[Lieu] Ce fut le lieu pour les blessés et mourrants

le reveil fut difficile pour Musa, tout son corps le lancait. Le test genin avait ete vraiment eprouvant. Cela faisait deux jours qu il dormait et il l aurait bien continuer deux voir trois semaines. A son reveil, il trouva une infirmiere a son chevet qui lui demanda comment il allait.

Alors jeune homme, comment te sens tu maintenant?

La question etait un peu ridicule vu l allure de musa qui etait momifier de partout.

Ca pourrait aller mieux mais je sens mes jambes et mes bras. Cela aurait pu etre pire. En revanche, j ai un apetit d ogre.

L'infirmiere se mit a rire et lui dit qu il ne mangerai pas avant quelques heures. Musa demanda des nouvelles de son ami et l infirmiere lui apprit qu il etait deja sorti. Ni une ni deux, musa se leva et decida de partir pour rejoindre son ami. L infirmiere essaya de l endissuader mais le jeune homme etait tetu.

Tres bien dans ce cas signe cette decharge avant de sortir de l etablissement .

Musa s executa, signa le papier et prit la route du centre ville pour retrouver son ami.

L'équipe 17 arriva prestement à l'entrée de l'enceinte médical. Kyilyiendril s'adressa à la dame qu'il avait déjà rencontré. Une femme un peu âgée qui s'occupait apparemment de l'accueil des malades.

- "Bonjour ! On a une civile blessé à l'épaule et à la jambe gauche. Son identité reste inconnu, on l'a retrouvé à l'entrée de la forêt de la zone 42 au sud-est. Elle est inconsciente, elle a perdu pas mal de sang, il faudrait s'en occupé dessuite, si c'est possible ... "

- "Ne vous en faites, pas nous connaissons notre travail... Voyons voir ça ..."

Elle remua le corp inerte, inspectant les ématomes et les entailles. Les voleurs n'avaient pas eu la main morte cette fois-çi...

- "Les blessures ne sont pas trop profondes. Il n'y a pas de souci à se faire. Je peux prendre votre identité pour vous laisser des nouvelles ?"

La dame fit quelques signes incompréhensibles à d'autres ninjas vêtu de blouse blanche. Ces derniers accoururent, matériel de soin à la main, et transportèrent le corps immédiatement dans un lieu mieux adaptés.

- "Euh ... oui, bien sur.. Kyilyiendril Anatsumyiano, chuunin membre de l'équipe 13 "

Il se retourna, voyant à coté de lui Okri, Tsuki, et Cross, attendant calmement les prochains ordres de leur professeur. La mission n'était pas encore terminé...

- "Et professeur de l'équipe 17 aussi. J'habite près de la fontaine du quartier nord, mais ne vous en faites pas, je passerais prendre des nouvelles... Merci bien pour votre travail."

- "Anatsumyiano ??? Bien, alors je ferais passer le message par ta mère. Si ça te va, bien sur ..."

Le sourire sur les lèvres, elle repartit à ses activités. En voyant autant de blessés, on pouvait vraiment se demander comment cette femme pouvait avoir l'air aussi heureuse. Le soin peut-il devenir une vrai passion ?

L'équipe 17 salua une dernière fois le bâtiment médical, avant de passer faire un rapport de mission, plutôt positif, à leur Tsuchikage...

[HRP : J'autorise (même si je n'en ait pas physiquement les droits) Silencia à venir poster ici, (et uniquement ici pour l'instant). Son inscription devrait être validé rapidement, mais en cas de mécontentement, n'hésitez pas à me MP ^^ ]

Invité

Kitari était plus que rouge lorsqu'il arriva à l'hopital d'Iwa. Trainer Kuma sur plus d'un kilomètre ne se faisait pas sans souffrance. Les veines de ses bras étaient prêtes à exploser. De plus, pour rajouter une ombre au tableau, un os aiguisé comme un katana dépassait du bras de Kitari.

Le brancard de fortune de l'Akimichi, même fait de bois, faisait peur à voir. Bien sur, Kuma n'était pas en sang, seuls quelques hématomes recouvraient son corps, mais on voyait bien qu'il n'était pas en très bon étât. Si c'eut été de la marchandise, personne ne l'aurait repris.

