[Habitation] Grange d'Idame

Lisière de la Forêt. Limite du village. Enchantement de Konoha. Au devant des vents, aux abords de la paix ombragée. Là, proche de tout ce qui sert de "belles vues". Ces arbres, qui au fur et à mesure qu'on lève la tête, grandissent, montent jusqu'à atteindre les montagnes. Ces feuilles qui tous les matins toute la journée et même la nuit, chantent au rythme des alizés. Ces terres fertiles, cet environnement réceptif et magique. Ici, sur les débuts dénivelés d'une forêt enchantées séjourne et réside Idame Ourihana. Une grange comme des dizaines, une chemin comme des milliers, des arbres comme des millions et des vents comme des milliards... Banale banalité que de s'octroyer, pour ne payer le moindre impôt, la grange de ses parents comme "maison".

Maison inhabitée. Aux apparences dénuées de sens et sans accréditation aucune. Purement et simplement preuve de la solitude enivrante d'Idame. Un jeune homme aux parents décédés, aux parents oubliés. Konoha et ses guerres, Konoha et ses morts, qu'importait ces quelques litres de sang, dans cette grange déversée. Peu se préoccupait des morts. A Konoha seul les vivants sont dignes, les morts sont vénérés, lorsqu'ils ont été digne, sans cette dignité vous êtes oubliés. C'est ce que Monsieur et Madame Ourihana ont déplorés lors de leur mort prématuré. De faibles ninjas, juste bons à invoquer un couteau, ou guérir une égratignure... Idame lui, sentait plus que ça... Et à ses huit ans, il se retrouvait seul, avec son chakra.

Esseulé, oui... Sans ressource, non... Bien au contraire, ses parents avaient économisés toute leur vie, il avait trouvé cette argent. Leur mort silencieuse lui assurait l'héritage total. Il se servait régulièrement, et les commerçants du Village ne venaient pas s'en plaindre. Son plafond officiel demeurait à 100 Yens, si médiocres soient-ils. Mais en vérité il s'était assuré une vie vivable depuis trois longues et éprouvantes années.

Trois années qu'Idame avait passé à s'entraîner. S'entraîner pour un jour devenir assez fort, assez grand pour submerger ses sentiments, que son pouvoir lui permettre d'obtenir ses rêves, et d'enterrer ses essorts émotionnels plus nuisibles que bienfaisants.
* << Quelque soit son pouvoir, je me dois de le submerger. Quelque soit ses idées, les miennes doivent le convaincre. Je me dois de devenir le plus puissant, je me dois de dompter le domptable, mais j'obéirais à l'indomptable. Je me dois d'apprendre de mes prédécesseurs, mais je me tiens de pactiser avec ces-derniers. Le préjudice je me défendrais de connaître, car c'est l'honneur qui nous fait tomber, par préjudice je perds l'honneur, sans honneur il n'y aura préjudice. Ma grandeur ne sera que ma vie, mes actes n'ont aucun code d'honneur, ni règles de vie, ma vie est de conserver mon coeur battant, en combattant !
Idame, le combat est la réalité ; cette réalité tu dois t'apprtenir ; seul l'entraînement te mêne à la possession des batailles ; seule la force te permet de les gagner !
Je sais. >> *
Le jeune Idame avait au travers de ses heures de méditation humides, humidité larmoyante, tiré de grandes conclusions. Aboutis à de grands traits, et se dessinait une vie blinder de sang et de douleur. Après tout, pour lui, rien n'est pire que le mépris interne de sa personne propre. Il avait décidé de prendre le chemin qui le mènerai à la voix du bien-être interne. De l'obéissance du suprême et de lui louer ses services. La voie du Shinobi.

Le petit Idame vivait pour le combat, et bon nombre de papillon pâtissaient de son assidu entraînement...
* << Le combat, paragraphe 1.
Perçois
Esquive
Analyse
Anticipe
Contre-Attaque.

De la vitesse il me faudra. De la vivacité. Une grande gamme de Jutsus. L'invocation, sera ma vocation... >> *

Des poids à ses chevilles. La recherche d'un sensei. Idame s'est engagé sur la voix la plus douloureuse, mais la plus tranquillisante !

Idame revient de son premier rendez-vous avec Aiko-chan.

Idame rentrait. Ce soir il resterai au premier étage. Il se ferai la cuisine, comme d'habitude. Il mangerai une sorte de casse-croute avec ce qu'il lui reste de restes. Comme d'habitude. Une habitude monotone. Un habitué lassé.

Pourtant aujourd'hui avait changé, aujourd'hui l'avait métamorphosé.

Il mangea en vitesse, se lava en vitesse, se changea en vitesse et s'allongea... Au début il se remémora sa soirée, sa journée, sa matinée, tout. Aiko, Ikari-sensei, de nouveaux buts une raison de vivre.

Il plongea dans un livre, il apprit. Désormais il saura ce que la femme de sa vie était, serai, pensait, vivait...

Idame revient d'une journée chargée en décisions.

Il est encore dans la forêt.

Idame était aux anges. Il avait réussit. Equipe avec Aiko. Il se releva. Il sentait doucement ses forces revenir, comme de la magie, comme si elles écoutaient son désir. On dit que l'Amour donne autant de pouvoirs, il n'y croyait pas, ou tout du moins ne l'envisageait pas, il ne songeait même plus. Sans adresser un mot, Idame partit. Il leur fit un signe de main, un sourire franc, même tensui eu le droit à un petit rictus, un rictus d'excuses... D'admiration, une maladresse rien de plus cependant.

