Shitto Eiyo [Terminée] [inscription acceptée]

Invité

Shitto Eiyo, l'incomprise

Nom : Eiyo [栄誉] - [えいよ]
Nom de sa mère : Kagami
Prénom : Shitto [嫉妬] - [しっと]
Deuxième prénom : Kyôko

Âge : 19 ans

Fiche :
Taijutsu : 6
Ninjutsu : 1
Genjutsu : 1

Force : 6
Vitesse : 20 +20
Intelligence : 6

Points de vie ( PV ) : 18
Points de chakra ( PC ) : 38 (18+20)

Description de Shitto :
Shitto est une jeune femme d’environ la vingtaine, et dont les signes physiques tentent de cacher la vérité mentale d’elle-même. Sa silhouette, longue et fine laissait penser à une certaine douceur, une souplesse, une grâce, qui lui donnait une gestuelle semblant féminine et innocente. Sa croissance terminée laisse place à une taille d’environ un mètre soixante-quinze, ainsi, elle n’est ainsi ni trop grande, ni trop petite, bien qu’étant plus grande qu’elle n’était petite. Elle était vêtue d’un morceau de tissus gris et déchirés, des haillons salis par le poids des années et par l’usure du travail. Ca ne la mettait vraiment pas en valeur, elle semblait souillon et n’avait aucune prestance physique et aucune crédibilité, et pourtant. Sa peau était douce, mais colorée d’une teinte clairement jaunie, comme la couleur des peaux asiatiques. Les yeux de la jeune femme étaient d’une grande beauté. Légèrement bridés par ses origines, ils sont d’un marron profond. Vidés de toutes expressions, ils sont toujours baissés vers le sol, et restent prit dans les voies du passé. Ils étaient autrefois émerveillés et à la fois apeurés maintenant, croiser leur route est un défi non négligeable pour en découvrir leur beauté. Ses lèvres claires ne sont plus très agréables à voir, plus très douce. Plus un sourire ne leur est connaissable. Elles ne savent plus sourire, sa bouche se le refuse, comme un excès. Pourtant, elle n’a aucune expression malsaine, mais le sourire ne fait pas parti de son vocabulaire. Elle reste d’un air déçu, entre le désespoir et la neutralité. Le son de sa voix était clair et pure, innocent et presque enfantin, malgré son âge. L’expression générale de ses traits montrait la peur et la déception. Au coin de la lèvre se trouve un petit grain de beauté, qui semble ne rien justifier de par sa présence. Ses cheveux entre l’ébène et le bois sont fins, souple et léger, coiffé d’un dégradé qui est plus court sur le devant que derrière. Ils glissaient sur son dos comme des ondes de l’eau. Inexplicablement compliquée, cette jeune femme ne s’ouvre à personne et encaisse tout, coups, critiques, moqueries et tout le reste. D’une façon d’être presque muette, elle reste en place, immuable comme si de rien était, ne réagissant qu’intérieurement… Elle est vive, mais pas bavarde. De nature méfiante et distante, approcher quelqu’un de trop près est pour elle quelque chose d’inimaginable et d’impensable. Son ombre est la seule compagnie qu’elle s’autorise, la seule qui est aussi muette qu’elle, la seule qui est aussi irréelle que Shitto semble l’être. Elle n’aime pas être observée, se sentant salie par les moqueries incessantes du monde entier. Elle en veut au monde, autant qu’elle s’en veut, et donc évite d’approcher toute source de civilisation. Elle n’est pas méchante, mais elle a un air repoussant, glaçant, et ses cheveux cachant son visage lui donne un air si sombre et malsain que l’envie de ne pas l’approcher et la seule qui prime… La particularité mentale de la demoiselle, c’est le fait qu’elle-même ne sait pas ce qu’elle veut. Elle a peur de la foule, comme elle a peur de la solitude. C’est une personne qui se rend elle-même malheureuse en craignant tout ce qui pourrait améliorer sa vie d’un chouya, toujours ayant peur d’être déçue et de tomber plus bas. Elle n’est pas optimiste, bien au contraire, et elle n’a pas confiance en elle, ni en personne.

Façon de penser :
" La recherche du bonheur
Attise la rancœur
Envers la nommée Vie
Qui nous a toujours mentie

Le bonheur est un leurre
Qui fait courir les comblés de malheur
Jusqu’à les faire tomber dans un filet
A l’endroit où ils seront enterrés "

Nindô : "Je me cherche, me vois-tu ?..."