Kitari lâcha le brancard devant l'hopital. Il courut, les bras balants vers le secrétariat de l'hopital. Ses bras ne pourraient plus exécuter un seul exercice pendant encore un bon moment...

Kitari ouvrit la porte à l'aide de son épaule. Il y aurais été un peu plus fort que le verre se serait félé...

-Vite ! J'ai besoin d'aide ! Un... ami, a perdu connaissance ! Je l'ai ammené ici. Mais je ne sais même pas si il respire encore !

Tout le monde dans l'hopital avait regardé le genin entrer. Ils étaient tous impressionés par l'os qui sortait du bras du garcon. Mais personne ne faisait quoi que ce soit. Comment était ce possible ?

-Vite ! S'il vous plait !
-Oui petit ?

Un ninja médecin était finalement arrivé, alerté par les cris du shinobi. Il ne s'occupa pas de la lame dépassant du bras du genin.

-Mon ami, Kuma, il a eu quelques problèmes ! Il est devant l'hopital.

Kitari aurait voulu lever son bras pour montrer où était l'Akimichi. Mais sa force n'était plus suffisante pour soulever sa main. Devant l'inaction du médecins, il cria :

-Il a perdu connaissance. Vite venez !

Le Kaguya fit demi-tour, suivit par le médecin barbu. Il ouvrit une fois de plus la porte avec l'épaule. Les deux hommes coururent une petite minute avant d'arriver devant Kuma. Kuma qui était entouré de toute une foule. Le bruit était tel qui Kitari n'arrivait plus à penser.

Les battement de son coeur et les murmures du peuple emplissaient sa tête. Un tel bruit était insupportable. Il ne savait pas ce qui se passait. Finalement, Kuma n'était pas un mauvais bougre. Mais pourquoi s'était il lâché dans le vide ? Avait il envie de mettre fin à ses jours ? Ou de poser des problèmes à Kitari ?

Tellements de questions que se posait le Kaguya...

-Il s'est cassé une côte. La douleur a aggravé son êtat ! Vite ! Il faut le rammener à l'intérieur ! J'espere juste qu'il n'a aucun organe touché à l'intérieur, sinon, une hémoragie interne risque de se déclencher ! Vite !

Kitari savait qu'il faudrait une minute de plus, au moins, pour que les infirmiers arrivent de l'hopital. Il prit donc une décision qui l'anéantirais.

-Doc', prenez la droite...

Kitari se placa à gauche de Kuma. Il n'avait plus de force. Mais sa volonté remplacerait sa rage. Il se baissa pour que sa main arrive au niveau du brancard. Il gigota les doigts et saisit le bout de bois.

-Prêt ?

Kitari hocha la tête en signe de réponse. Le brancard se souleva et Kuma commenca à bouger. On voyait bien qu'un côté était nettement plus levé que l'autre. Kitari se mordait les lèvres pour oublier la douleur de ses bras. Si lui aussi n'était pas vite soigné, il risquerait d'avoir des problèmes. Ses os se régénereraient vite, ce n'était pas le problème, mais il avait un jour parcouru un livre sur le corps humains. Ses tissus musculaires risquaient de lâcher et d'être inutilisables...

Je dois tenir le coup. Jusqu'à la porte. Je peux y arriver.

Kitari était plus que rouge, si il avait été au marché, on l'aurait acheté en tant que tomate. Le Kaguya poussait tant qu'il pouvait sur ses jambes. C'était la seule chose qui fonctionnait correctement dans son corps. Il commençait presque à perdre la raison. Il fallait qu'il se repose.

Le brancard arriva enfin devant les portes. Ils avaient parcourus la distance en une minute. Mais pour le Kaguya, cette minute aurait pu durer cent ans qu'il n'aurait pas vu la différence. Le genin donna un grand coup de pied dans la double porte pour la faire ouvrir. En plus de s'ouvrir, l'une des vitre se fissura.

