Mari ~ A tous prix[inscription acceptée]

Prénom : Mari
Age : 17 ans
Rang : Genin
Village d'origine : Iwa (née à Ame)
Affinité : Fuuton

Nindô : Mourir avec lui


Caractéristiques :

Taijutsu ( T ) : 1
Ninjutsu ( N ) : 15
Genjutsu ( G ) : 1

Force ( F ): 5
Vitesse ( V ) : 8
Intelligence ( I ): 10

Points de Vie : 15
Points de Chakra : 30

Pour les techniques, j'attends de voir avec la Technique Héréditaire.


Ce qui se passe dans sa tête :

Mari est une jeune fille que l’on pourrait qualifié de tout à fait banale. Elle suit les modes de son âge, aime lire, écouter de la musique, sortir, profiter de ses amis que l’on peut compter en nombre. En effet, sa personnalité d’adolescente perturbée, capricieuse mais alléchante a le don d’attiré les garçons et les jeunes filles de son âge. Elle est celle que l’on regarde, que l’on envie et que l’on veut côtoyer. Cette jeune fille reste assez mystérieuse, plongée dans son univers à elle partagé entre ses origines liées à l’akatsuki et la passion qui la dévore pour un garçon qu’elle avait rencontré à Iwa.
Mari s’est éprise d’une passion fanatique pour cet adolescent qui su rapidement la faire fondre, l’amener là où il le souhaitait. L’adolescente était donc profondément amoureuse et de cet amour est finalement née une haine fanatique lorsque son amoureux quitta finalement Iwa. Depuis le jour où elle perdit sa moitié de vue, Mari changea presque totalement de comportement. Devenue plus distante à l’égard de ses amis qui ne faisaient qu’admirer une nouvelle pirouette dans sa façon d’être, devenue plus enclin au travail pour rattraper celui qu’elle aime et qu’elle hait jusqu’à la mort, devenue celle qu’elle est aujourd’hui, une jeune fille qui sait être empathique, enjouée mais aussi monstrueuse.
Lorsque la question de son amour ou de ses origines arrive sur la table, Mari quitte radicalement l’image de l’adolescente populaire pour se trouver sur les chemins de la rage, de la passion fanatique qui lui ôtent toute pitié ou complaisance à l’égard d’autrui.
Cet amour n’est donc pas la seule raison qui pousse Mari à changer ainsi de façon d’être. Depuis qu’elle apprit être la descendante génétique d’une dénommée Konan, talentueuse ninja de son époque, Mari qui n’avait alors toujours connu que le désert familiale s’applique à recomposer le puzzle de son histoire, et de celle de son sang. Partir sur les chemins de la défunte shinobi de l’akatsuki, poursuivre son but.
Certaines personnes qui ont connus l’époque durant laquelle l’akatsuki sévissait pourraient d’ailleurs retrouver deux caractères très proches l’un de l’autre entre Mari et Konan. Les deux femmes sont menées par leur passion aveugle envers une personne ou une idéologie, oubliant presque tout le reste.
Sa principale passion vient d’ailleurs de son histoire. La jeune fille reste passionnée, comme le fut sa maternelle en son temps, d’origami. Exécuter toutes sortes de pliages en papier, s’amuser à le manipuler, expérimenter, apprendre.


Ce qui se passe dans vos yeux :

