[Salle 29] Cours de bases ninja, la salle de cours d'Hibiki

Yaemi écoutait avec la plus grande attention les consignes de son sensei puis une fois les remarques prisent en compte, il nota tous ceux ci dans son petit carnet.

*Voila de quoi bien compléter mon savoir sur le chakra… la fusion de deux éléments, c’est vraiment intéressant… oui très intéressent, j’ai vraiment d’acquérir ce type de techniques.*

Hibiki-sensei leur demanda alors de rechercher en eux l’existence même de ces deux types de chakra. Voila de quoi ravir Yaemi, il était heureux de mettre son savoir en pratique, cependant, il est facile de savoir mais difficile de l’appliquer, malgré tous, il restait imperturbable. Ne voulant céder le pas à personne, il prit alors la parole:

« Si vous le permettez Hibiki-sensei, je vais commencer l’exercice. ».

*Voila encore une qui est original, cet œil blanc, il me semble en avoir entendu parler.. Hyuga…oh! Ça y ai j’y suis, le clan Hyuga et leurs fameuses pupilles… ça devient vraiment intéressant; bon maintenant au travail!!*

Ne prêtant plus attention à la jeune fille, Yaemi fit le signe de la chèvre et se concentra afin de trouver en lui les ressources nécessaire à la fusion de ses deux chakras.
Toute sa concentration était rivé sur son chakra qui stagné au niveau de son abdomen, il faisait le vide en lui et attendait le bon moment.




*Maintenant!!*

Sans se déconcentrer il laissa échapper tout se qu’il avait en lui et espérait que sa première tentative se couronnerait par un succès.

Yaemi: "Si vous le permettez Hibiki-sensei, je vais commencer l’exercice."

Hibiki: "Bien, fait de ton mieux..."

C'est alors qu'intervint Aiko Hyûga, une nouvelle étudiante. Celle-ci étant jeune par rapport aux personnes qu'il y avait dans la salle et elle est était plus petite que lui fit chaud au coeur car c'était maintenant rare qu'une personne soit plus petite que lui mais ça se comprennait vu l'âge de la jeune fille.

Aiko: "Bonjour sensei. Je m'appelle Hyûga Aiko, étudiante à l'Académie. On m'a envoyé ici."

Hibiki: "Bonjour, Hibiki Tokaï je serai donc ton professeur dans cette académie. Tu peux t'installer, je suis à toi dans une seconde...

Hibiki lui fit un petit sourire et se tourna vers Yaemi qui était entrain de se concentrer. Le chuunin observa son élève attentivement et celui-ci essaya alors d'espulser son chakra au tour de lui mais ceci avait louper. Son professeur prit alors la parole.

Hibiki: "C'est domage mais je sens que tu es sur la bonne voie...cherche bien tes deux chakra au plus profond de toi même...

De couloir en couloir, Tensui, persuader d’être en retard accourait d’un pas silencieux, souple et rapide. La feuille à la main, se froissant, n’avait même pas eut l’opportunité d’être rangé. Les jambes souples, le regards à l’aguets, il recherche la salle de cours du professeur Tokaï. C’est en consultant le plans de l’académie qui se trouvait en fait derrière la feuille qu’il se rendit compte à quel point il venait de se perdre. Oui, les numéros de classe avaient apparemment été changé de l’année à l’autre. Habitué depuis deux ans à avoir ses points de repaire, le voici donc dans le mauvais couloir du mauvais étage. Aucune temps d’inutile, aucune temps à perdre, il rebroussa chemin et engagea un nouveau chemin. Physiquement endurant, la course ne lui faisait pas, mais il ne s’était pas attendu à ça. Pensant pouvoir être à l’heure en partant plus tôt, le revoici de nouveau en retard. Oui, de nouveau. Les deux années précédentes Tensui avait aussi été en retard pour les premiers cours. S’il était prévoyant, il n’était pas chanceux, tanpis, ses jambes rattraperont le retard. Il défila devant les portes, il défila devant les numéros. Le voici ! Il s’arrêta en glissant légèrement sur le parquet apparemment entretenu. Il se présenta donc devant la porte, le souffle court et frappa trois grands coups distincts. Reprenant une grande inspiration, il rentra dans la classe le regard calme, sa respiration se calmant déjà.

