Chihiyo
Invité
 |  Sujet: Balade au clair de lune  Mar 6 Nov - 0:33 | |
| HRP : qui que vous soyez, venez  La jeune kunoichi était sortit de la case du chef, qui s’était vidée et semblait à présent froide. Elle se recoiffait, marchant dans un village qui semblait gris, de par la tête des gens qu’elle croiait sur le moment. Tout semblait triste, pas une once de bonne humeur, il n’y avait rien, tous semblaient pareils à Chihiyo qui n’était pas des plus agréable. Même l’air était froid, il battait les cheveux de la jeune femme comme animé par un regret, une colère, une rage. Cette dernière avancé à pas mesuré, dan une démarche douce et attrayante au regard. Elle était seule, un peu égarée, et avait toujours un peu le tournis à cause des récents évènements. Elle regardais le ciel, il ne semblait pas être le même que celui de Suna, il était gris nuageux. Tout le lieu était sombre, comme si le village était en deuil… Pas après pas, silence après silence, rien ne lui était paru, elle était totalement seule dans une ville qui semblait déserte, retour en arrière, serait-elle revenue à Suna ? La jeune kunoichi, si elle était, cherchait Tenkatsukyu, peut-être s’était-il servit de la mission comme d’un prétexte pour déserter. Elle ne le savait pas, elle cherchait. Elle ne se rendait pas compte qu’elle s’était attachée attacher à lui, mais elle semblait vraiment tenir à lui pour le chercher ainsi, si désespérément. L’incompréhension et l’habitude faisaient qu’elle était perdue. Perdue à ne plus savoir quoi penser… Entre les songes qui se mêlaient de sa façon d’être et de penser, et les doutes qui mêlaient envie et incompréhension, la jeune femme qui était pourtant si froide tanguait entre raison et folie. Elle voulait voir quelqu’un, qui que ce soit, le mieux aurait été Tenkatsukyu, mais passons, elle voulait une présence pour la rassurer, elle se sentait soudainement fragile, et trop faible, la pression mentale qui était la conséquence de l’affront des ses courants lui donnait mal au crâne. « Ô chant de la nuit, pour les cœurs endolories
Ô nom du gris et des couleurs ternies… »Elle commençait à chanter les paroles que récitait sa mère avant chaque mission d’infiltration, la nuit, lorsqu’elle regardait la lune. Ses pas, lent sur le sol résonnaient d’un écho clair. Sa voix s’entendait de loin, dans ses rues silencieuses. La jeune femme s’ennuyait, elle aurait aimé être avec quelqu’un mais l’ambiance ici semblait toute aussi ennuyée qu’elle. Dans un soupir elle s’assit sur un banc, attendant une éventuelle personne.. |
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