La neige frappait son visage, mais la direction qu'il prenait le séparait des intempéries. Konoha, là-bas loin devant, comme un cerceau vous tendant les bras. Il se mit à courir, doucement, juste pour aller plus vite, mais aussi profiter de ses instants. Ce n'était pas non-plus des retrouvailles à l'américaine et leurs scénarios débiles, non c'était sincère, lent, réel et surtout véritable. Il traversa Konoha en marchant, les yeux arrêtés en diverses endroits de la ville. Les marchands, lequel choisirais-tu pour fêter ça avec Aiko et Tensui, oh, et si Ikari se joignait à eux, il aura bien du temps pour eux non... Enfin, il était l'heure de rentrer. La grange en vue, hop on rentre au bercail.

Dans la Grange.

C'était le temps des grandes métamorphoses. Le jeune Ourihana, pour une on ne sait quelle raison décida de changer. Il avait changer, et il allait donner de l'importance à son image. En effet, le jeune homme hésitant et débordant de larmes avait disparu. Aujourd'hui il était Shinobi, et rien ne pourrai plus jamais le changer, car il est en contrat avec Konoha ! Mais surtout... l'équipe 8. Les visages défilaient incessamment dans sa tête, il se rend enfin compte de ce qu'était Ikari-san... celui qui lui a tout appris, et il lui manque déjà, rien qu'en sachant qu'il ne sera plus. Non, Idame chassait cette pensée, Keïko sera là demain, son examen en poche !

Il se promenait dans la maison, regroupant divers objets placés au hasard... Enfin il savait étonnamment où ils étaient, et tout cela regroupé ressemblait à un déguisement, ce n'était pas du hasard ! Idame descendait à l'étage du bas désormais. Il ouvrit une malle, sortir une veste et un pantalon. Il leur fit un bisou chacun, et remonta en courrant. Il trébucha dans les marches, voilà que le costume était tout poussiéreux. Il l'eppousta avec vigueur, et le reposa sur son épaule. Enfin le voilà sur la table à manger. Il avait tout rangé dans son placard respectif, il ne restait plus que lui et son accoutrement nouveau. Ses yeux brillaient, il commença à se déshabiller.

* Idame Ourihana. Il est temps de t'assumer disait ton père ! Et bien aujourd'hui, tu prends les devants ! Et tu t'assumes ! *

A une vitesse éclaire il revêtit ses nouvelles affaires.
Il réajusta ses petites fantaisies sur son bras gauche. Il accrocha fermement son bandeau frontal sur sa jambe gauche, par-dessus son sac à Kunais. Il trempa sa main dans l'évier, il la jeta dans les cheveux les rangeant en arrière. Ca y est il était le nouvel Idame Ourihana, celui qui osera s'assumer, qui osera s'imposer, qui s'exercera pour ses buts qu'il affiche.

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à ça :

<< Un chef d'équipe se doit d'avoir la classe... Et comme ça, j'ai la classe. Cette croix, pour toi papa, mon oeil, je vois pour toi maman, comme depuis toujours. regarde ces tâches, c'est ton sang, il voit avec moi maintenant !

Je me battrai pour Konoha, pour vous et pour son peuple ! Votre destin tragique ne touchera plus jamais un habitant de ce village, je les sauverai tous, Promis ! >>

Entraînement Premier !

Idame revient de son entraînement avec Tensui et plus tôt le reste de l'équipe

Ikari-sensei était passé chercher Idame. Il l'avait guérit, raccompagné et félicité. Idame était fier. Nous étions en début de soirée, le visage réparé mais la mine enterrée, Idame se doucha et dormis un peu.

De huit heures à une heure et quart du matin Idame dormit. Il se réveilla difficilement, mais une petite flamme dans son coeur trouble le poussait à se lever. Ils avaient décidés qu'il viendrait, il allait venir. Tout était prévu, elle lui avait tout dit. Il était tard et tôt à la fois, Idame s'en va de sa Grange.

Sortie Nocturne chez sa bien-aimée.

Idame revient de la salle de court d'Ikari-san.

"Que se passe-t-il? Je t'ai vu chuchoter avec Ikari. Pff... de tout façon je crois que cela n'était pas fait pour moi, je vais retourner dans ma solitude à errer dans mes bouquins. Mon seul réconfort est de savoir qu'eux au moins ne trahiront pas. Excuse-moi d'abandonner notre amitié comme ça."

Idame restait sur les talons, la réplique de Dokara le stoppa dans son élan. Il s'attendait sûrement à quelque chose de plus chaleureux... Enfin, après tout il n'était encore au courant de rien, on ne peut pas lui en vouloir. Ils sortirent de l'académie. Leur marche s'était ralentit, la colère n'était que passagère. Idame avait abandonné son sourire pour un air supérieur et aguerrit, une sorte de professeur qui pète plus haut que son cul. Il attrapa le bras de Dokara et l'emmena en direction de la grange. Il se retourna un bref instant, ni dit que quelques mots...

<< L'entraînement commence aujourd'hui ! >>

Il avait encore des tonnes de choses à dire, mais il savait comment s'y prendre avec le jeune homme. Être ferme honnête et véritable, tout en s'autorisant un brin de rigolade de temps à autres, mais pas maintenant. C'était à lui de venir répondre. De poser des questions, de laisser libre court à son imagination. Sa remarque précédente avait blessé Idame, il s'en rendait compte à voir le visage farouche de son pseudo-sensei. Mais...

Dokara sortit de l'académie et suivit son ami dans sa grange. Sa colère s'était apaisée et il avait retrouver son sang froid et sa tranquille petite personnalité.

La grange était plutôt sombre mais il put percevoir deux corps allonger grâce à sa vision nocturne développée naturellement lors de son enfance.

*Qu'est ce que ça signifie pourquoi des corps sont allongés dans la grange à côté d'un étrange appareil. Je ne pensais qu'Idame était capable de maintenir des corps en vie.*

"Merci pour ton aide Idame, je crois que sans toi je serais rester dans une assez mauvaise posture avec Ikari. Bon je crois que tu voulais m'aider dans la poursuite de mon entrainement, j'espère juste ne pas te faire perdre ton temps pour cela je donnerai le meilleur de moi."