-« Excusez mon retard Senseï, je viens à l’instant de recevoir ma feuille et.. » Il ne rajouta rien. Il baissa les yeux sur cette feuille victime elle aussi de cette course folle. Il souria alors légèrement, sourire en fait à penne visible de loin. Alors il fit marche vers l’une des places libres de la classe. En avançant, son regard qui pourrait, paraître pour certain glacial, balaya la salle. Apparemment, elle était presque plaine. Mais son attention était surtout tournée vers les deux personnes aux yeux blancs. L’incompréhension et la curiosité le démangeaient. Qui étaient-ils ? Il en avait déjà vu, parfois même, ils grouillent de des quartiers de konoha. Les Hyuga et leurs regards de glace avaient bien des mystères. Et tout mystère se perce..

Alors qu’il atteignit une première place libre, il s’y assit. Il pu alors, de sa place contempler le petit amphithéâtre qui était la classe de cours. Dégainant un petit crayon de l’un de ses poches, il s’accouda au grand pupitre de bois devant lui et focalisa son attention sur le professeur. Espérons, que cette troisième année d’étude dans l’académie se passe rapidement. Il lui tardait, pourtant aussi patient soit-il, de devenir enfin, un Shinobi

Presque au premier rang, Tensui regretta de n’avoir pu vérifier le quatrième. Toute l’année précédente, le jeune garçon avait gardé cette même place, dernière place du quatrième rang, au centre même de la classe. Dominant la salle dans presque son intégralité, il pouvait tout voir et tout entendre, une aubaine. Mais tanpis, ce ne sera qu’une journée. La prochaine fois, il arriverait à l’heure et choisira sa place. Mais bon, rien n’était réellement grave. Au fond, ce n’était qu’une petite préférence, cette place lui convenait, il entendra mieux le cours. Le cours, venant au à ce sujet. Il se retourna pour observer ce que faisait la classe. Tout, ou presque étaient en position de méditation. Les mains liées, les deux index et les deux majeurs tendu, si ses souvenirs étaient bon, c’était le signe d’un l’animal à quatre pattes. Alors, toujours retourné, le regards distrait, il se remémora les cours des ans passé. Bon sang ! Il lui semblait le savoir, mais le mots ou la bête ne lui venait pas à l’esprit. La chèvre ! Oui, voila, c’était la chèvre. Ce n’était pas bien difficile, les symboles sont répertoriés, par apport au calendrier japonais. A son souvenir, ni mouton, ni brebis dans le calendrier, ce ne pouvait être que la chèvre. Machinalement, il reproduit le signe qu’il était censé connaître par cœur. Il réussit à la refaire sans trop de difficulté, et il jeta à nouveau un regard discret sur ses camarades. Certains respiraient profondément, d’autres avaient les yeux fermés.

[i]Mais alors qu’il se tournait vers son voisin, son regard fut attiré par une ombre sur le tableau. Celle d’un homme, la tête en bas. Il fronça les sourcils et leva les yeux. C’est alors qu’il aperçu ce jeune garçon. Certes apparemment plus grand et sûrement plus vieux que lui, mais tout de même jeune. Celui-ci, marchait sur le plafond, la tête en bas. Alors des sueurs le traversèrent. Comment fait-il cela ? C’est impensable ! Le jeune garçon était comme, aimanté par le plafond. Et comment a-t-il réussit à atteindre le plafond ? En volant ? Il força des yeux, et s’imagina que ce mystérieux personnage méditait. Sa chevelure s’étirait vers le bas grâce à la gravité. Gravité, défié par un adolescent ! Il en eut des sueurs froides. Saurait-il un jour se suspendre de la sorte ? Il ne voyait pas réellement à quoi ça pouvait bien lui servir. Se suspendre la tête en bas de la sorte. Ca avait certainement son importance. Ce jeune homme ne devait pas faire ça pour rien. Alors, son regard faisait le va et viens entre le professeur Tokaï et cette personne. Regard interrogatif, incompréhensif. Peut-être l’avait-il expliqué au par avant. Et peut-être alors apprenait-il à tout le monde, comment voler jusqu’au mur. Il ne comprenait rien, mais il ne réclama rien, convaincue d’avoir de lourdes minutes de retard. C’était vrai, il n’est pas arrivé en premier, bien au contraire..

