[Lieu] Armurerie de Konoha.

Kanaxu entrait dans le grand magasun

*c'est grand !!!! jed crois que j'"ai trouver mon choix*

"bonjour monsieur !! jue voudrais 3 kunai, un fuma shiruken, et 3 mètres de cordes s'il vous plait !!!"

D'après les recommandation de Gari, Hibiki alla de ce pas se préparer pour la mission. Pour cela, il se dirigea vers l'armurerie pour certainement mieux s'équiper. Pour aller plus vite il passa par les toîts car il y a rarement plus de monde sur les toîts des maisons que dans les rues. Arrivé devant à la fameuse boutique, il entra bien évidament. Il salua le gerant avant de commencer à regarder un peu partout afin de trouver son bonheur. Le chuunin passa devant la multitudes de sortes de Kunai et de Shuriken, en passant devant les fameux et inévitable Katana qui était certe bon marché mais très bonne qualité, il passa ensuite devant les sabres de plus grosse taille style Daï-Katana ou autres Cimeterres. Il regarda la qualité des tissus des vêtement pour ninja plutôt "friqué" ou plus simplement "bourré de tune". Il trouva une pleine vitrine ramplie de parchemin et autre notes de tout type puis il tomba sur les "armes" médical comme les pillules de combat et pillules de poison. Il arriva ensuite devant toutes sortes de filets et de cablage puis il resta net quand son regard ce posa sur cable de capture ninja qui était très discret.

*Ca ! Ca pourrait m'être utile dans l'avenir, peut-être même pour cette mission et puis c'est pas trop chère. Ca me donne même des idée d'utilisation offencive. Merci Slyfer ! Tu ma donner une excélente idée !*

Il sortit alors son porte-feuille et calcula combien ça aller lui coûter. Après cela il sortit l'argent nécessaire à son achat avant aller devant le comptoir. Il posa l'argent sur la plaque faite à cette effet et demanda son produit.

"J'ai enfin fait mon choix, je voudrai 30 mêtres de cable de capture ninja s'il-vous-plais. Ne vous inquiétez pas, j'ai assez pour payer."

Le vendeur tendit a Kanaxu ce qu'il avait demandé, rien ne manquait.

Il lui demanda 355 Y.

Ensuit vint le tour de Hibiki.

" Tu veux parler des fils transparents ? non ?
Je t'en prépare donc 30 mètres. Ca fera 300Y "

Kanaxu eu une grosse suprise en voyant que le vendeur était son sensei préféré ...

*gari sensei ???!!!*

"gari-sensei !!! c'est vous !! je ne vous avez pas vu depuis longtemps !!!!voulez vous bien vouw entrainer plus atard avec moi dans la foret ???"

Kanaxu pris ses objet et donna l'argent en attendant la réponce de son sensei ...

[Poste d'introduction pour Hebi]
La vieille armurerie essayait de reposer en paix, aux côtés de la grande académie. Pourtant, depuis longtemps délabré, depuis peu en ruine, elle semblait maintenant être en proie de la haine qui soufflait dans le grand village. Des flammes semblaient danser leurs libertés en haut de chaque toiture, l’armurerie n’en faisait pas exception. Mais alors, pourquoi une telle zone désinfectée avaient-ils attiré la rage des envahisseurs ? La réponse ne tarda pas. Une énorme détonation eut lieu, tout vola en éclat. Les ruines fatiguées d’une bâtisse épuisé rendit son dernier souffle, le bâtiment n’était plus.

En effet, il restait probablement des explosifs inexploité dans le grenier, au grand bonheur des attaquant, au grand malheur de konoha. Des hommes, s’étaient réfugié autour de ce bâtiment, tous étalèrent un sang bouillant sur les rues du village. Une odeur quelque peu nauséabonde enveloppa les lieux, l’horreur était omnisciente. Une retombée de chair, eut lieu quelques secondes plus tard. Des bras, des morceaux de corps brûlé retombèrent au sol. C’était horrible, Konoha, pauvre Konoha était de lambeau.

