[Habitation] Grange d'Idame

Tensui devint cet ours...

Tensui s'exila...

Tensui-san... Etait un ermite.

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Des Mois plus tard.

Idame Ourihana rentrait, escortait par une bande de Ninjas médecins, de l'hôpital. Sur un brancard, recouvert d'un drap bleuté. Le docteur rédigeait un petit message qu'il posera plus tard sous l'oreiller de l'opéré endormis. Son sommeil redevenait doucement naturel. L'anesthésie disparaissait en même temps qu'une éventuelle douleur. Botté par l'envie de se réveiller, Idame gesticulait.

Les médecins l'avaient posé sur son lit. Sans descendre à l'étage du bas. Idame, bien qu'il ne soit qu'inconscient pour l'instant, l'espérait. Ils étaient ressortis, simplement, en laissant prêt du jeune homme quelques pilules, un mot, trois litres d'eau, deux cartons de nourriture "saine" et surtout, tout son équipement personnel. Dehors, le ciel se perdait dans l'infinie nuit. Et tendrement, les premières étoiles venaient percer le ciel.

Ce voile noir apparaissait dehors, pour se lever dedans, trois jours après son opération Idame se réveillait. Instinctivement sa main se posa sur on œil. Il sentit toute sa tête le relancer. Sonner, une migraine atroce, qui pourtant ne battait pas le temps de son cœur, plutôt l'interminable cycle de son chakra... Un migraine sans pause, c'était une sensation atroce. Idame descendit du lit, tenta d'avaler une pilule. C'était assez laborieux, il refusait de lâcher son œil, tout en se servant un verre d'eau, après l'avoir subtiliser dans un placard, tout en devant esquiver un amas de présents restés posés au milieu de la cuisine ; ouvrir la boite de médoc', plonger un seul et unique doigt dans un paquet orange, sans le faire tomber, pour n'en prendre qu'un petit cachet blanc. Se le glisser habilement dans la bouche, boire une, deux, trois gorgées ; reposer, refermer le tout.

Et attendre lamentablement que la douleur passe... Ce qui n'arriva : pas.

Idame, las, se leva de son canapé en paille. Assez de n'avoir rien à faire, il se plongea dans quelques bouquins. Tout du moins il eut envie de le faire. l'écriture était minuscule, et alors qu'il parcourait la bibliothèque, il décolla sa main. Son œil resta fermé, mais un coulis de sang emprunta bientôt le sillage qui était réservé aux larmes. Il glissa ses doigts sur les couvertures. Chaque titre l'éloignait un petit peu plus de la réalité pour le plonger dans son imaginaire. Sans se maîtriser, il fit l'erreur d'ouvrir l'œil...

Car c'était ça que mentionnait la petite lettre ; n'ouvre pas ton œil avant au moins 24h. Ton corps doit s'habituer à sa présence avant de commencer à apprendre son utilisation.
Ordre... outrepassé.

Une vague de chakra émana du jeune homme. Elle était grise, le sien. Il tomba en arrière. Un fin filet de sang, tombant dans ses cheveux gris. Il n'arrivait pas à se relever... L'œil le faisait souffrir, l'épuisait. Idame tomba, inconscient. Ses rêves se tournèrent vers le passé... C'était les effets du sceau d'Haya. Et ce soir, lors de son réveil, le seul souvenir qui restait inébranlable fut : Aiko.

Idame se sentait mieux, les cachets devenaient plus utiles, et ses yeux exploitables. So cerveau s'habituait à la fusion des nerfs optiques droit set gauche sur un seul œil par le Docteur. Ses chakras sentaient mieux le Byakugan, il ne pourrait jamais le maîtrisait, mais au moins il le ressentait, et savait comment réagir, dans la mesure de ses moyens.

Emploi du temps du jour : Académie. Un voir deux petits tours.
Emploi du temps de la semaine : Académie. Si un élève est à former. Ensuite, recherche d'Aiko.

Les deux amis étaient partis du sushi bar pour arriver le ventre plein chez leur senseï, la grange d'Idame. Le voyage jusqu'au lieu d'habitation Ourihana s'écoulait lentement, Dokara en profita pour allumer une cigarette et discuter avec le Nara. Son crâne tapait lourdement, le saké avait son effet et son ventre était saturé.

"Bonne petite bouffe ça a fait plaisir."

Donnant une bonne tape sur l'épaule de Kirue.

"On peut dire que ton porte monnaie a souffert, il a l'air mal en point."

Enchainant avec une claque sur le crâne.

"Mais t'inquiète je t'inviterai à mon tour... On fera un pique nique végétarien, ça te plaira au grand air...Hé Hé!"

Arrivant devant la vieille bâtisse, Dokara jeta sa clop et les 2 Genins se mirent à cinq de l'entrée.

"T'es prêt ? Il faut s'introduire discrètement car des fois il fait des choses bizarre, suit exactement mes mouvements."

Dokara se concentra, fermant les ses yeux, Kirue en fit de même.

"Toujours prêt ?"