Allez, il n’allait pas rester tout le cours, à observer les autres faire leurs travaillent. Il se tourna donc vers son voisin, à qui il n’avait pas encore adressé un mot. Un mystérieux jeune homme au regard blanc se trouvait à ses côtés. Il lui semble l’avoir vu dans l’académie l’an dernier. Enfin, vu de passage. Jamais parlé, jamais réellement approché. En fait, Tensui avait déduis par expérience que ces gens, aux yeux blanc, pouvaient parfois se montrer hautaines, vaniteuse et, un peu froides. Par généralité, il ne leurs attribua pas une grande confiance et une folle amitié. « Ne soyons pas comme la famille » pensa-il alors. Réagir de façon renfermé et méfiante l’aurait mené à ce qu’il ne désirait pas être. Alors, avec ce qui pourrait être un simple et très léger sourire, il se tourna vers ce camarade de premier rang et l’interpella à voix basse. Comme pour ne pas se faire entendre du professeur, il plaça sa main devant la bouche. Ses yeux, étaient tourné vers son interlocuteur, mais il n’arrivait pas exactement à le regarder dans les yeux.

« Excuse-moi, je suis arrivé à la bourre, et… qu’est-ce que vous faites ? Ils méditent ? Malaxer leurs chackra, ce genre de chose ? Et lui là-haut, qu’est-ce qu’il fait ? » Lui demanda t-il en désignant le jeune Hyûga suspendu la tête en bas de l’autre main. Il était courbé en avant, comme un dealeur qui essayait de vendre sa marchandise de contre bande. De la contre bande, s’en était un peu. De la contre bande d’information, nous appelleront ça comme ça. Tensui était clairement en train de déranger son camarade. Mais il espérait tout de même une réponse positive de sa part. Après tout, ces êtres aux yeux blancs ne sont peut être pas tous pareilles…

Alors qu'il regardait les autres élèves du cours entrain de malaxer leur chakra, Shun'ei fut interpellé par son voisin de classe. Il se retourna donc pour voir qui le dérangait pendant le cours et regarda cette personne. Celui-ci lui avait parler tout bas pour ne pa déranger le cours et ne pas se faire prendre par le professeur.

- Moi aussi je suis arrivé en retard. ils malaxent leur chakra qui se trouve en eux. C'est simple à faire. Mon père m'entraine à malaxer mon chakra depuis longtemps. Si tu n'as pas d'autres questions, j'aimerais continuer à regarder ce que font les autres.

Shun'ei se remit droit et regarda si le professeur ne l'avait pas remarqué puis posa son regard sur l'élève qui continuait à malaxer son chakra.

Shun'ei était arrivé, avec trois autres garçons, tous grands, et "vieux". A côté d'eux, le jeune Hyûga avait l'air particulièrement petit et faible. Cette pensée réussit à arracher un sourire miniature à Aiko, assise au deuxième rang, même si quelque chose d'autre l'empêchait de se sentir parfaitement à l'aise : à part elle, pas une seule fille n'était présente, et à part Shun'ei, ils étaient tous plus âgés qu'elle. Quelques-uns lançaient de temps à autres sur elle un regard simplement curieux, mais parfois méfiant ou même un brin méprisant, tandis qu’ils essayaient de ressentir leur chakra dans leurs corps, le malaxer et en tirer quelque chose. Un ou deux paraissaient y arriver plutôt bien, alors que d’autres avaient plus de mal. Seulement en quatrième année, de tels écarts de niveau ? Et lorsqu’ils sortiraient de l’académie, alors ? Qu’en serait-il ? Il y aurait des génies et des fardeaux, comme toujours. Il ne restait plus qu’à tout faire pour ne pas appartenir à la deuxième catégorie. Mais quoi qu’il advienne, le risque était limité : Le Byakugan est toujours utile. Lorsque Aiko maîtriserait cette technique, elle serait à peu près certaine de servir à quelque chose dans son équipe. C’était le plus important. L’idée d’être un fardeau la répugnait au plus haut point ; ça serait la preuve flagrante que la branche parallèle n’a aucune valeur…

Aiko entendit son cousin parler avec un des garçons qui étaient arrivés en retard. Ce dernier avait une apparence assez étrange, avec ses cheveux tirant sur le rose… C’était un de ceux qui avaient observé à la dérobée les deux Hyûgas. Shun’ei se faisait déjà remarquer. Rien ne pourrait le faire changer, celui-là…


- Bon, comme je ne vous connais pas encore, je voudrais savoir où en sont vos connaîssances.