Le médecin ouvrit de grands yeux. Il avait compris que Kitari aussi était exténué que Kuma, près à tomber dans le noir le plus total. Et pourtant, il le voyait défoncer une porte. Il ne pensait pas voir ca un jour...

-Vite ! Venez ! On a peut être une hémoragie interne ici ! Allez ! Vite montez le brancard on auras besoin de la ...

Pour le Kaguya tout devint noir. Il ne percevait plus aucun son excepté les pas sur le sol en marbre blanc. Ce sol si frais. La roche si douce, si lisse... Et ses battements de coeur commençaient à se faire rare. Il avait sauvé Kuma. Mais à quel prix ? Allait il laisser la vie dans cet exploit ? Ou sa carriere de ninja ? Dans les deux cas, ce serait une forme de mort pour lui... Une mort, comme ce qu'il donnait l'impression d'être dans l'hopital toujours si propre. Il donnait à cet instant l'impression d'une tâche sur un papier vierge.

D'une grande tâche d'encre sur une chemise.

D'une chemise sale sur un Anbu...

D'une plaie dans un torse...

De la plus grande plaie du monde ...

Salle de réveil

Kitari ouvrit lentement les yeux, en tournant la tête vers la provenance d'étranges gémissements... Il était allongé en salle de réveil, et il crut comprendre que quelqu'un l'était également sur le lit d'à côté. C'était Kuma.
Mais celui-ci ne semblait pas être complètement réveillé, malgré le fait qu'il fut en train de parler à voix basse...

Faut tailler les moutons... faut tailler les moutons!!

Il était probablement en train de délirer à cause des effets secondaires des plantes médicinales que le docteur lui avait administré à des fins curatives. Il bougeait dans son sommeil, en répétant sans cesse cette phrase, qui n'avait pas grand chose à voir avec le contexte actuel...
Kitari, croyant être en train de rêver, posa à nouveau la tête sur son oreiller et se replongea dans le noir pendant une bonne heure...

Kita... Kita... réveille-toi, ils nous ont filés un petit dèj super classe!! Allez, y'a une belle tartine de confiote qui te tends les bras! Kita??

Ohé, Kita, sort de ton comma, nom d'une quiche!!!!

Le "Kita" en question ne manqua pas d'obéir spontanément à cet ordre qui venait de la même direction que la fois d'avant, et se redressa en sursaut. Tout comme lui à présent, Kuma se tenait assit sur son lit, avec un plateau repas posé sur la couverture.

T'en a mis, du temps...

Il prit une tartine et s'engorgea une gigantesque bouchée. Il avait bien meilleure mine qu'une demi-journée auparavant.

Le doc est passé me voir y'a 10 minutes, il m'a raconté comment tu m'avais amené jusqu'ici... c'est cool de ta part, mais t'as vraiment dû te ruiner la colonne, t'aurais mieux fait d'appeler du secours.
Ils ont dû me réanimer, et ils m'ont recousu ici et là. J'ai une côte broyée, mais il parraît que d'ici trois semeines ça devrait être de l'histoire ancienne; j'ai eu de la chance que ça n'ait pas perforé mon poumon.

Quant à toi, tu t'en es sûrement rendu compte, mais t'as perdu connaissance après avoir finit de supporter mon poids de la falaise jusqu'ici; apparemment, tu avais juste besion de repos, tes muscles des bras ne se sont apparemment pas assez déchirés pour qu'il y ait besoin d'une opération. Dans quelques jours, d'après le ninja-mèdecin, tu seras comme neuf!
Ca se serait mal passé si t'avais pas été là, merci.

Jamais il n'aurait imaginé avoir à remercier le type qu'il rêvait d'atomiser avant de dégringoler de la falaise, mais il lui devait quand même la vie.

Si j'ai lâché prise, c'est parce que je savais pas que Konoha avait été attaqué avant que tu me l'annonces. Et comme c'est là où je suis né, ça m'a fait un choc que j'ai pas supporté... Mais vers la fin de ma chute, j'ai finit par me persuader que la vie ne s'arrêtait pas là, et j'ai pu par renfocer mon corps avec ce qu'il me restait de chakra. C'est un reflèxe vital sans lequel je serais pas ici à te parler et à profiter de ces merveilleuses tartines de confiture de coing......Mhh, je devrais me faire mal plus souvent! Ce que ça peut être bon!