De son aspect physique, Mari suit les mêmes chemins que sa personnalité. On remarque au premier coup d’œil une ressemblance flagrante avec celle qui porta ses gènes avant elle. Un regard et une coiffure alignés sur le même ton d’un bleu psychédélique presque irréel. Un bleu virant simplement au fluo, parfois plus brillant ou voyant, d’autres fois plus terne et gris selon le temps et la lumière.
D’allure générale, la jeune fille porte le long manteau que portait sa maternelle avant elle. Sa silhouette droite et élancée est d’autant plus marquée par la longueur de cette veste d’un noir profond enjolivée par les nuages rouges rappelant le nom de cette organisation déchue. Ainsi, d’elle on ne voit qu’une silhouette drapée dans le noir et son visage. Un visage aux traits fins, aux yeux bleus empreints de mélancolie qui donnent l’impression que la jeune fille est en perpétuelle réflexion. Un nez droit, mignon donnant sur une bouche aux lèvres charnues et pulpeuses renforcée par le piercing sous la lèvre inférieure. Une simple boule d’ivoire. Ses cheveux sont coiffés simplement, retombant de part et d’autre de son visage, dévoilant ses oreilles, masquant ses pommettes et son regard si l’on ne la regarde pas de face. Elle est jolie pour son âge, un style décalé par rapport à son temps, une touche de fantaisie dans les cheveux avec cette flore coincée au dessus de son oreille droite, une fleure de papier qu’elle plia soigneusement.
Le look que Mari arbore n’a pas toujours été ainsi. Mais à été forgé par l’homme qui retrouva en la gamine de l’époque la descendante spirituelle de la seule femme de l’akatsuki et prit le temps d’en faire sa parfaite descendante. Il était lui-même partit chercher le long manteau de la jeune femme faite de papier, percer ses secrets pour initier Mari à cet art de l’origami par le chakra, plonger son esprit dans celui de la prodige du papier. Faire de Mari la renaissance de Konan.
Le manteau oublié, on peut enfin admirer la silhouette déjà formée de l’Iwaienne. Des formes généreuses justes là où il faut. Proportions idéales appuyées par le haut juste au corps d’un noir sans faille découvrant ses bras et ses épaules. Des bras pas trop musclé, suffisamment pour mettre les formes de sa poitrine en valeur. Un arrière train rebondi, tout aussi mis en valeur par la chute de son haut, tout aussi moulant et s’arrêtant à mi-cuisse découvrant alors ses jambes élancées. Sous le manteau, il existe tout un réseau de papiers, étrangement maintenu en place par l’on ne sait quelle force.
Au final, Mari est une jeune fille au look décalé, dont on ne voit que peu de choses, préférant garder ses secrets à l’écart des regards inconnus. Une jeune fille froide et passionnée, mélancolique et émerveillée. Dont la nature profonde contraste avec l’apparence qu’elle dégage au premier coup d’œil.


Ce qui se passe dans son carnet :

Mes rêves sont comme un tourbillon mélangeant mes caprices.
Ils se tournent, ils tournent autour d'un monde, mon espoir est d’en trouver les clés.

Je me prépare d’abord à la découverte des moments Vrais.
Je pars, mais je risque d’attendre le pire.

Je joue tous les jours un jeu.
Je prie, défie à passer l’épreuve de ma vie.
Je reste la même toute la journée et je pleure, j'essaie d'être la meilleure.

Si je comprends l’image que vous vous faites de moi, comme vous m'avez poussée hors de votre monde.
Je pleure.
Vous ne pouvez pas sentir ma douleur.

Si je ne reviens pas, si je contrôle ma fin.
Et sans regarder en arrière.
Vous ne pouvez pas sentir ma douleur.
Je pleure.

Oh laissez-moi aller libre en espérant à des jours meilleurs.
Ne vous inquiétez pas pour moi, car je pourrai le supporter.
Maintenant, je me pose tranquillement.
Je ressorts de mon univers le corps plein de frissons.
Et je sombre, me noie dans les profondeurs de ma passion.

J'ouvre finalement les yeux et je vois des rêves tellement effrayants qui,
Non pas lentement ni sereinement, mais fermement jettent la clé de ce monde.

Je m’effondre mais je continue de consumer notre secret, qui me tue.
Cela me tue d’avoir respectueusement quitté votre village.

---------------------------------------

Nous nous sommes rencontrés l’espace d’un instant et nous nous sommes dit au revoir.
Mais je n’ai fait que vivre ma vie avec ta présence dans ma tête.

Comment serait-ce de vivre dans ton monde ?
Si tu étais mien et si j’étais tienne.