Aiko redescendit sur terre illico presto. Hikibi-sensei, un bloc notes à la main, demanda aux jeunes futurs ninjas de donner leur définition du Chakra. Une question qui, pour un membre du clan Hyûga, revenait à peu près à décrire l’appareil circulatoire sanguin pour un médecin… Les techniques du clan reposent essentiellement sur un mode de combat qui demande la parfaite connaissance du chakra et de son système de circulation. Et bien que Aiko ne maîtrise encore aucune technique propre à son clan, elle avait une connaissance de la nature du chakra et (surtout) de son mode d’utilisation et de libération assez au dessus du niveau habituel des étudiants de l’académie. C’est donc d’une voix douce, mais assez forte pour être entendue par quelqu’un d’autre que ses deux plus proches voisins que la jeune fille prit la parole.

- Le Chakra corporel, naturellement possédé par n’importe quel ninja est une énergie à la base de touts les jutsus, produite par chaque cellule du corps, et dispersée dans tout l’organisme au moyen d’un système de circulation à part, un peu comme les enzymes dans le sang. Le Chakra spirituel, lui, est fabriqué artificiellement à force de concentration et d’entraînement. Le Chakra est donc distribué à tous les organes, mais peut aussi sortir du corps par trois cent soixante et une ouvertures, les Tenketsu, afin d’être utilisé pendant un combat. Les Tenketsu sont répartis dans tout le corps, mais on les trouve plus concentrés au niveau des mains, et des yeux pour certains ninjas. Tous les ninjas n’utilisent pas le même type de jutsu, on trouve donc plusieurs types de chakra, reconnaissables par des couleurs différentes : un ninja médecin a un chakra de couleur verte, alors qu’en temps normal il est bleu. On différencie aussi le chakra par les affinités, je crois qu’un utilisateur du katon n’aura pas tout à fait le même chakra qu’un adepte du suiton…

Ah… Un doute… Dommage. Mais elle avait largement assez parlé pour la journée, maintenant. Le quota de mots était largement atteint. Aiko, dont la voix avait augmenté de volume jusqu’à devenir parfaitement audible par chaque personne de la classe, diminua d’un seul coup pour reprendre son timbre normal lorsqu’elle était devant un sen'pai. D’autant plus que la classe en était remplie. Parfait pour se redonner confiance. Hum…

* On va voir ce que les autres ont à dire, et ce que j’ai oublié.*

Shun'ei écouta la question qui venait de lui être posé avec attention. Sa cousine avait prit la parole en première et écouta sa réponse. Etant un Hyûga, il en savait beaucoup sur le chakra ainsi que la circulation de celui-ci.

Il se leva tranquillement et regarda le professeur qui attendait sa réponse.

- Le chakra est l'énergie créé lors du mélange entre l'énergie spirituelle et l'énergie corporelle.

l'énerge coporelle est celle qui se trouve naturellement dans le corps. Alors qu l'énergie spirituelle est celle qui est produite lors d'un entrainement, ou autre.

Le système circulatoire du Chakra est est pratiquement le même que le système sanguin. Tout comme pour le sang, ce sont des vaisseaux qui transportent le chakra dans tout le corps.

Ce dernier contient 361 ouvertures. Le Chakra se libère par toutes ces ouvertures.

Après avoir fini de dire tout ce qu'il savait sur le chakra, Shun'ei se rassit sur sa chaise comme il s'était levé.

