[ Habitation ] Zarch Zed

Dans la maison, deux pièces. La chambre,
où trônait un grand lit était vaste, assez pour faire des mouvements amples et
se déplacer à sa guise. De grandes fenêtres permettaient à la lumière d’entrer
et d’éclairer la pièce. Et un petit cabinet de toilette. Il n’y avait pas de
cuisine dans la maison. Zarch préférant chasser sa nourriture ou aller manger
chez sa mère où il était toujours bien accueilli. La maison de ses parents
étant en périphérie et l’académie en plein centre ville, Zarch avait choisi
cette résidence pour se concentrer sur ses études. L’air était vierge d’odeur
et les effets personnel du propriétaire bien rangés. On y recevait peu de
visite. Seul son père lorsque de passage dans le quartier y venait faire un
tour. On était justement une de ces journées.

-Oh! Bonjours père, alors la coupe
avance bien.

-Et bien tes bras me manque mais tout
va bien, les affaires tournent.

-Je suis content de vous l’entendre
dire. Et mère comment va-t-elle.

-Elle fait plus d’argent que moi et
réussie à faire ses devoirs en plus d’être présente pour moi. Je te souhaite d’en
rencontrer une aussi formidable.

-Au faite père comment vous êtes vous
rencontrer vous et mère.

-Ho ! Mon fils, je t’ai déjà raconté
cette histoire.

-Oui mais père, j’aime à l’entendre.

-Non, elle est longue et si je ne
rentre pas, fils tu sais ce que notre belle me fera !

-D’accord père. Mais dîtes moi au moins
une anecdote de votre mariage.

-Bien, c’est l’histoire de ta naissance,
dehors la neige tombait et recouvrait peu à peu le sol. La saison de coupe
battait son plein. Puis, par une de ces journées froides où je peux vendre mon
bois plus cher. La grand-mère de ta mère est venue me chercher dans les bois et
m’a amené rapidement à l’hôpital où ta mère commençait à te mettre au monde.
Ton arrière grand-père était là. Ta mère était tellement stressé et pleurait et
priait pour que cet enfant ne soit pas mort né comme les autres. Puis est venu
le moment où je t’ai extrais du ventre de ta mère. Tu étais mort comme les
autres. Ta mère pleurait, moi aussi. Nous nous étions rendu compte de rien
tellement nous étions triste mais ton arrière grand-père t’avais emmené hors de
la salle. Il t’avait emmené dans une caverne pas très loin de notre résidence.
Ton arrière grand-mère était avec lui. Il était tombé d’accord sur une chose.
Il fallait que cet enfant vive. Il avait tout préparé. Le cercle magique et
tout et tout. La grand-mère de ta mère ne m’a pas raconté les détails mais, ton
arrière grand-père s’est sacrifié pour te donner la vie.

Zarch pleurait. Son père aussi.

«Je t’aime papa»

Zarch n’avait jamais appelé sont père
«papa» parce qu’il trouvait cela enfantin, mais maintenant il se sentait comme
tel dans les bras musclés de sont père.

-(Reniflement) Bien alors je crois que
je vais rentrer sinon ta mère va me piquer une colère.

-Revenez vite père.

La journée avait été rude avec
Idame-Sensei, mais manger était essentiel. Zarch était donc partit en forêt. Il
fit le tour de ses collets pour n’y trouver qu’un lapereau pauvre et malingre
qu’il relâcha. Ce fût le tour des trappes creusé. Des panneaux indiquant des
pièges à la population avait été placé un peu partout dans cette zone. Rien n’avait
bougé. Zarch maugréait, il faudrait qu’il chasse. Il se terra donc près d’un
ruisseau. Il attendit près de trente minutes avant que quelque chose ne bouge.
Pendant ce temps, il malaxait son chakra et dissimulait son odeur sous une
plante odorante. Un gros porc-épique venait boire de l’eau. Il semblait vieux
et faible.