Sans même y avoir fait attention, Kuma venait de lâcher un gros secret à son sauveur. Peut-être était-ce à cause de son êtat de choc qu'il arrivait à être aussi sincère... A moins que ça ne fut la prise de conscience de la dette qu'il avait envers lui au point de lui confier que Konoha était son village d'origine.
Mais après quelques secondes, il commença à réalsier ses paroles.

*Et zut, qu'est-ce que j'ai fait... maintenant il va encore essayer de me tuer.
Oh, tant pis, de toute façons il doit commencer à savoir que je suis un genin d'ici maintenant, il devrait pas avoir de peine à comprendre que je ne suis pas un espion. Ou alors il a vraiment un mental restrint.*

Puis il reprit une bouchée de tartine qu'il arrosa avec un peu de jus d'orange, comme si de rien n'était. Depuis son réveil, il avait une drôle de tendance à tout prendre à la légère... D'autre part, son ton n'était pas le même que d'habitude. Il avait l'air un tantin plus serein qu'au quotidien, et pourtant, sa gorge était un peu serrée. La journée avait été émotionellement dur pour lui, et cette histoire l'avait un peu brassé. Aussi, il avait eu le temps d'y refléchir à son réveil, et en profiter poutr tirer quelques conclusion au sujet de son avenir en tant que Shinobi.

Avant de continuer, il attendit d'être sûr que Kitari n'était pas sur le point de satisfaire une nouvelle envie incontrolâble de chair fraîche sous prétexte qu'il venait de laisser échapper presque inconsciemment le nom de son village natal.

Invité

Kitari écouta attentivement tout ce que lui disait Kuma. Il était tombé de la falaise... Oui... Et il l'avait porté... Il avait failli perdre ses bras...

Et voila que maintenant le gros révélait qu'il venait de Konoha... De mieux en mieux...

-Je viens de Kiri...
Et je compte bien y retourner

Kitari n'avait jamais dit ca à qui que ce soit, excepté la Tsuchikage, Meshiroi et Kiylyiendril...

-Et cette fois, je vais pas te faire de mal...

Kitari concentra son chakra dans son bras. Ca n'aurait pas été malin que cet accident bloque son chakra... Le Kaguya utilisa sa Technique Héréditaire. Il fit sortit un os de sa peau. Il avait pris l'habitude de cette forme. Le Kunai sortit, parfaitement construit.

-Cadeau...

Kitari tendit le kunai en os à Kuma. Celui ci était parfaitement équilibré. Comme un vrai.

-Maintenant, j'ai autre chose à faire.... A la prochaine...

Kitari se leva de son lit d'hopital. Une infirmière tenta de l'empêcher de partir. Il fallait qu'il se repose encore un petit moment.

-Je me reposerais chez moi... Merci...

Kitari quitta donc l'hopital après une vingtaine de minutes dans les couloirs du bâtiment, laissant Kuma seul dans la grande pièce où de nombreuses personnes se réveillaient petit à petit après leurs intervention...

Le mèdecin arriva. Il fit un petit sourire à Kuma, voyant que celui-ci avait achevé son petit dèj avec énergie. Mais il ne tarda pas à l'effacer quand il vit que Kitari avait disparut.

Ou est passé ton ami?

Qui? Ah, lui... il est partit.

Le mèdecin fit la grimace.

Comment-ça, il est partit?? Et personne n'a tenté de l'arrêter??

Si, les infirmières. Mais malheureusement, il est infiniment plus têtu que vous et moi réunis...

Ne parle donc pas comme ça! On dirait que t'n as absolument rien à faire! Tu n'as pas essayé de le retenir?

Oh, j'avais la flemme de sortir de ma couverture. De plus, ça aurait pas changé grand chose, à part qu'il m'aurait encore frappé...

Le docteur serra les dents. Il était apparemment inutile d'argumenter. Mais le récit du gosse l'intriguait.