Aime : Se savoir seule est sa plus grande joie, comme sa plus profonde angoisse. Etant ambiguë, il est dur de savoir réellement ce qu’elle aime, et ce qui lui déplaise. Elle aime le blanc comme le noir, la nuit comme le jour. Elle ne sait pas ce qu’elle aime, ni ce qu’elle hait.

N’aime pas : Elle n’aime pas la foule, elle la craint, autant qu’elle a peur d’être un jour comprise… Elle ne sait rien de ses goûts, elle s’en imagine, mais ne sait vraiment pas ce qu’elle convoite, comme ce qui la repousse, elle se méfie de tout, et craint tout…

Tu comptes faire combien de persos ? Tu connais la règle par rapport aux multicomptes. J'aimerai bien que tu m'en parles avant quand tu décides d'arrêter des persos comme ça et de t'en refaire d'autres. J'attends ton mp pour m'expliquer.

Invité

Histoire :

Cher journal, il y a tant de chose que j’ai apprises, tant que j’ai connues sur la vie, qui me donne envie de fuir…

Au nord du pays du sable, non loin de Suna, se passait une vie commune pour beaucoup de ce monde. Teiki Eiyo vivait avec sa femme, une membre du clan Kagami, dans un foyer noble où la tradition était là plus belle chose, et la seule de vraie. Les deux membres de ce binôme étaient des ninja de Suna, maniaque et pour lesquels l’honneur et la bonne conduite étaient plus qu’un état d’esprit. Ils ne vivaient qu’à travers les coutumes et les règles, ils n’ont à peine un semblant de désirs propres. Tout leur étaient dicté par une personne invisible, par une chose presque abstraite nommée « Honneur ». La famille Eiyo était d’origine noble et la prétention comme l’arrogance coulait dans leur veine à même équivalence que leur sang. Défendre Suna au prix de leur vie, tel était leur devise… Aveuglés par tous leurs codes, ils ne se rendaient même pas compte du monde qui les entourait et de la beauté de la vie, et du coût de celle-ci. Une vie valait tous les sacrifices, mais eux, ils s’en moquaient, seules les réglementations étaient véridiques et utiles. Pour être des armes, ils en étaient… Dans le sens pathétique du terme.
La Kagami n’était pas forcément mieux. A cheval sur les traditions et respectant tous les rites, elle se rendait aveugle face aux choses précieuses qu’il y avait partout. Le culte était la seule chose de réellement palpable, et pourtant si invisible. C’était une ninja particulière, rapide et précise, au point qu’on lui avait attribué le surnom du ninja sans visage. Il était rare que l’adversaire l’aperçoive avant de mourir. C’était évidemment un peu grâce à ses facultés héréditaires, mais, nul ne devait le savoir, ça lui portait malheur et ennuis. La superstition était son repaire avant tout autre chose… On racontait il y a peu que leur équipe avait été laminée, mais qu’ils avaient continué sans état d’âme, au final, sur six ninja, il n’en restait que trois. La bonne idée leur vint un jour d’avoir un enfant… C’était comme programmé, pour l’honneur de la famille, l’aîné sera un aîné, et il se nommera Kenji…

Je n’ai d’ailleurs pas eu le choix, elle m’a chassée dès la naissance, la vie…

L’histoire d’amour presque parfaite entre deux personnes si monstrueuse était à son apogée, la naissance était proche… Cela date d’environ vingt ans, mais les souvenirs ont marqué les esprits. A la naissance, les deux familles étaient impatientes de voir le jeune garçon, héritier de leur nom, mais quelle fut leur surprise, lorsqu’ils virent avec effroi que l’enfant n’était qu’une femme… Teiki ne posa même pas un regard sur le poupon, annonçant aussitôt qu’elle ne porterait pas leur nom, le souillant de sa présence impure. L’envie de faire un infanticide lui brûlait le corps, mais il ne pouvait pas souiller son honneur pour le regagner. Il fallait vivre avec cette chose imparfaite qui n’était pas digne de porter le nom de Eiyo. Cette enfant vit le dos des deux familles, depuis cet instant, jusqu’à aujourd’hui encore… Une naissance sale, un enfant indésirable, tels étaient les gentils qualificatifs pour celle qui n’avait rien demandé au monde. Elle n’avait pas demandé de connaître la vie, elle n’avait rien souhaité, mais elle était vue comme fautive, et tout ça vit, cela aller rester. L’idiotie des uns, marque au fer rouge les autres… L’enfant resta au froid, seule, personne n’était autour, tous palpaient leur déception et leur angoisse… Malheureusement pour eux, malheureusement pour elle, et n’est pas morte du froid, elle n’eut même pas un rhume, rien… Mais dès lors, elle se sentait violement rejetait, et plus tard, elle allait apprendre que la vie n’était pas belle, loin de là…