L’académie, n’avait été qu’à deux mètres de l’armurerie. Une minuscule rue divisait les deux bâtiments. Maintenant, seul ce morceau de l’académie ne restait sur cette place.. Pour combien de temps ? Dans l’ancienne rue, le côté du mur de l’académie avait un trou carré de bien soixante dix centimètres de côtés. Ce trous, recouvert d’une épaisse grille n’étaient qu’une bouche d’aération pour faire respirer les salles de cours du bâtiment. Un souffle chaud s’engouffra dans celui-ci, un souffle imbibé de sang…

Les conduits d'aération avaient beau être étroit, la petite Hebi parvenait à s'y faufiler sans véritable problème. Sa progression était constante, calme, sans hésitation... le seul point notable semblait être ses quelques arrets, durant lesquels la gamine vérifiait l'état de sa coiffure, avant de poursuivre sa route. Elle rempait dans ce fin boyau, tout droit, comme le chuunin le lui avait demandé. Les ouvertures défilaient sur ses côtés :
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Hebi continuait à remper, glissant sur le métal froid du conduit comme une couloeuvre, souple comme une anguille. Les bruissements de son kimono délicat s'élevaient, dans l'étroit boyau, rebondissant sur les parois, amplifiés par l'étroitesse des lieux. Insensible à ces sonorités, le regard vissé à son objectif, la jeune fille continua sa route, tournant directement à gauche. Là encore, elle rempait à une vitesse constente, faisant attention à ce que sa tête ne touche aucune paroi... A chaque ouverture, elle jetait un regard curieux, sans s'arrêter dans sa progression.
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5 à droite. Se recroquevillant sur elle même, la gamine porta sa main à son pied, pour rechausser sa sandale qui commençait à partir. Une fois chose faite, elle avança d'à peine quelque mètres pour tourner directement à gauche, encore une fois. Au bout du tunnel, il y avait la lumière. Imperturbable, elle évoluait vers cette lumière, résillée par une grille étrange. L'odeur qui emplissait ses narines ne lui arracha pas même un haussement de sourcil, tandis qu'elle arrivait au niveau de la grille. Là, comme convenu, elle descendit, en silence.
Une fois chose faite, elle attendit.

Des combats faisaient rage dehors. De son poing de vue, derrière la grille d’aération, les petits eux innocent de la jeune fille pouvaient admirer l’horreur de la mort. Comment faisait-elle pour rester impassible… Des bras gisaient sur le sol, des têtes étaient fracassées sur les pavés de la ville. Des corps ouverts, brûlés, mutilés, violés, se laissait plaindre dans les rues. Un tableau d’horreur qui se tachait de sang, un peu plus à chaque seconde. Les seuls shinobi qui gardait un sourire cruel et mauvais, étaient bien entendu les envahisseur qui riaient de leurs victoires toutes faite. Konoha ne semblait pas prête, konoha était déstabilisé, konoha tombait à genou. Protégé, la jeune femme n’avait que le temps d’observer tout ce qu’il se passait. Au loin, un vieil homme cherchait la fuite, il trouva la mort. Sur la droite, un shinobi violent s’empare d’une jeune femme pour la mener à l’écart dans une étroite ruelle, pauvre femme..

Soudainement, un visage hostile apparu. Deux grands yeux de terreur, deux grands yeux de haine apparurent directement devant la frimousse de la fille innocente. Il haussa les sourcils, aguicheur. « ..Je t’ai trouvé ma mignonne ! Tu viens jouer av.. » Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase, qu’une poing armé de clou vint lui broyer le crâne. Le poing avait compressé la tempe, la tête s’était presque explosée, un jet de sang vola sur le mur. Se déposant sur les barreaux de la grille, la jeune femme pouvait à présent goutter au sang humain. Quelques gouttelettes s’étaient déposées sur sa fine peau. Le déserteur qui venait d’apparaître n’était plus, il tomba comme une feuille dont l’arbre venait de mourir.

Un visage amical, mais semble t’il tendu apparu alors. C’était le chunnin, en retard, il était tout de même venu la retrouvé. Lui faisant un signe de tête, il s’approcha des grilles pour lui parler discrètement. Dos au mur, il s’autorisa un mouvement de tête sur le côté pour être compris et surtout pour analyser la jeune femme. Le jeune homme avait repris fois en lui, il semblait heureux de voir qu’il allait se rendre utile. Pauvre chunnin.. « Hey, c’est moi, n’est pas peur.. Celui-là ne t’embêteras plus.. Ecoute moi bien.. Maintenant tu vas me suivre, d’accord ? Je te protègerais.. Longe bien les murs, soit attentif et observe bien tout ce qui t’entoure. Ce n’est pas un jeu, Hebi. C’est gens voudrons te faire du mal.. Mais tu ne veux pas, hein ? Il ne faut pas qu’ils te voient, il ne faut pas qu’ils t’aient. Je veillerais sur toi.. Là où nous allons.. Tu seras en sécurité. Je ne peu encore rien te dire, viens.. »