Le sort dans lequel tu m’as plongé est dément, car je sais que c’est impossible mais je continue de me demander comment serait ma vie si j’étais dans tes bras.
J’ai le sentiment que je ne le saurai jamais.
Et qu’est ce que tu dirais ?
Si je restais à tes côtés et suivais ton chemin.

C’est ici que tu perds la tête.
Laisse ton cœur s’envoler.
C’est ici que je perds la tête, et que je laisse mon cœur emprisonné.
Tu me rends aveugle, je ne dois pas perdre la tête.
Tu es à moi, ne l’oublie pas.

S’il te plait, comble les blancs de ma vie.
Dis-moi ce que je rate, ce que tu pourrais m’apporter.
Qu’est-ce que je trouverais si je suivais ton chemin ?

Peut-être toutes ces choses que je souhaite et que je n’ai jamais eues.

---------------------------------------

Tu sais que j’aime être avec toi mon amour.
Laisse moi vivre pour toi, vivre pour nous.
Ne t’en fais pas, je serai celui que tu veux que je sois.
Tu n’as pas à t’en faire, je te donnerai toute la passion que tu veux que je t’accorde.
Je serai là tous les matins, tous les midis, toutes les nuits pour te serrer fort dans mes bras.
C’est pour tout cela que tu n’as pas à t’en faire mon amour.
Car je t’aime, j’ai besoin de toi, je dois t’avoir près de moi. Maintenant.

Pourquoi ne me dis-tu pas cela ?

---------------------------------------

J’aime te voir sourire, cela me rend heureuse.
Ne me demande pas pourquoi, mais j’aime te voir sourire, cela me rend heureuse.
Heureuse. Heureuse. Heureuse. Heureuse. Heureuse.

Laisse-moi être le guide de ta vie, décider de son début et de sa fin.
En parcourir chaque seconde, chaque détail.

Je n’aurais jamais honte d’être à tes côtés, de ce que tu feras ou ne feras pas.

Emmène moi plus loin, avec ta voix, ta peau, ton odeur, ton regard.
Oh oui, emmène moi plus haut, enflamme mon corps de tes mains.

---------------------------------------

Je vis avec ton image dans ma tête.
Pourquoi la vie que j’espérais n’est-elle plus ?
N’a-t-elle jamais été ? Ne sera-t-elle jamais ?
Meurs.

Que tai-je fais pour mériter ça ?
Je pleure.

Tu vis, je ris. Tu souris, je rougis. Tu rougis, je t’ai meurtri.
Tu es mon sang, je souris.
S’il te plait, souris pendant que je te saigne.

Laisse-moi au moins espérer pouvoir vivre tous ces instants que tu as créés.
Cette image de nous, déchirée comme nous le sommes, n’a pas glacée que le papier.

Je t’ai tout donné, tu as tout pris.
Ce journal est pour toi.
S’il te plait, retourne-moi les entrailles du bout des doigts.

Il est temps pour nous d’enterrer nos différents.

Je perds la tête, tu m’as volé mon cœur et mon esprit.
La vision de ta vie m’écœure, et je vois déjà ton corps qui pourrit entre mes mains.

Welcome home ^^

Ca me laisse sans voix. C'est tout simplement magnifique. Ce sont des textes comme ça qui me donnent le plaisir de lire et d'écrire. Il n'y a pas de mots pour exprimer à quel point c’est beau et touchant...alors je me tais et me permet un extra.

La vie est comme un arbre, s'élevant fort et sage
Au milieu d'une espèce aveugle et ignorante,
Les mots en sont la sève, sirupeuse, enivrante,
Frissons brisant le marbre d’un cœur empli de rage.

Et voila c'est fini !

Un grand Oui me cocnernant

C'est bon pour moi.

Comme tu as déjà tes accès, tu peux commencer à RP. A moins que tu préfères attendre la validation de ta TH

je vais commencer à rp

Je passe en coup de vent, mais je tiens a saluer Mari, jai beaucoup aimer lire.