J’ai couru, à n’en plus tenir, derrière le bonheur, bras tendus pour l’attraper, comme la vie me jetait loin de ses caresses…

L’enfant fut baptisée Shitto Kyôko, ce qui désignait la jalousie, la colère de ne pas avoir eu autre chose, et ce qui plus tard se décrira comme une envie amère d’être comme les autres, une jalousie au fond compréhensible… Mais, elle ne s’appelait pas Shitto Eiyo, non… La famille lui avait retirée son nom, jamais elle ne devait être vu avec un tel nom, elle ne devait pas leur faire plus honte qu’elle n’avait déjà faite ! Shitto Kagami, du nom de sa mère, toute sa jeunesse elle fut appelée ainsi… Quoi que non, même pas, le chien avait le droit à plus de respect qu’elle… On la laissé nuit comme jour dans un coin, et la nourriture était un luxe. Ils espéraient peut-être qu’elle meurt de malnutrition, pourtant, elle tenait bon… Pauvre bête, elle aurait mieux fait de mourir maintenant, ça lui aurait évitait bien des épreuves, bien des déception, qui n’étaient récompensées que par la froide tresse du fouet… Sa famille était pourtant cultivée et connaissait les bons principes, mais rien à faire, il s ne voulaient pas d’elle…

J’ai trébuché, et le bonheur a disparu au loin…

Lorsqu’elle était en âge de marcher, elle ne produisait aucun son, la moindre de ses balbutiassions étaient punies. Elle était hait par ses créateurs, cruelle destinée qui la pourrirait… Elle était interdite de parler, de trop bouger, de toucher aux objets en tout genre, de s’approcher des adultes et de pleurer… Elle mangeait après eux, les restes, quand il en restait, c’était son seul revenu nutritif, et ça pouvait à peine nourrir un poupon, mais elle s’en contentait. Elle n’avait pas son mot à dire, alors une plainte serait comme un avis au suicide… Déjà entre la limite de l’enfance et de bordage de bébé, elle savait déjà que jamais elle ne connaîtrait le mot « Chaleur ». Elle n’avait le droit à rien, limite si vivre lui était autorisé. Respirer consommait trop l’air du monde entier, si elle pouvait s’en empêcher… Cet enfant était là cause à tout, le malheur, leur querelle, tout était de sa faute, alors qu’elle ne savait qu’à peine marcher.

Il m’avait semé, je l’avais perdu à jamais. Pour le retrouver, il fallait courir et se battre, mais j’étais trop lente, et si faible…

Elle était en âge d’aller à l’école, et elle ne pouvait pas déshonorer en plus la famille pour son manque de culture, sa stupidité ! Ils étaient contraint de la mettre à l’école afin qu’elle sache au moins lire et compter. A l’école, c’était horrible, la sensation de frustration qu’elle ressentait faisait battre son cœur si vite qu’elle pensait qu’il allait imploser. Sa poitrine la torturait, tout comme la présence de gens. Elle n’avait jamais eu de rapport humain, dès que quelqu’un l’approchait, elle reculait, ce qui finit par faire rire les enfants, et au final, la blesser… Ils la montraient tous du doigt comme un phénomène de cirque, et elle, elle demeurait là, sans comprendre, tremblotant de peur que cette foule s’approche trop et la frappe, un peu qui ne l’a jamais quittée. Devenue agoraphobe, elle ne voulait plus sortir, se sentait mal et n’arrivait pas à expliquer pourquoi, mais de toute façon, on ne le lui demandait pas. Ses parents s’en moquaient totalement. Et puis, un jour, Shitto eut une idée qu’elle trouva brillante. Elle étudia comme une forcenée, afin d’être la meilleure dans tous les domaines pour que ses parents soient fiers et lui montrent la chaleur d’un sourire, d’un compliment… Mais ce n’était jamais assez, toujours trop bas et jamais assez haut ! Mais craignant trop ses parents, elle travaillait encore plus, jusqu’à se noyer dans les données. Elle était bien jeune encore, et déjà, elle avait passé le stade de l’enfance, il lui fallait grandir, elle l’avait senti, grandir pour qu’on se rende compte de sa piètre existence…