Les deux enfants s'élancèrent pour sauter en longueur tendant la jambe droite pour Kirue et la jambe gauche pour Dokara, leur pied en avant était prêt à frapper. Les deux corps dans les airs se rapprochèrent pour que les deux pieds se joignent. Droit devant la porte allait recevoir une grosse impact les pieds des deux élèves.

"Combo Noah Entry"

La porte céda sous la puissance combinée des deux Konohiens qui s'étalèrent sur le sol lors de la chute. La pièce était vide d'âmes, tout était rangé et propre mais où avait-il pu aller à une heure si tardive. Dokara fouilla dans les différents pièces et vit que les corps des ancêtres Ourihana avaient disparus qu'avait-il pu se passer ?

"Qu-est-ce qu'on fait maintenant ?"

"Les corps de ses parents ne sont plus là qu'a-t-il pu se passer ?"

Kirue avait suivit son nouveau partenaire jusqu'ici sans trop réfléchir. Il pensait, s'intérrogeait sur l'avenir de Konoha qui semblait resplendissant, malgrès la défaite cuisante que le village avait subit...
La destruction engengre le renouveau. Le renouveau engendre la croissance, puis la maturité. La maturité engendre la destruction.
Cela faisait parti d'un équilibre fragile qu'était celui de la nature, mais aussi celui de la politique et des différentes puissances politiques...
On ne pouvait lutter contre ces forces. Kirue avait la chance d'appartenir à la génération du renouveau. Ils devraient travailler dur, lui et Dokara. La seule perspective que cela laissait au jeune Konohaien, c'était...

*...On va en chier....J'ai pas envie...j'veux qu'on me laisse tranquillou progresser à mon rythme, me lever à midi, écouter Bob, et m'rouler des champignons...*

La voix du promu Chuunin l'arracha de sa rêverie. Il regarda autour de lui, l'air imbécile, abasourdi. Il cogita 5 secondes, avant de prendre un air appeuré....

"Le corps de ses parents? Disparus? Mais alors....

Il sortit en trombe de la grange.

"Ouin...! j'veux pas m'faire bouffer par des zombies! j'ai peur!"

Il sentit le regard pesant du ninja médecin dont la goutte de sueur perlait sur la nuque.

"Blague à part... je pense pas que fouiller chez Idame soit une bonne façon de lui faire zizir.
Si tu veux faire un petit combat d'entrainement, on peux régler ça à l'exterieur...? Allez sors!"

Dokara avait perçu la disparition des deux cadavres dont Kirue ne connaissait pas l'origine. Le petit Nara était vraiment surpris de voir que son Senseï avait cet esprit morbide de conserver les cadavres de ses parents. Les deux Genins commençaient à s'affoler réfléchissant à toutes les possibilités tel de vrais inspecteurs.

"Le corps de ses parents? Disparus? Mais alors....

Dokara rassura Kirue.

"Beh alors pt'-être qu'ils avaient envi de prendre l'air ?"

Mais le Nara s'emporta encore dans de sombres délires.

"Ouin...! j'veux pas m'faire bouffer par des zombies! j'ai peur!"

Dokara abusait par la frayeur de son compagnon, lui proposa une hypothèse.

"Mais non n'aie pas peur, c'est pt'-être un nécrophage ou un nécrophile."

Réfléchissant deux secondes à ce qu'il venait de dire, il eut une petite remontée de dégout.(ou d'égouts ^^)

"Blague à part... je pense pas que fouiller chez Idame soit une bonne façon de lui faire zizir.

"T'inquiète il verra rien dans son bordel quotidien."

Si tu veux faire un petit combat d'entrainement, on peux régler ça à l'exterieur...? Allez sors!"

Dokara surprit par la décision de son ami, ce vit tout de même ravi.

"Quoi ? Quoi ? Tu veux te la mettre ? Très bien on est parti. A..!A..! Attends je vais voir un petit truc, j'en ai pour deux secondes. Sors dehors va faire de la poussière."

Kirue sortit de la demeure tandis que Dokara s'avançait vers la table de la cuisine. S'emparant d'un petit morceau de papier, où il y laissa deux, trois mots avant de rejoindre son compagnon. On pouvait lire.

Désolé, j'étais inquiet et je suis entré un peu vite donc je m'excuse pour la porte d'entrée. Et sous le coup de la fatigue et la déshydratation je me suis permis de prendre une petite bouteille de saké. Bonne journée.

Kirue

Dokara prit la bouteille de saké et partit rejoindre Kirue pour un petit combat d'entrainement.

"Quoi ? Quoi ? Tu veux te la mettre ? Très bien on est parti. A..!A..! Attends je vais voir un petit truc, j'en ai pour deux secondes. Sors dehors va faire de la poussière."

Kirue eu un petit sourire.

*Il me sous-estime complètement...*

"Tu va voir qui la bouffer la poussière..."

Sur ce, il eu un petit sourire carnassier. Il sortit du taudit que son sensei appelait foyer. Pendant que Dokara faisait un truc dans la grange, il fit un clone, qui se mit en position de combat en attendant son adversaire, et le vrai Kirue se cacha derrière la grange.