Encore frappé?... C'est quoi, votre relation, au juste? En arrivant, il a dit que tu étais son ami.

Ami? Vous rigolez? On est rivaux. On s'es mit sur la tronche tout à l'heure, c'est comme ça que je me suis retrouvé à tomber d'une falaise.

Le mèdecin fit un pas en arrière. Tout son récit était raconté avec tant de légerté qu'il n'en était pas du tout crédible. Il commença à croire que son patient délirait encore...
Il apperçut le Kunai posé sur le plateau repas. Il se déplaça jusqu'au petit objet et l'atrappa.

Qu'est-ce que ça fait là, ça?

Ah, il me l'a laissé avant de partir.

Le docteur garda le silence. Les actions de Kitari n'avaient pas de sens à ses yeux: il s'était battu avec lui, et en partant, il lui fait un cadeau. Pas très normal, tout ça...
Il reposa finalement le kunai blanc sur le plateau, et continua son chemin vers le couloir principal de l'étage en souhaitant Kuma un bon et rapide rétablissement. Mais au moment où il poussa la porte, le gros l'interrompit.

J'en ai vraiment pour trois semeines minimum?

Tu devrais t'estimmer heureux. Trois semeines, c'est pas beaucoup.

Oh, que si...

Le docteur fit volte-face. Il regarda son patient avec de grands yeux.

Je comprends que tu veuilles retrouver la forme pour reprendre ton entraîenement et devenir plus fort pour exploser ton rival lors de votre porchaine rencontre, mais là, si tu veux mon avis, tu manques de patience.

Kuma ricana alors, serrant le Kunai d'ivoire dans sa main.

Héhé... Vous avez probablement raison pour ce qui est du manque de patience. En revanche, vous vous trompez: je ne veux pas reprendre mon entraîenement pour exploser Kitari. Enfin... pas seulement.

Je veux avant tout progresser le plus rapidement possible pour passer des épreuves dix fois supérieures à celle que je viens de subir.

Le mèdecin écarquilla encore plus les yeux.
C'était pour ça que Kuma prenait tout ça à la légère: il avait l'impression que cette côte cassée était un passage obligatoire qu'il devait traverser pour continuer sa route du shinobi.

J'ai un nindô pacifiste. Kitari, lui, réfléchit avec son agressivité et son désir de gagner la guerre. Ce sont nos deux idéologies qui se sont confrontées tout à l'heure, et la mienne à perdu. En fait, j'ai même faillis perdre tout esopir de paix pendant un moment.
Mais comme disait un mangaka que j'adore, "les nindôs, c'est comme les Saïens, ça devient surpuissant quand ça frôle la mort". Je comprends maintenant ses paroles: je n'ai jamais eu autant envie d'arrêter ces massacres. C'est pour ça que je veux progresser, pour devenir un shinobi capable de faire des choses concrètes pour que l'armistice soit signé le plus vite possible.

Je vise l'examen chuunin.

Le docteur resta muet comme une carpe. Pas un son ne sortit de ses fines lèvres moustachues.
Puis il sortit.

_____

Portes de l'hôpital.

Kuma n'avait pas quitté le Kunai blanc jusqu'à son rétablissement total. Il passa les portes, le tenant toujours à la main. Il prit une grande bouffée d'air frais: son entraîenement allait enfin pouvoir recommencer.

*Kitari, la prochaine fois que je t'affronterait, j'aurais progressé. J'attends de toi la même chose.*

Il serra alors si fort l'arme d'ivoire que celle-ci se fendit en deux, au niveau de la jonction entre le manche et la lame. Il lança les deux morceaux par terre, et les piétinna violemment.
Il ne savait toujours pas quel camp était le bon entre Konoha et Iwa. Mais pour tout dire, ce n'était pas son soucis. Sa priorité, c'était de devenir fort, et d'égaler son père. Il choisirait alors ses alliés le moment venu.

Il repartit chez lui, et il s'en suivit un nouvel entraînement au taijutsu au dojo de son père.

6 mois passèrent...

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» [Lieu] Les Portes d'Iwa.
» [Lieu] Le parc d'Iwa