J’ai travaillé jusqu’à l’épuisement, j’ai appris de A jusqu’à Z tous mes manuels avant l’heure, je suis capable de parler d’un tas de chose qui peuvent sembler incompréhensible à cet âge… Pourtant, je ne suis rien, rien qu’un fardeau que l’on ne porte même pas, que l’on traîne dans la poussière pour l’humilier plus qu’il ne l’est déjà. Je ne vivais que pour ça, pour connaître les sensations qui m’étaient étrangères, maintenant je les connais toutes, et je peux les décrire, mais je ne les ai toujours pas vécus…

Invité

Je me sentais forte, presque invincible, et la joie me prit avec tant d’ardeur que j’ai mis fin à mon rêve, rêve éphémère, dernier rêve…

Et c’est durant cette période qu’un étrange fait se produit… Un nouvel arrivant était attendu, mais apparemment, les parents étaient moins braqués sur qui serait ce dernier. Un éclat était apparu aux yeux de Shitto, peut-être aurait-elle enfin une personne à qui parler, à qui se confier et qu’enfin, elle verrait sourire. Elle était si contente, si impatiente, elle l’aimait déjà, fille comme garçon. Néanmoins elle craignait pour ce prochain enfant, que si il naissait fille, il passe par le même chemin qu’elle, ça lui faisait mal au cœur rien que d’y penser. Dans quelque jour elle verrait enfin le visage de cet ange…

L’espoir me revint, mais fut tout aussi court…

Le jour étant venue, les deux familles étaient réunis, et Shitto demeurait cachait dans un coin, à ne pas bouger, elle n’avait rien à faire là elle… Lorsqu’elle vu l’enfant, et qu’elle apprit que c’était une fille, elle baissa la tête attristée pour elle, mais, contrairement à avec elle, tous s’approchèrent et la flattèrent… La petite fillette regardait a scène avec envie, mais sans jalousie, elle était contente que sa sœur, elle au moins, connaisse cette chaleur qui lui était inconnue… Son visage avait une expression protectrice, bienveillante envers le poupon à peine plus grand qu’une poupée de porcelaine. Elle l’aimait d’un amour maternel, elle savait ce que c’était déjà à son âge, mais n’avait jamais connu la sensation de bien être que cela procurait. Son cœur semblait chaud, battant dans sa poitrine joyeusement, un sentiment qu’elle n’éprouvait d’ordinaire pas, la joie… Le bienfait qu’elle avait, elle voulait le transmettre à sa sœur, pour qu’elle puisse se vanter plus tard d’y avoir goûter, mais, il ne fallait pas qu’elle sorte de sa cachette… Elle devait attendre que les lieux soient vides si elle ne voulait pas goûter à la chaleur du cuir tressé… Courant dans les ombres des arbres, elle se faufilait afin de ne pas se faire repérer, et de vite rentrer. Il fallait qu’au retour des deux ninja elle soit en train de faire les corvées, le ménage et le reste, donc il n’y avait pas de temps à perdre. Elle courrait aussi vite qu’elle le pouvait, poussant la porte coulissante et la refermant vite, puis attrapa ses serpillières, et commença à astiquer le sol comme si elle le faisait avec une pièce de monnaie. Tout devait être parfait pour les deux maniaques qui n’hésiteraient pas à la rabaisser un peu plus sous terre si ça n’était pas fait. Leur ombre se dessinait sur la toile, une main autoritaire fit coulissait la fine paroi, et ils entrèrent, tous les trois…

L’illusion ne tue pas, mais induit à l’heure, qui cause la chute de l’homme qui marche sans se soucier du reste… Leur regard était d’un froid glacial dès qu’il se posait sur moi, et il était si attentionné vers elle…