*Je dois manger*

Il semblait être le patriarche de la
forêt. Ses épines toute fois réussissaient toujours à décourager les prédateurs
inexpérimentés. Zarch n’en était pas un. Sans kunaï, ni shuriken qui aurait
facilité la tâche Zarch approcha armer de ses seule bottes de cuire et de son
expérience. Le vieux mâle le vit… trop tard… Zarch lui donna un coup de botte
sous le ventre ce qui le renversa sur le dos. La position rendant l’animal
armure inoffensive, Zarch prit le cou de l’animal entre la deuxième phalange de
l’index et la pointe du pouce pour lui donner une torsion assez grande que les vertèbres
minuscules de l’animale se décolèrent les une des autres avant de reprendre des
positions loin de celle que la nature leur avait accordées. Zarch prit son
butin et rentra chez lui.

Dans la noirceur de la pièce, il alluma
une bougie. À la lueur vacillante, il entreprit d’enlever chaque épine qu’il
garderait pour faire de la fibre qu’il pourrait tisser et ainsi fabriquer des
vêtements très résistant. Une fois terminé, il découpa la tête avec un éclat de
verre et la mit de côté pour la faire bouillir et blanchir pour ensuite la
réduire en poudre pour faire un baume antidouleur. Il commença à dépecer. La
peau serait gardée en appas avec les viscères. Les os, donné au chien du
boulanger en échange de saké (mauvaise habitude de Zarch). La viande de
porc-épique étant surnommée «viande de survie» à cause de sa qualité de pouvoir
être mangée crue, Zarch mangea le reste goulument pour finir par s’essuyé le
menton qui ruisselait du sang de l’animal.

*Ça aurait été bon avec des champignons
et des racines …*

Album Photo :
[ Habitation ] Zarch Zed Preom9

Père

Mon arrière grand-mère (quand elle était jeune)
[ Habitation ] Zarch Zed Idame2fj3

Idame-Sensei

Zarch venait de réussir sont Henge no
jutsu. La journée avait été longue et la fatigue présente dans chacun de ses
mouvements le faisaient mouvoir comme un vieux pachyderme. À la maison après un
repas bien mérité chez ses parents, Zarch relisait son livre de jutsu. La page
sur laquelle son regard portait s’intitulait Shunshin no jutsu.
[ Habitation ] Zarch Zed P3637nt5

*Bien alors, commençons.*

Zarch se mit à s’exercer. Au début, il
ne savait pas trop comment répartir également sont chakra à travers ses jambes…

*Dissiper le chakra, étendre le chakra*

Son chakra était toujours aussi épais,
comme un caramel fondant. Il filait ce chakra pour en faire une étoffe soyeuse
qui recouvrait ses tendons et ses fascias.

Puis, il tenta de faire bouger ses
jambes… C’est comme si on avait étiré ses muscles à la façon élastique et que l’on
avait relâché brusquement cette tension partout dans ses cellules. Le flux de
chakra était devenu incontrôlable rendant les fibres collagènes de ses tendons
égaux à des marteaux piqueurs, sur le plan de la vibration. Zarch tomba raide
et en souffrance sur son lit. Ses jambes ne répondaient plus.

*Arrgh ! Je crois que je vais y aller plus
tranquillement*

Suite à son insuccès, Zarch reprit l’entrainement.
Souffrance était de la partie. Elle cisaillait ses jambes comme un saucisson et rendait les autres essaie aussi pénible que
rare. Zarch reprit position et renvoya du chakra dans ses jambes. Cette fois la
consistance du chakra était tout autre. Zarch en avait modifié la nature de
façon à ne pas trop appliquer de stress sur ses ligaments et tendons. Il était
plus fluide, non pas comme de l’eau mais comme de la crème. Il apaisait les douleurs
en relâchant les muscles crispés et s’installait plus profondément dans les
muscles. Il actionnait ses jambes doucement, contractant un, puis son
antagoniste et créant ainsi une boucle de mouvement.

*Plier… déplier…plier…*

Zarch se mit debout et tenta le
shunshin. Il avança mais sa vitesse s’apparentait plus à celle d’une tortue qu’à
celle d’un éclair. On aurait dit un vieillard fourbu par l’expérience. Zarch
fit un, deux, quatre pas et s’écroula sur une chaise qui le reçu gaiment avec
un coin de son dossier dans le front. Assommé, il ne bougea plus et se contenta
de fixé le plafond, sans idées aucune.