Les deux Hyuga avaient parlé. Tensui esquissait un sourire quelque part nerveux. Tant d’explication, tant de choses qu’il n’aurait jamais pu certifier. Bon, sa mémoire était surtout visuel, il ne retenait que très rarement ce qui pouvait se dire en cours. Il était vaillant, et pourtant, il mettait du cœur à l’ouvrage. Etudient, encore et encore dans l’espoir de merveilleux résulta. Résulta, finalement médiocre. « J’y arriverais ! » Ce sont ses mots, au début de chaque interrogation, contrôle ou test. Lorsqu’il s’agissait d’Oral de Chackra , ou n’importe quel domaine, Il lui fallait travailler heures après heures pour ses petits résultats. Mais la persévérance paye, un jour ou un autre, il ramassera le blé qu’il aura semé. Il en était convaincu. Mais là, il lui fallait répondre à une question. Et pourtant, les explications qu’il voudrait donné, n’avaient rien à voir avec celles qui avaient été dite. Visuel, il préférait l’imager. Mais les dernières paroles l’avaient remis à sa place. Trois cent soixante et une ouverture ? Les types de Chackra ? Il avait quand même du retard ! Il le rattraperait, sa volonté le voulait ! Deux sur quatre avaient donné leurs pensées du Chackra, serait-il le troisième ? Il tourna la tête et pu voir que le Hyuga s’était lever. Il était en train de se rasoir calmement. Il se concentra sur ses cours précédent, mince que les pauses sont rudes ! Les visions brumeuses lui apparurent, tant bien que mal d’une voix douce et calme et prit la parole.

« ..Je suppose que tout est déjà dit, alors je le dirait autrement mais.. Ce n’est pas simple. Il y a deux couleurs, le bleu pour l’esprit, le rouge pour le corps. Tout deux, sont des chackra naissant de la nature même, l’autre du talent et de l’entraînement. Il faut réussir à les maîtriser tout deux pour les mélanger. Euh… oui, c’est bien ça. Nous avons au niveau du nombril, le centre des méridiens qui transportent le chackra. C’est ici, que le mélange doit s’effectuer. Alors quand les deux couleurs se rencontreront, le rouge viendra au bleu et le bleu viendra au rouge, ce sera alors le phénomène dit « malaxer ses chackra ». Ce chackra prendra alors une autre couleur, nous diront la couleur verte dans ce cas là. Cette couleur permettra bien des faits comme, produire du feux, de l’eau ou bien d’autre choses.. Voila.. C’est comme ça que je le vois» Termina t-il calmement. Sa voix n’avait subis pas la moindre hausse. Tout avait été dit sur le même ton, malgré ses quelques hésitations. Oui, les souvenirs de ses cours passé étaient flou. Et il aimait adapter ce qu’il pouvait se dire en cours par ses propres images. Ainsi, il garde un point de vue personnel. Ça ne l’aider pas, certes. En fait, se fier à des professeur serait plus judicieux. Un trait de caractère dû aux complications que peuvent causer une famille. Il est tel qu’il est, égal à lui-même.

Voila, son tour s’était achever. S’il avait bien parlé ? Il n’en savait rien. Tout ce qui comptait, c’était qu’il avait donné son point de vue. Mais il se sentait, un peu comme un enfant avec ses comparaisons primitives. D’autres, avaient utiliser les termes techniques, les termes employer en cours. Il savait pertinemment qu’il ne pourrait pas toute sa vie parler de couleurs qui se rencontres et qui forment d’autre couleur avec des explication en fait plus compliqué. Tanpis, il travaillait durement chaque jours, et certaines nuit pour arriver à tout assimiler. Le chackra n’est pas quelque chose de simple, en fin, pas dans tous les esprits. Le chackra, d’ailleurs, Tensui se rappelait qu’il lui restait encore quelques lacunes à l’utiliser. Du moins à le malaxer, puisqu’il n’avait pour ainsi dire appris que ça. Il était loin de ressentir ‘cette grosse bouffé de chaleur qui vous envahir vous parcoure les membres. ‘D’ailleurs, oui, il n’avait pas terminé de parlé, il devait maintenant dire ou se termine ses connaissance.