*J'espère ne pas le décevoir.*

Attendant la réponse d'Idame il alluma une nouvelle cigarette scintillant dans la pénombre de la grange.

"Merci pour ton aide Idame, je crois que sans toi je serais rester dans une assez mauvaise posture avec Ikari. Bon je crois que tu voulais m'aider dans la poursuite de mon entrainement, j'espère juste ne pas te faire perdre ton temps pour cela je donnerai le meilleur de moi."

<< On va tout simplement te faire parvenir au niveau de Genin, et surtout te montrer comment se servir de ce Chakra exceptionnel. Mais tu vas aussi m'aider moi, m'aider moi avec ça... >>

Les deux jeunes hommes étaient descendus au sous-sol de la Grange. Toujours un seul et faible néon illuminait ce sol de terre. Cependant il n'était pas de terre partout, ici, au dessous de ces deux lits c'était une plaque de verre qui sous-plantait les corps. Ces corps, cadavres, momies étaient cachés d'un fin linceul, chacun de ces linceuls percés en quelques rares trous pour laisser passer des perfusions de circulation sanguine, lavage de ce sang et nutrition ; pour qu'il reste lui au moins. Idame oubliait les sentiments qu'il ressentait pour repartir dans son royaume, celui de ses rêves et secrets.

[color:720e=green:720e]<< Le fait que tu possèdes un Chakra qui transmet la régénération cellulaire, grâce à son étonnante densité et donc son immense panoplie de soins sur des zones minimes. Il agit partout, sur tout, c'est le meilleur Chakra médicale qui existe. Et j'en ai besoin pour eux... Mon Chakra n'est bon qu'à brûler tout ce qu'il touche... je dois t'apprendre à te servir du tiens. Cependant je n'en ai pas les capacités, nous n'en avons pas encore les capacités... Nous allons donc partit en découverte... A la découverte de la médecine. Une grotte, au sommet de la forêt de Konoha, une grotte sur la face nord est des montagnes, invisible du village, une grotte secrète, enfin je crois. >>

Idame se mit à l'action. Il commença à balancer des sacs vides sur son épaule. Il appuya sur un petit bouton, la couche de verre sous les corps s'enfouit dans le sol et douze roues poussèrent six par brancards. Il prit une jardinière dans son main droite, tenait six sacs dans son bras gauche, il lança la jardinière à Dokara, posa les sacs sur les brancards, et les tira...

[HRP]Pour ta couleur penser au fermeture de balises : Tu en as oublié après blue, d'où l'absence de couleurs verts.
Pour le RP, je te lance une perche pour le feeling : la jardinière lancée ;-) Allez, A demain ! Akane-chan. [Fin HRP]

Dokara écoutait attentivement Idame et le suivait pas à pas dans sa grange, pour découvrir l'installation précaire mais assez bien étudiée pour maintenir temporairement le coeur battant des parents d'Idame. La fine trace de lumière laissée par la cigarette se consumant était comme l'amitié entre les deux shinobis presque imperceptible mais étincelante. La sagesse du jeune genin laissait percevoir malgrès la diffèrence d'âge un respect un respet de Dokara envers lui, ses paroles dictant les mouvements de Dokara, la confiance de celui-ci était revenu sur son visage. Toujours dans l'ombre d'Idame, Dokara ne prononcait aucune parole peut être qu'une sorte d'admiration le laissait bouche bée. En apprenant finalement son utilité pour quelqu'un, pour son ami, il s'aperçut que son potentiel douloureusement laissé de ses parents n'allait pas être abandonné. Quand soudain un pot de fleur vide traversa la grange pour atterir dans les bras de Dokara.

*L'entrainement recommence, je n'abandonnerai plus désormais.*

"Je crois que l'on peut y aller Idame, je suis de nouveau prêt, guide moi et je te suivrai aveuglément."

Sur ces paroles Dokara laissa encore faire Idame pour les préparatifs du déménagement des précieux biens d'Idame laissant son bras droit à sa disposition.

<< Dokara ?! Tiens attrape ça. >>

Idame lança les sacs à Dokara. Ce-dernier les attrapa. Idame posa les deux brancards sur le pas de la porte, fermée. Il regarda le jeune homme, il releva ses épaules, balança ses bras en avant. Ferma un petit peu les yeux, lança le Chakra dans son corps, ses mains ses extrémités, le sol... Ses yeux se relevèrent, le Chakra ayant pris la totale possession de son système nerveux, il ne regardait plus, ne pensait plus comme Idame, mais comme Ourihana-san.

- serpent

<< Hi Bunshin No Jutsu ! >>

Quatre colonnes de feu jaillirent du sol. Quatre nouveaux Idame vinrent s'exprimer d'une seule et même voix.

<< Ohayo ! Dokara-kun ! >>

Un seul et unique Idame prit la parole. Il s'exprima calmement, sereinement, de manière ordonnée et simple.

<< Voilà huit bras qui viendront nous aider pour transporter tout ce qu'il nous faut à la grotte. J'ai un au revoir à aller faire avant ce petit voyage. Je vous demanderai de prendre tout ce que j'ai préparé dans le placard là-bas. Autre chose, Dokara-kun, une fois à la grotte, ne fume plus en présence des corps. L'aération ici est optimale, une poche de dyoxygène pur venant du sol coupée avec quelque peu d'une jolie brise dans la plaine d'à côté. Elle est alliée dans les canalisations, pour éviter les zones de disparités dans la chambre. Donc tu peux fumer, les interactions sont minimes, mais là-haut, on va déjà avoir du mal à les conserver...

N'oubliez pas le matos de camping. >>

Idame sortit, les quatre autres Idame ouvrirent le placard, s'emparèrent de tout ce que le vrai avait préparé. Deux clones se chargèrent de pousser les lits à roulettes. Dokara avait simplement quelques sacs vides sur son épaule... L'un des clones, qui s'était imposé comme guide avec ses deux duvets et ses bouts de bois, se retourna en riant.