Dehors, la pluie battait les palissades
et créait un boucan assourdissant. Dans le crâne de Zarch, seul ce
tambourinement persistait et donnait un sens à son état de conscience. Les yeux
révulsés, la partie enfler de son front, ses jambes d’où la douleur suintait et
ses gémissements rendait la scène de calvaire prenante et froide. Zarch tomba
inconscient.

Le réveil fut brutal. C’était
maintenant une tempête qui sévissait dehors. Dans le vent, les branche se
cassaient et virevoltait. L’une d’elle décida de percer une fenêtre et de venir
frapper Zarch sur l’épaule. Le choc causerait surement une belle ecchymose.

*Qu’est-ce que je fais par terre? Je
dois pratiquer mon shunshin.*

Zarch entreprit de ramper jusque
dehors, où il se hissa sur un banc. La pluie ruisselait sur sa peau et
refroidissait ses membres meurtris. Il regardait ces petites rigoles dans le
creux de ses mains et se questionnait sur la prochaine étape. Le vent le
giflait, se crispait sur son épave.

*Je dois réussir.*

Zarch se mit debout, non sans effort,
mais se mit debout tout de même. Il retenta sa chance. Ses cellule vibrèrent à
la même fréquence que le tonnerre qui en écho se rendait jusqu’aux oreilles de
Zarch. Le chakra dans ses jambes ne semblait même plus être le siens. Il n’était
pas fluide, ni crémeux ni même épais, on aurait dit un gaz. Un gaz léger avec
de drôle de propriété. Zarch tenta de courir. Il lui sembla bien courir plus
vite qu’a son habitude même malgré la boue qui aspirait ses pieds, mais de la à
pouvoir appeler ça un shunshin… Il força la dose. Le chakra s’échappait comme
de la vapeur des jambes de Zarch. Toute les cellules en était imbiber. Le
moindre tendon se mouvait sous les ordres du chakra.

«Shunshin no Jutsu !»

La vitesse était grande, trop grande. C’est
le mur sud de l’académie qui remit Zarch dans un monde physique normale... Une
deuxième contusion, cette fois-ci sur le front, fit son apparition. Zarch assit
dans une flaque d’eau, la main sur le front, cogitait en silence.

Tu peux rentrer dans l'académie

Shunshin +1 Vit +1 Int

L’eau qui perlait sur le front de Zarch
ne venait pas de l’orage déclarer depuis plus de deux heure. Essoufflé et vanné
Zarch réfléchissait à une manière de contrôler ce jutsu.

*Il ne me sert à rien… ce jutsu est
inutile si je ne suis pas capable de me contrôler*

Shunshin no Jutsu, l’art de la vitesse,
Zarch se querellait avec cette technique depuis la fin des classes. C’est
coucher dans la boue, les cheveux imbibé de fange que Zarch continuait à
réfléchir. Les éclair au dessus de lui retenait son attention.

*L’éclair jaune… pourquoi ça me revient
toujours en tête…*

Les yeux fermés, il tentait de se
remémorer où il avait vue ce surnom et pourquoi alors qu’il regardait l’orage
il lui revenait en tête. Le déclique fut lent et percutant. L’éclair. Il va
dans une direction, mais possède aussi des embranchements.

*Si je fais tendre mon corps vers un
autre point en le faisant dévier ce devrait marcher!*

Le sol se prêtait bien à l’exercice. Mou
et compact, il ferait modifier la trajectoire aisément. Zarch joignit ses mains
ensemble avec le tao de la chèvre pour guidé son chakra. Le chakra aérien,
volatil revint plus facilement que prévu. Les jambes ankylosées de chakra Zarch s’élança.

La vitesse, sensation grisante et
donner par une accélération. Zarch la vivait pleinement.

*Voyons voir si ça marche.*

Zarch avant de percuter un autre mur
enfouis sa main gauche dans le sol. L’effet fut instantané. En plus de décélérer,
le changement d’angle et la position finale se prêtait parfaitement à une
riposte. Car tel un pendule, Zarch avait révolutionné sur l’axe de son bras
pour terminer avec trois points d’appuis.

*Idame-Sensei sera fière de moi !*

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