A peine entrés, l’air de leur froideur soufflait comme la bise de Yuki. Shitto voulait grelottait, enfin, inconsciemment, mais elle savait que ça lui coûterait cher d’émettre le moindre son… Elle frottait sans lever les yeux sur sa sœur, car peut-être pourrait-elle la souillait n faisant ça, elle ne voulait pas le savoir… Plus le temps passait et plus sa sœur grandissait mal. Elle suivait les instruction de ses parents et semblait être une vraie noble, qui ne regardait même pas son aînée, c’était son chien et encore. Malgré ça, Shitto l’aimait, et elle ne parvenait pas à ouvrir les yeux. Ses parents ne changeaient pas, mais il était au petit soin avec elle, son aînée était si contente pour elle… Elle, elle en était toujours au même stade, corvée le jour, la nuit et le lendemain ! La jeune adolescente, elle aussi grandissait, mais de plus en plus mal. Elle commençait à réellement se rendre compte que la vie n’était pas fait de chaleur, et qu’elle n’aurait jamais celle qu’elle désirait. La tristesse l’envahissait régulièrement, voire, tout le temps, elle était grise et ne souriait jamais… Négligée, ses cheveux étaient emmêlés et sa tenue ressemblait à des haillons… Comme si elle était une enfant de famille pauvre… Alors qu’elle est de sang noble…

Je ne comprenais pas le mot espoir, même en le lisant dans mille livres…

Sa sœur découvrait l’art du ninjutsu, elle, elle regardait furtivement, si son père la voyait, elle mangeait un coup violent, donc elle tentait de ne pas se faire remarquer. Et puis soudainement, du jour au lendemain Shitto changea. Elle voulait se rebeller apparemment et cela faisait beaucoup rire. Elle se cachait pour s’entraîner aux arts élémentaires du combat, ceux qu’elle pouvait apprendre seule, et là, il n’y avait que le taijutsu pour ça. Taper dans un tronc à froid, il fallait être idiot. Elle se détruisait les mains d’une force… Mais ça la défoulait. Enfin se sentir plutôt libre, c’était pour elle un soulagement. Elle se sentait être quelque chose, elle qui était illustré comme un vide, un néant, une absence de forme et d’utilité. Elle se sentait quelqu’un.

Tout était étrangement inexplicable, mais j’ai appris à vivre grâce au combat…

Malheureusement, ça se su… Sa propre sœur la dénonça, et si elle voulait encore subsistait, il lui fallait fuir. Elle disparu, et à Suna, plus jamais on eu vent de la dénommée Shitto Kagami… Elle avait disparu, mes ses parents, comme sa sœur et le reste de sa famille faisait comme si rien n’avait changé, elle n’avait jamais existé. Pendant ce temps, la jeune femme réduite en esclavage partit se réfugier à Kiri, ou elle entra à l’académie sous son vrai nom, Shitto Eiyo, voilant le clan de Suna, pour ne pas être trop suspectée. Qu’y avait-il à suspecter sur une femme vêtue de haillon de toute façon ? Là bas, elle eut son diplôme ainsi qu’un bandeau, qui lui semblait bien beau. Mais un jour, sans savoir réellement les raisons de cela, elle quitta Kiri. Trop de monde et trop de solitude, voila ce qu’elle se répétait. Elle voulait se découvrir une île pour elle seule et son ombre, et vivre comme elle l’en rêvait tant… L’île où elle arriva était loin d’être déserte, mais, son air mystérieux et assez malsain sembla convaincre l’assemblée…

Pourquoi la vie commence t-elle après près d’une vingtaine d’année d’existence sur ce monde ? A quoi bon chercher à comprendre ce qu’est la vie ? Pourquoi courir après le bonheur, il m’a semé à jamais. Je suis bonne pour traîner dans le couloir de l’indifférence jusqu’à ce qu’on scelle les portes du futur dans le prochain grain du sablier, et que l’on me noie entre les dunes… Née et détestée par Suna, serait-ce là l’endroit de ma chute décisive ?

Très beau ... triste mais très beau Very Happy

Re bienvenue cheers

(je vais peut être retrouver une autre Taikai ^_^ )

Pour moi c'est non, ce nouveau personnage n'a pas lieu d'être et tu sais pourquoi.

Invité

Non, tu vas me l'expliquer

Oui, je voudrais bien savoir pourquoi aussi !

En tout cas, pour moi c'est tout bon... Rien à dire d'autre...

Chinizu, c'est possible qu'on voit ça part Mp, je t'explique tout sans problème. Je veux éviter que ça reparte en pugilat ici, ou dans la cbox.

Bah pour moi c'est oui, donc tu m'expliques le tout par mp aussi ^^

Bon ben ca fais deux modos qui disent oui je crois maintenant... Donc j'accepte officielement cette fiche...