas une affinité en tant que tel, les affinités sont : Katon (feu), Suiton (eau), Fuuton (vent), Doton (terre), Raiton (foudre)

C'est original, j'aime beaucoup, donc c'est oui.

Tant que la fiche n'est pas faite, tu as raison Misame.

Par contre, je voudrais dire une chose qui n'a rien avoir avec la présentation de Tomoe:
Serait il possible que ceux qui donnent leur accord à une présentation de Nuke-Nin, le fasse avec leur compte Admin, Kage ou modérateur du village. Car si je ne m'abuse seul eux peuvent donner leur accord.

Quand à la présentation de Tomoe elle m'a l'air tout aussi acceptable que celle d'autres Nuke-Nin ayant déjà leur accès. Mais il faut qu'elle l'a termine avant d'avoir mon accord et là elle n'est pas finie.

Mais si le nombre de demande de rejoindre Nuke-Nin est trop importante, on a qu'à fermer les inscriptions.

Autant pour moi Koto. Sinon pour lescarac j'ai édité parce qu'en fait ça change pas grand chose.

Koto a écrit:

Quand à la présentation de Tomoe elle m'a l'air tout aussi acceptable que celle d'autres Nuke-Nin ayant déjà leur accès. Mais il faut qu'elle l'a termine avant d'avoir mon accord et là elle n'est pas finie.

Mais si le nombre de demande de rejoindre Nuke-Nin est trop importante, on a qu'à fermer les inscriptions.

C'est vrai Koto, des fiches de qualité équivalentes existent, mais on peut pas continuer à toutes les accepter en l'état, donc on régule mieux.

Si on ferme pas, c'est pour ne pas se couper de la qualité et ne pas bloquer cette voie à ceux qui veulent vraiment le faire.

Non il peut donner son accord...


Je ne suis pas solidaire de ce nouvel élitisme nuke... Certains ont été accepté avec un back moins bon que celui là... Donc je le vis comme une injustice...

Ton Ip est ok, 2eme perso donc ça roule, sachant que vu le niveau rp du premier, je ne vois vraiment pas pourquoi je dirai non...

Donc pour moi, si tu nous met une fiche, c'est OUI

Et comme cadeau bonus, j'accroche l'hokage sur MSN pour lui extorquer un oui!

Ne perds pas espoir!!!! ^^

Bon, j'ai reconsidéré mon avis quand à la qualité de la fiche, grâce à Kotaro.
Celà dit, c'est pas pour ses arguments d'injustice, faut l'savoir.

On attend toujours la fiche personnage :)

Edition : Ajout de la fiche personnage + techniques.

Je suis pour la paix des ménages moi. Je vais prendre le temps de rajouter quelques éléments dans la présentation où je suis passée un peu vite. Et quelques lignes dans les descriptions de Tomoe, en espérant que ce soit mieux. Je préviendrai quand cela sera fait.

Ne biles pas.... LE principale débat fut: Une fiche doit-elle faire 7 pages pour être excellente... Et nous sommes d'accord que non ;)

Pour moi c'est bon ^^

Pareil