-1 PC Bunshin no Jutsu

Dokara sortit à son tour, laissant au petit Genin le temps de préparer le terrain. Passant la porte d'entrée totalement défoncée, il put s'apercevoir que son adversaire était prêt devant lui. Immobile et concentré le Nara ne bougeait pas d'un cil.

"T'as pas préparer le terrain, je vois pas de poussière. T'es vraiment un feignant."

Puis tout décontracte, restant dans l'encadrement de la porte il lança un shuriken en direction de son ami. Puis enchainant une rapide suite de signe, il créa trois clônes.

chevre

"Kage Bunshin"

Les quatre Dokara étaient alignés, prêt pour la suite du combat, il étaient sur leurs gardes.

[-6 PC sur 173]

Kirue avait entendu Doki'-kun sortir. Il était plaqué au bout du mur Sud. Décala sa tête, et pouvait voir son clone, immobile. Il shuriken fut lancé, et fut habilement évité d'une flexion de jambes. Le shuriken siffla au dessus de la tête du clone. Celui-ci esquissa un léger sourire.

"Kage Bunshin"

Il ne fut pas stréssé par la technique. Son grand-père l'avait déjà fait devant lui. Et il avait déjà apprit comme la parer. Le seul problème, c'est qu'il avait aucun moyen de voir combien de clone Dokara avait créé, ni leur position, sans se faire reperer. Par chance, il avait plu la veille au village et il vit une flaque d'eau qui réfléchissait l'image des clones.
Ils étaient quatre; Kirue s'approcha pour mieux distinguer son adversaire et il composa le taô de la chêvre. Son ombre s'étira, et rejoin l'ombre de son clone.
Le Nara usa sa technique héréditaire pour matérialiser son ombre. Le clone bougea ses lèvres en même temps que le vrai Kirue, tout proche, prononcait le nom de la technique.

"Kage Nui."

Son ombre se divisa en quatre, forma quatre pieux très fins, qui transpercèrent chacun des Dokara. Un fut touché au bras, un autre à l'abdomen, encore un autre à l'épaule, et enfin le dernier à la jambe droite.

[Partie HRP]Kirue - 32 PC = 10 activation du Kage Mane + 2+3*Nombre de Pieux (pour Kage Mane + pieux) + 2 Bunshin.

Doky -8PCs + -20PVs [/Fin HRP]

La technique de Kirue fut parfaitement orchestrée.

Il avait pu voir le vrai Dokara, et l'attaquer sans sommation, tout en restant loin des répliques de ses clones.

Mais ce fut cher. Son Bunshin sans consistance fut détruit pas les Kage Bunshin. Dokara se retrouva frappé par les pieux.

Il regardai Kirue, qui ramenait son ombre. Ces quatre clones toujours opérationnels.

[Part HRP] Initiative, Doky'. [Fin HRP]

Dokara venait de se faire prendre dans le piège de Kirue, les quatre sombres pieux transpercés sont petit corps de part en part. Le premier avait transpercé le thorax étant passé entre deux côtes, son spongieux foie incisé le faisait souffrir. Le second avait perforé le mollet droit, le troisième était pour la cuisse gauche tandis que le quatrième exerçait une puissante douleur. Les trois clônes à ses côtés encore intacts avait échappé à ce supplice leur laissant la possibilité d'agir.

*Arg...Bien joué ce coup mais ce combat est loin d'être terminé pour lui.*

Après que les ombres se soient retirés laissant d'atroces douleurs meurtrissant le corps du Genin, il put s'apercevoir d'où provenait le jutsu. Le coin sud de la grange. Dokara établit une suite de taôs gonflant son estomac.

Coq

"Kirigakure no Jutsu"

Une épaisse brume recouvra tout le tour de la grange, laissant la forêt hors de cette épais brouillard. C'est là que Dokara agit dissimulé.

Kirue observait Dokara se remettre de sa blessure. Il souriait: son attaque avait été d'une précision chirurgicale. Il prit alors conscience que son esprit était une technique, ou plutôt une arme à part entière. Son adversaire oublia la douleur, et comprit d'ou était parti la technique. Kirue s'en rendit compte à l'expression du visage du chuunin, qui affichait une certaine satisfaction.

Sans céder à la panique, car il savait que cela ne ferait qu'empirer les choses, il fit travailler ses méninges à toute vitesse, tel un ordinateur qui analyse toutes les possibilités des quinzes premiers coups d'une partie d'échecs.

Des Taôs furent composés, Kirue restait sur ses gardes. Le nom de la technique fut annoncé, d'une voix froide et calculatrice.

"Kirigakure no Jutsu."

Du brouillard emplit toute la zone de combat. Toujours comme une machine, le cerveau du Genin prit en compte ces nouvelles variables et ces nouveaux paramètres. Une solution avait été trouvée en quelques dizièmes de secondes. Dokara n'avait pas eu le temps de le rejoindre de son côté du mur. Il agit alors caché. Puis il reparut hors de la brume, grace un bond de l'amplitude qui approchait celle vélociraptor. Il était donc en l'air, hors de portée de la brume. Il scrutait en dessous de lui; rien à faire: la brume était beaucoup trop épaisse.

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