<< Tu pourras fumer quelques clopes comme ça Akane-kun Il ne sont pas à remplir ! >>

Le Vrai Idame s'en va pour la Résidence Hyûga.

La Communauté est de sortie en forêt !

Idame revient de la Grotte

Idame était souriant... La mine décontractée et le teint saint. Il revenait de son plus long périple... Il faisait nuit Konoha, le voyage avait duré un petit peu plus de temps que prévu, mais rien d'anormale n'était à enregistrer. Konoha était comme il l'avait quittée, calme, paisible et secrète. Il avait repéré ce qu'il voulait apercevoir, le visage du septième. La maison du Hokage, elle ouvrait demain à neuf heure. Il y serait, c'est promis. Mais en attendant une bonne nuit de sommeil ferai le plus grand bien au jeune aventurier.

Dokara avait été déposé chez lui, Idame aurai juré apercevoir Ikari-san, mais ne voulant pas se brûler et plonger dans une incertitude flemmarde, il s'abstint de tentative incongrue. Il était rentré paisiblement et simplement, les deux corps étaient là, comme il l'avait ordonné à ses deux clones, qui eux avaient décidés de se consumer, réchauffant un peu l'atmosphère pour l'arrivée posée et simpliste du jeune Ourihana. Désormais, commençait une nouvelle partie de sa formation... Une nouvelle dimension à son point de vue du Ninja, et tout cela commencerai... Demain...

Il est prêt !

Idame se leva ravis et enthousiasmé... Personne ne l'attendait, il ne sait pas pourquoi il avait rêvé qu'Aiko serai là... Mais non, rien ni personne ! Ce n'était pas ce genre d'envies parasites qui allaient pouvoir endommager son allant du jour, c'est certain. Il était lancé et arpentait à deux cent à l'heure les rues étroites de Konoha No Kuni. Ces rues qui le mèneraient directement vers la clef, enfin il l'espérait.

Hokage-sama, le voilà !

Debout ! Direction le Bureau !

Dokara arrivait tout poussièreux devant la porte de la grange avec une cigarette à la bouche. Il n'avait pas l'air pressé à l'idée de retourner travailler dans sa nouvelle habitation. Frappant à la porte, il l'ouvrit délicatement et entra discrétement. Les deux corps encore présents au fond de la grange intrigué toujours autant Dokara.

*Toujours pas organisée sa grange, ni rangée d'ailleurs. Je ne sais pas si je peux vraiment compter sur lui pour m'aider à rénover ma maison. A qui demanderais-je c'est ridicule de penser ça.*

Dokara attendait fumant sa cigarette faisant de petites formes nuageuse à l'intérieur de la grange quand Idame apparut.

"Yo Idame, j'ai encore besoin de ton aide, je ne sais pas si c'est ton domaine mais pourrais-tu m'aider à rénover ma maison ? Elle est un peu grande et je ne mis connais pas trop dans les domaines féminins."

Esquissant un petit sourire à Idame, et tirant sur sa cigarette, il en avait oublié sa pesante solitude.

Idame revient de ses péripéties d'entraîneurs.

Idame sortait tout juste d'une douche, la salle de bain seul havre de paix dans cette baraque bordélique... Ses cheveux encore mouillés, une serviette sur les épaules et le pantalon d'enfilé de travers. Idame semblait plus que surpris de voir Dokara ainsi, ici. Il jeta un regard gêné partout dans la Grange, et franchement c'était pitoyable... Il passa sa main derrière la nuque, gêné par ce geste il enchaîna en fouettant un peu ses cheveux.

"Yo Idame, j'ai encore besoin de ton aide, je ne sais pas si c'est ton domaine mais pourrais-tu m'aider à rénover ma maison ? Elle est un peu grande et je ne mis connais pas trop dans les domaines féminins."

<< "Domaines Féminins" ? J'ai onze ans mec... Si tu crois que j'suis là d'puis assez longtemps pour connaître les goûts des femmes, tu t'plantes...

Par contre, rénovation, j'suis plus que Okay ! Même si va falloir éviter les gros travaux. D'ailleurs si tu veux des muscles, de la puissance et de l'endurance, j'ai celui qu'il te faut ! >>

Idame retourna dans la salle de bain, derrière une porte pratiquement invisible, il saisi sa veste, mis à sécher sa serviette, revêtit son hat, réajusta la pose du drap de bain. Et le voilà paré. Il indiqua la porte d'entrée à Dokara, tout deux rechaussèrent leur chaussure, et partirent en direction de la Villa des Akane.

S'en va voir Minako.

Un An plus tard !

La grange est belle... Elle est rangée, parfaite, entretenue et le bois auparavant dévasté s'est refait une santé. Les corps de ses parents sont dans un atelier spécialisé chez les Akane. Idame a désormais trois belles pièces et un sous-sol des plus pratiques. Il y enferme tout son attirail de Shinobi, mais aussi un petit recoin spécialisé pour la méditation et l'instruction personnelle. L'aile gauche de la Grange à laquelle était précédemment réservé la gestion du matos médical était désormais une grande, belle et rangée bibliothèque, celle d'Idame. Toutes les oeuvres de sa mère, tous les livres achetés, tous leurs livres, ceux de grand-père, de grand-mère... Tout ; tout simplement.

A l'étage du dessus, la salle de bain, toujours bien cachée derrière cette porte invisible elle était désormais propre, le lavabo, la baignoire en céramique, ocre presque saumon, tout simplement neuf. Les murs de la salle de main précédemment en un bois qui prenaient l'eau de l'intérieur, était maintenant recouvert de fin carreau, eux aussi en céramique, mais blanche incrustés de quelques motifs sans signification. Dans cette salle de bain, venait d'être aménagé des toilettes. La distribution de l'eau à l'intérieur de la Grange a été amélioré, voir même est devenue l'une des plus seine de Konoha.