« ..Après pour ma part, je ressens les chackra du corps, je ressens en faible dose l’esprit, et j’ai quelques lacunes pour les malaxer. L’an dernier, on me répétait que je n’irais pas bien loin si je ne rectifie pas ce paramètre.. En fin, bref, je dois voir à peu près ce que c’est, je le sent légèrement et je ne comprend pas comment le malaxer.. » Il ne rajouta rien. Se sentant comme humilier, il baissa la tête. Mais en lui, une volonté grondait. ‘J’y arriverais !’ Il ne tarderait pas l’instant ou il montrera une valeur bien plus positive que celle qu’il pouvait dégagé en cette instant. Il ne tarderait pas, l’instant ou il releva la tête dignement, avec l’honneur qui va avec.. Pourvus que cette instant arrive.. mieux vaut vite que tard..

*Des portes ? Il sort ça d’où, on l’a pas appris ça l’an dernier.. Nous verront bien ce qu’en dit le professeur, mais ça me semble bizarre. Il y aurait des portes pour limiter le flux du chackra ? C’est intéressant, ça* Ses yeux se mirent à fixer le vide. En plaine réflexion, il était en train de se demander, si ces fameuses portes n’étaient pas différentes chez lui. Ce qui expliquerait le fait qu’il ne ressente pratiquement pas de chackra en lui. Pensif, peut-être essayait-il de se rassurer en se proclament d’or et déjà comme quelqu’un de mauvais. Pourtant, ce qui était du Ninjutsu, il l’était. C’était le point de vue de ses anciens enseignant, Tensui n’avait aucune habilité dans le domaine de ninjutsu. Les tests de Genjutsu catastrophique ils en ont donc déduis que le jeune garçon n’avait, en lui, pas beaucoup de capacité dans le domaine du chackra. Pour lui, peut-être ces fameuses portes étaient la terrible cause de son handicap, peut-être pouvait-il faire enfin quelque chose pour devenir quelqu’un de doué.

Si son chackra n’était pas son don, alors sa volonté le serait. Il persévérerait toujours et encore pour pouvoir défendre ses motivation et pour avoir l’opportunité de défendre ceux qu’il aime. Un peu comme le rêve de sa mère. Les rêves, motivations, et ambitions des parents, ont toujours de grosses répercutions sur les enfants. Lorsqu’une femme et un homme créent la vie, ils offrent également leurs volontés et leurs raisons de vivre à leurs bien aimé.

Après ce court moment de rêve, il cligna enfin des yeux pour retomber sur le monde réel. Il ne devait pas, se rêver doué de maîtrise, alors que ce n’était pas le cas. Il est intéressant de vivre ses rêves, à conditions qu’il y ait le mérite à côté. Sans mérite, la vie n’a plus aucun sens, alors il obtiendra ce mérite et vivra ses rêves ! D’un regard déterminé, il fixait calmement le professeur Tokaï. Celui-ci avait toujours ce bloc de feuille dans les mains, et les quatre personnes retardataires avaient parlé, la correction allait tomber. Sans trop bouger le buste, il jeta son regard d’azur sur le reste de la salle. Certains méditaient, d’autre discutaient discrètement.. Comme une classe normale. Puis il chercha des yeux, les deux autres personnes qui avaient parlé. L’un d’entre eux, ne se trouvait pas loin, il était un garçon plus vieux que lui à sa voie. L’autre, lui semblait être asse éloigné dû à sa petite voie, et elle était une fille apparemment plus jeune que lui.

Enfin, il se redressa. Il lui était impossible de savoir qui et où étaient ces personnes. Et puis, Tensui n’en accordait pas une attention primordiale. Son regard attentif et calme se leva un moment sur ce jeune homme pendu au plafond, et il se recentra finalement dans les yeux du jeune professeur. *…Voyons ce qu’il a à nous dire…*

Mais c’est alors que Tensui remarqua le lourd silence qui reposait sur la classe. Un silence rare, voir exceptionnel. Pour Tensui, ce genre de calme, en trois années d’académie, pouvait se compter sur les doigts de la main. Il regarda donc autour de lui une nouvelle fois, mais cette fois avec un air curieux. Tous étaient concentrés, assidu, et attentif. Excellente chose. Il se passa la main droite dans sa chevelure étrange, comme s’il était las. Il fixait le professeur qui se trouvait devant eux, toujours le bloc à la main…