La cuisine avait été enfin inauguré, et Idame prenait du plaisir à s'exercer dans son petit coin personnel. Epices, de nombreux ingrédients rares, mais aussi du riz des pâtes et tout ce qui se fait de plus courant ; Idame grandissait, aussi bien dans sa tête que dans ses pratiques. Une table en plein milieu du salon, ni télévision ou quoi que ce soit. L'électricité est apparue, la cuisine, la lumière et tout ce qui en suit rendait la vie dans la Grange bien plus profitable qu'avant. La dernière pièce était la chambre d'Idame. Elle n'avait pas beaucoup changée, c'est sûr, mais elle semblait plus propre, les bougies étaient neuves, et une commode venait combler le vide déprimant qui régnait autrefois.

C'était la nouvelle Grange, et Idame dans une nouvelle passe !

Idame revient de derrière, après la Lisière.

Idame revient de sa journée assez mouvementée. Il avait aménagé une salle de cours, s'était entraîné avec l'Hokage, avait comme d'habitude vu Aiko, et s'était entrevu avec son nouveau sensei Hibiki, avant de finir par apprendre deux techniques et de faire connaissance avec Yagami Nara. Enfin il rentrait.

Il se prépara un petit plat sympa. Une petite viande chassée il y a peu et conservé dans son congélateur. Il mit à frémir une petite casserole d'eau afin d'y faire cuire un petit riz. Il prépara dans une poêle à côté quelques épices, deux cuillère à soupe de lait, et une petite cuillère de farine. Il mit le feu sous l'eau. Il prit finalement la direction de la salle de bain. Il aimait progresser dans une grange bien rangée et belle. Il déposa es vêtements sur le bord du lavabo, alors sec, et alluma la douche. Il y resta quelques minutes, à se laver, puis à profiter de cette sensation de réconfort, de repos de tendresse. Il s'essuya se rhabilla, cette fois-ci beaucoup plus légèrement, le pantalon et un simple tee-shirt. Il repartit en direction de la cuisine, se fit un bon repas.

Il alla finalement dans sa chambre. Il prit une plume, trois parchemins. Il y écrivit :

Bonsoir jeune Genin de Konoha.
Je suis Idame Ourihana.
Vous êtes soit Minako Tzurabaia, soit Akimoto Go, soit Wariamu Kanatake.
Tous trois formez l'équipe Treize. Je suis votre nouveau sensei. Demain vous êtes convoqué dans la salle neuf de l'académie, convoqué à neuf heure du matin. Je vous y attendrai.
Sur ce, bonne soirée. Dormez bien, demain on commence.

Ida.

Il appela sa minie-panthère, elle avait grandit quelque peu. Elle partie et distribua le message à chacun des concernés.

Idame s'endormit, sa grange en parfait état. Le petit chat le rejoingnit, et ils dormirent.

Le lendemain matin, il partit, normalement comme tous les jours futurs, en direction de sa salle.

Idame va à sa salle. Elle fête ses : un jour !

Retour d'un bref passage en ville

Idame avait cette image du jeune Genin de Suna dans la tête. Mais aussi celle de ce maudit et crétin sur deux pattes qu'était Shun-Ei. Il était chargé de ses différents artifices achetés chez le marchand. Il venait de revoir Sitael-san, cela faisait bien longtemps ma foie. Il était approximativement midi, une heure. Et la porte de la Grange s'ouvrait.

Il défit ses affaires. Commença à ranger Kunais et Shurikens dans la poche qui lui avait été remise lors de son passage en Genin. Il commença à enrouler le file après avoir vérifier sa longueur. Et eu soudain un flash ! Go !

* J'ai oublié son programme d'entraînement. *

Idame retourne vite à l'école.

Idame revient de chez Dokara.

Il est aux alentours de vingt deux heures. La nuit est lourde et le lendemain se fait déjà sentir. Idame rentre, pose les plantes odorantes aux quatre coins de la Grange. Plusieurs de ces pas sont bercés par cette pensée :

* Nous sommes drôlement bizarre avec Aiko-chan en ce moment. Je ne sais pas si... Je ne pense pas qu'elle m'aime encore. Et puis moi-même je commence à me contenter d'autres choses. J'ai de nouveaux projets... La vaincre, par exemple. Je me sens mal avec elle, elle a toujours quelque chose à me reprocher. Je suis conscient que jouer l'hypocrite n'est pas la meilleure manière de vivre, mais avec elle je ne suis pas ainsi... *

L'autre pensé, qui la menai souvent de gauche à droite, comme celle qu'il choisissait lui chantait.

* Entre Aiko et moi... En Tensui et moi... Les écarts au court de cette année se sont creusés. je suis devenu de plus en plus faible, contrairement à eux qui visent toujours plus haut. Qui s'investissent de techniques plus qu'extraordinaires. Moi aussi je vais me mettre à bosser. Je vais les surpasser, le corps a des limites que mon Chakra n'aura jamais. Ma puissance va devenir immense, et je ramènerai papa et maman. Le Hikon, j'apprendrai ma première technique ce mois-ci ! *

Une fois les plantes installées. Idame alla simplement se coucher. Une journée remplie et un besoin chronique de sommeil.

Idame s'en va aux portes conformément à la mission.

Idame revenait de chez Dokara, les bras chargés.

Idame ouvrit la porte de la Grange. Il était chez lui personne ne viendrait l'embêter. il posa les corps sur la table du salon, après l'avoir dégarnit de toute la paperasse de professeur. Il retira les sacs plastiques qui entouraient les corps. Il alla fermer la porte à doubles tours. Il descendit à l'étage d'en dessous. Il s'empara de deux sacs blancs. Des sacs plastiques vu leur élasticité.

Idame posa les sacs à côté du premier corps, celui de sa mère. Il redescendit encore, cette fois-ci il remonta avec un scalpel, du fil à recoudre, un tuyaux de perfusion, et un système aspirant et filtrant, le même qui servait à maintenir le corps de ses parents en état de "refonctionnement". Il allongea le corps de sa mère, en face de lui, les jambes sur le torse des restes de son père. Il ouvrit le torse, suite à une opération des plus adroite, quelle chance ?! Non il était habitué avec les cours de Dokara. Il enfonça l'embouchure du filtre dans l'entaille faite par le scalpel. Il brancha le filtre, prit le tuyaux à perfusion. Il manquait une entaille, ou un retour, je ne sais pas mais quelque chose pour rendre son sang est ce semi-vivant... Non, Idame brancha l'embouchure du tuyaux sur le sac plastique... Il enclencha le système, dans la plus décontractée des attitudes, dans la plus livide des sérénité. Idame était devenu froid. Sa mère, il la tuait définitivement, sans le moindre scrupule dans le moindre remord. Il lui voyait son sang, on voyait à l'oeil nu, son corps instable se désintégrer peu à peu, ces veines tomber et l'espoir s'éteindre.

Idame fit une petite pause. Sa mère était vide, il attrapa le sac tout bonnement remplit à raz bord. Ce sac contenait douze litres. Idame l'entreposa en bas, dans le frigo qui lui servait de garde mangé, dans un faux fond, à l'arrière de l'appareil. Il ferma le frigo, remonta. Déplaça le corps de sa mère, y déposa le corps de son père et répéta l'opération...

Un nouveau sac de douze litres de sang. Aucune date de péremption, juste surveiller la contenance en protéines ainsi que l'équilibre et la pression dans le sac. Le dyoxygène ne se désintègre pas, seul le sucre et certaines huiles viennent à périr sous la pression, Idame surveillerait, il allait avoir besoin de ce sang.

Les deux corps, livide tait à périr au fond de la Grange, ne haut tout était toujours aussi propre, mais Idame agrandissait bizarrement le sous-sol.

* J'ai Trois sangs... Deux Kuchyose.
J'ai deux affinités, donc une troisième.
Je n'ai plus peur des problèmes...
Alors Ourihana Idame va se mettre à les causer ! *

Invité

[ Revient de l'Hopital de Konoha ]

Adami approchait, discrètement, vers la grande qui servait de lieu d'habitat à un certain Idame. Sa présence semblait nulle, mais il savait le shinobi discret et profond dans sa tête, non dans son aspect externe. Il l'imaginait dans quelques méditations ou travaux personnels, plans ou objets précis. Comme certains, il évoluait, et c'était surtout pour ça que le Kage se dirigeait vers sa demeure.
En ouvrant la porte, il sentit l'aura qu'il avait décelé dans ses yeux, dans ses mains. Mais ici, elle était plus pronocée, plus vive et plus ressemblante à lui-même. Cette grange était une partie de lui, et c'était évidemment pour cela qu'il n'en existait qu'une ainsi.
Passant les salles, cherchant le chuunin des yeux, il se décida à entreprendre une recherche vocale...

- Idame-kun ?

Pas de réponses.

- Tu es là ?

Toujours pas de réponses.

- Allez ! Je ne suis pas d'humeur à attendre aujourd'hui ! Et puis j'ai plein de choses à faire !

En suspent, Adami s'assit alors sur le sol, voyant que le jeune homme n'arrivait pas. Etait-il là, ou ne l'était-il pas ? Se cachait-il pour pouvoir épier sa réaction, ou pour... Inutile de regarder plus profondément. Il avait dit être impatient, et pourtant il était assis, par terre, bien décidé à retrouver son élève.

Invité

Plouf. Vide total. Vide pourtant si plein de son odeur, de son impressoin catalytique. Ca y est. Adami a compris. S'il le sent tout proche, c'est parce qu'Idame se doutait bien que la première chose que son Kage ferait, c'était de passer chez lui. Il chercha alors des indices dans tous les recoins de la grange.

* L'académie ! Quel imbécile je fais ! *

Il se leva, claqua la porte et partit en courant vers le centre de Konoha.

Idame revenait de son entraînement dans la salle secrète d'Hokage-sama. Personnellement dans la tourmente, animé par un questionnement digne des fois passées, il se retrouvait, comme à l'habitude seul dans des moments de solitude. Non désireux de voir se pointer de l'aide, il se rentrait dans sa mélancolie. Dans ce genre de moments, rien ne lui sourit, tout du moins c'est la manière avec laquelle il vie. Tout lui veut la mort, ou le moindre mal qu'il puit lui faire. Rien ne lui plaît, tout l'attaque... Même sa grange devenait une proie au films les plus délirants, au suspicions les plus inimaginables et insoupçonnables. Idame partait dans ses délires... Ca faisait quelque part du bien, de le retrouver.

Sa première décision fut la plus "rationnelle" de toutes, il irait demain s'entraîner avec Keïko Ikari, sans le lui en dire quoi que ce soit. Un bon retour aux sources, sûrement quelques morales et comme d'habitude un excellent entraînement, impeccable. Enfin, il n'avait pas vu ça comme ça, mais une fois encore je vous épargne ses raisonnements loufoques. Qui sont dans ces moments là, encore pire que normalement...

Sa seconde décision, et celle qui fut la dernière, était de s'entraîner, comme il le lui fut recommander par l'Hokage. Il devait donc sortir ses salles idées de son vagabond d'esprit, pour enfin se focaliser sur un calme et une sérénité qui lui permettrait de s'explorer, afin de se découvrir. Cela dit, la mise en pratique se promettait beaucoup plus délicate que la courte analyse théorique. Et le jeune Chuunin, tombait vite en panne d'inspiration quand il s'agissait de se trouver des missions internes. Ceci dit, il devait trouver, et malgré cette nouvelle manière de voir les choses, il était motivé.

Bien plus qu'une échappatoire c'était le moyen de se trouver, à la fois personnellement, mieux se connaître, penser à autre chose, évacuer ce qui le turlupiner, et laisser à son subconscient le temps de se refroidir. Mais aussi d'atteindre un nouveau niveau, à la fois en Ninjutsu, mais aussi et particulièrement dans son exercice du Katon. Trouver enfin le berceau de son affinité. Se confirmer à ses prédilections, dans des moments pareils, Idame en avait besoin. C'était bien le seul réconfort, le seul moment dans sa vie où il trouvait du réconfort, dans sa lecture et ses progrès en temps que Shinobi de Konoha...

De ces pensées venaient, le retour d'un Nindô, qu'il avait oublié, une hâte et une envie régénérée... Posé sur sa table, les jambes en tailleurs, un fil de chakra relié au sous sol, Idame ressentait, comme toujours, mais rien, pas même un neurone n'était concentré sur cette seule émanation énergétique, tout son lui cherchait... A se retrouver.

Nous étions le lendemain matin. Idame avait passé la nuit à se chercher. Il avait localisé plusieurs points sensibles aux puissants chakras brûlants et fins qui lui servaient de réserves secrètes. Il avait atteint un niveau proche du Ninjutsu de niveau Chuunin, et presque Jounin. Ceci dit c'était sa spécialité, et il se devait d'atteindre ce niveau au plus tôt s'il voulait continuer à progresser à vive allure... Mais il demeurait incapable d'user de ces endroits bizarres. Il localisait, mais il lui faudrait de la pratique pour en user. Il faut contacter l'Hokage.

Cette idée lui était venue au milieu de la nuit, lorsqu'après s'être trouvé il cherchait comment s'utiliser. De cette idée vinrent d'innombrables raisonnements, tout d'abord lui écrire cela, ensuite mettre au claire la situation, puis la reformation de l'équipe Treize... Et tous les tralalas qui se promettait à un Idame retrouvé. Il s'ouvrit, un parchemin basique comme il y en a à fusion dans sa pauvre grange, et une plume qui fut la sienne dés sa naissance. Il s'en empara, et d'une seule traite se lança...

Bonjour Adami-sama.

Cela fait maintenant assez longtemps que nous ne nous sommes point vus. Quelques heures tout au plus. Vous le savez aussi bien que moi, nous le savons tous les deux cela est mieux ainsi. Je sais, et je me doute que vous savez que notre relation, qui avait tissé plus de liens que désirés ou nécessaires, influait trop sur nos vies et nos humeurs.
Je n'avais plus qu'une envie, c'était m'entraîner à vos côtés, mais en échange ma vie elle-même en pâtissait. Le fait que, par exemple, vous soyez au courant pour Aiko-chan, puis que vous le publiiez à grandes voix... Nous a tué. Aiko et moi, ne sommes plus que partenaires shinobis. Mais je ne vous en veux d'aucune manière, car de mon côté j'ai entravé votre rôle d'Hokage en vous occupant, temps que souvent vous n'emplissiez qu'à me regarder m'essayer.
Ce temps n'était pas perdu... Il était égoïstement exploité et découvert. Désormais vous ne prendrez plus le soin de mon entraînement, enfin pour l'instant. Lorsque je serai plus apte à vous aider administrativement, peut-être nous réapprocherons nous. Je l'espère de tout mon coeur.

J'étais aussi là pour vous parler de mon équipe Treize. Wariamu Kanatake est guérit, Akimoto Go est motivé pour me suivre, Minako aillant quitter Konoha indéfiniment, je prends dans mon équipe Mitsuhide Tadayoshi.
Je m'occuperai personnellement de la réinsertion de Minako à son retour, n'aillez crainte sensei, je vous promets de ne délaisser personne.
Ils sont motivés et un entraînement nous attend tous les quatre. Je compte véritablement me rattraper à leur égard. Je m'en veux pour notre dernière altercation, et l'image médiocre d'un Chuunin de Konoha que je leu ai donné.

En espérant du fond du coeur que vous accepterez.

Idame, votre dévoué défenseur de Konoha. Votre feuille me guidera à jamais Adami-Sama !

Invité

[+3 Int ]

Tensui était dans la civière. Des larmes, perles d’or, perle de malheur, avait trempé les bandages qu’il portait au visage. Il souffrait, souffrait terriblement. Lui qui avait tant donné, qui s’était consacré toute son existence dans une voie, la voyait peu à peu se refermer. Il ne sera plus jamais un shinobi, c’était atroce, horrible. Les longs ruisseaux qui jaillissait de ses yeux, ne faisait que montrer la surface de l’infime souffrance du jeune ours. Il avait perdu, sa mère. Il avait perdu, sa maison. Il avait perdu, sa voie. Il avait perdu, sa vie. Il sanglotait, encore, et encore. Son corps tout entier tremblait d’impuissance, il se sentait mou, très mou, presque mort. Qu’allait-il devenir ? Qu’allait-il faire ? Il essaya de porte une main faible et inutile devant ses yeux, impossible, son corps ne lui permettait pas. Il ne pouvait même plus s’essuyer le visage. Il pria sa mère de bien vouloir le pardonner. Il la pria de bien vouloir pardonner sa plus grande faute. Celle de n’avoir jamais été ouvert aux autres et d’être resté dans une vision étroite d’un nindô inexacte.

Toute sa vie, il l’avait consacré à ce chemin. Petit et sinueux qu’il s’était juré solide et imprenable. Il l’avait vu, comme une voie qui le mènerais jusqu’à la lumière, jusque dans le juste et le bon. Maintenant que cette voie, égoïste, est bouchée, impraticable, qu’allait-il faire ? C’est injuste, si injuste. Les hommes le menèrent dans la grande de son ami, il lui était impossible d’arrêter de pleurer. Toute sa voie, toute sa volonté était réduis de néant, il était vaincue, définitivement vaincu. L’ours de konoha, venait-il de vivre ses dernières heures ? Impossible à savoir.

Si, moi je le sais, adorateur de mère Herpé, fondateur de l'Oracle Maudit, et toute une paperasse poétique que je vous épargnerai. Je sais que loin là-bas, dans un univers qui m'a envahie, un plaisir qui m'a conquit, jamais le coéquipier de mon bien-aimé Idame ne sera terrassé, encore moins alors qu'il ne connaît qu'une souffrance collatérale. J'ai connu pire situation que celle-ci, et pourtant je ne suis que spectateur, que conteur des évènements dont je me nourris. Tensui, tu as rendu à Idame la force de combattre, de faire face et de ne plus jamais tomber sur pile : le doute ne l'habite plus ; tu ne dois pas flancher, tu n'as aucune raison de trépigner, encore moins de disparaître. Debout mon ami.

Le jeune Ourihana accompagna les médecins à l'extérieur. L'infirmière retourna à la falaise, les deux hommes saluèrent le jeune homme, qui leur rendit la pareille. Il posa ses deux mains au sol. Idame était devenu l'un des meilleurs Chuunins de Konoha, et son passage au grade de Jounin ne serai tarder. Il déguisa sa grange, avec un Henge gigantesque. Il n'y avait plus rien, vu de l'extérieure la grange avait disparue, personne ne connaissait cet endroit, et personne ne chercherait à savoir si elle est détruite... ou Non.

Idame redescendit. Il s'arrêta sur la palier de la port,e des gémissements ridicules, des gémissements presque roques, des gémissements détrempées, et des bras paralysés. Tensui était tourné sur le côté gauche, ne faisant pas face à Idame. Le jeune Ourihana n'avait pas pitié, ne voulait pas avoir pitié ! Il ne voulait pas paraître froid, vache ou encore non préoccupé. Il s'approcha de son ami, se posa sur un tabouret, dans son dos. Il lui posa une sorte de nappe de glace, un fin filet d'eau parcouru par un fin courant électrique. Tensui frissonna, sans attraper froid, subir et profiter du bien d'une douce et tendre stimulation de vos sens...

<< Ne t'inquiètes pas. Je t'en donnerai régulièrement, ça ne me coûte presque pas de chakra, ce n'est même pas une technique. Je relie un maximum de molécules d'eau entre-elles, par un fin, très fin courant électrique, elle stimule les électrons de l'eau, et la régule bizarrement. J'ai remarqué ça en arrosant mes plantes, elles ont pris chaud une fois, puis froid la fois d'après ; alors j'ai travaillé, j'ai régulé le flux énergétique et maintenant tu ne ressens rien, mais tes sens cherchent, alors ça active ton système nerveux. Car je sais qu'il est défectueux.

Je sais aussi que tu ne pourras plus jamais être shinobi, je sais que tes muscles sont brûlés, je sais que ton chakra ne se régénère pas, je sais que tu as tout perdu... Mais je n'y crois pas. Il y a toujours un moyen.

S'il te plaît ouvre les yeux, regarde moi. Regarde où j'habite regarde ce que j'ai fais de mes parents. Regarde à quoi rime ma naissance, mon univers... Je vais te répondre, avec rien, rien d'adulte. Mais avec vous, en temps que Shinobis de Konoha no Kuni. Alors on va, ensemble te rendre ta bienveillance et ton pouvoir. Crois-moi ! >>

Idame posa sa main sur l'épaule de Tensui, il lui transmit un peu de son chakra... Le plus qu'il pu. Mais il ne maîtrisait pas encore assez son énergie corporelle, pour la transmettre à un autre corps, la donner.

Invité

[Reviens d'ici ]

Il était presque en sueur. Ayase venait de parcourir près de la moitié de la ville pour trouver Tensui, et c'est seulement au bout de deux heures de course qu'on lui raconta sa présence dans la grande d'Idame Ourihana. Il redoubla ses efforts pour arriver le plus rapidement possible chez le chuunin. Il connaissait bien cette partie de Konoha, et plusieurs fois il était passé devant l'original lieu de vie du jeune homme. Pourtant lorsqu'il arriva devant l'emplacement de sa demeure... Rien. Les arbres à perte de vue, au loin, derrière. Le beau soleil de Konoha qui se couchait, dans son inéluctable descente.

* Merde ! Y'a un truc qui cloche ! Je suis sûr qu'il habite pas là ! C'est quoi le truc encore ? Commence à en avoir marre des tours de passe-passe.... *

Une réaction. Il était assuré de ses pensées. Un signe.

"Byakûgan !"

Devant les arbres, devant les falaises, devant le soleil qui se couchait, une immense grange se dressait, blanche, comme tout le reste. Mais il y était. Il lança un shuriken, et inéluctablement, la porte s'ouvrit, et la tête d'Idame apparut. Ayase fonça fonça. La porte claqua, et les deux garçons rentrèrent dans la maison.
Sur un lit, Tensui était allongé. Il était conscient, du moins, il semblait les entendre, et les comprendre. Ayase déroula le parchemin, et il lui lit les quelques mots.

"Tensui-san, il va falloir souffrir encore un peu".

Il continua :

"Tensui Kiryoku doit apposer trois goutte de son sang sur la marge spécifique à cette utilisation. Il collera ensuite la paume de sa main gauche sur son sang. Une fois retirée, ce parchemin s'effacera de la face de notre monde. Tensui Kiryoku portera à jamais les marques de ce pacte sur une partie de son corps. Voila, tout y est."

Ayase déglutit sèchement, en attendant les évènements qui allaient forcément se produire...

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