Un dernier regard à droite, un dernier regard à gauche, sont regard semblait rechercher le moindre détail. A travers ses carreaux cassés, il analysait chaque fait, chaque mouvement. Un moment de silence, c’était l’instant. Aussitôt il se retourna, arracha la grille avec l’unique force de ses bras. Saisissant la gamine, il la sortit de son trou pour la mettre sur son épaule. Alors aussitôt il se mit à courir. Bouger, ne pas rester statique. L’immobilité est le début de la mort, l’homme prenait de la vitesse. Les cheveux de la jeune femme se mirent à voler au vent, soyeux et élégant. Une pointe de beauté dans un monde d’horreur. Un peu plus loin, dans l’une des ruelles, non loin de l’armurerie, il la déposa. S’accroupissant juste devant elle, il la dévisagea. « C’est bien Hebi, tu as trouvé le passage.. Je suis content, maintenant soit plus prudent que jamais, les endroits grouillent.. »

Se redressant, il observa de nouveau les environs. C’était calme, tant mieux. L’une des équipes d’attaque venait de circuler. Il avait tué l’un d’entre eux, ils reviendront certainement pour trouver une trace de leurs coéquipiers. Il fallait bouger. Se tournant vers la fin de la ruelle, il désigna du doigt cette direction. « Nous continueront là-bas… Je passerais en premier.. Ensuite, quand je te fais ce signe –lui montre un signe étrange de la main. Son index et son pouce forme un cercle distinct, pendant que les autres doigts pointes vers le haut- Tu me rejoins. Tu marche vite, tu cours si tu le peu mais surtout, reste baissé. Tu sera moins vue.. Tu as des questions ? Quelque chose à demande, un soucie ? »

[S'il te plait, j'aimerais que tu descrive plus les sentiments de la jeune femme.. Même si elle en as pas. Justement, partant de cet particularité, j'aimerais tu essay de décrire ce sentiment inexistant.. Un truc touchant, etc.. enfin après comme tu veus ;)]

(Si tu demandes à ce que je décrive ses pensées, alors c'est que j'obtiens l'effet obtenu. Désolé, mais celà ne sera, le point de vue externe est volontaire. Pas la peine d'en faire trop dans ce simple but, alors ;) )

Mignonne poupée, Hebi ne semblait pas touchée par le monde extérieure, plissant à peine les yeux sous le spectacle de Konoha mutilée par le pays de la Roche. Dans ce calme irréel, la gamine attendait le chuunin, comme il le lui avait demandé, sage et obéissante. Mais quand, brusquement, le visage hostile apparut juste devant l'ouverture, sa jolie tête recula dans un sursaut. Les sourcils relevés par la surprise, la gamine n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit que son ennemi mourrait soudainement, le crâne défoncé par son allié de Konoha. Le sang, propulsé vers son visage, entâcha sa peau pâle. Son regard restait fixe, ses pupilles s'étraicirent, durant une seconde de parfait immobilisme... puis elle soupira. Ses sourcils se froncèrent légèrement froncés, en une expression légèrement agacée, tandis que la manche de son kimono recueillait les gouttelettes de sang qui maculaient sa peau douce. Le chuunin apparut finalement à son regard. Elle lui sourit, un sourire rassurant, avant de regagner le masque de neutralité qui lui servait de visage.

Quand il finit par lui expliquer comment les choses allaient se passer, elle écoutait, attentive, aussi attentive qu'une élève studieuse face au cours passionnant de son professeur préféré, dans un silence quasi-religieux. Elle acquiessait, opinant du chef, quand il demandait si elle était d'accord, pour finalement lui dire non de la tête, quand il lui demanda si elle avait des questions. Regardant droit devant elle, vers leur objectif, l'air détachée, Hebi attendait le signal...

Il se tourna vers la ruelle encore vide. Son regard tel celui du faucon survolait les lieux. Il jeta un dernier œil sur la jeune femme, et s’élança. Ses pas ne faisaient pas le moindre son, ne soulevant aucune poussière. Bien que silencieux et discret, il restait assez rapidement. Se jetant de l’autre côté de la rue qui devait faire bien dix mètres, il s’adossa au mur et contempla une nouvelle fois les lieux.. Ça semblait vide, tant mieux. L’homme hésita un moment, quelque chose n’allait pas. Il y avait au sol, un marre de sang, comme si trois cadavres s’étaient vidés de leurs sangs. Aucune trace de déplacement n’était visible et rien ne laissait présumait que le blessé ai parcouru son chemin. Où était le ou les corps ? Un mystère pur et dur, mais il n’avait aucunement le temps de la résoudre. Finalement il se décida, pourtant quelque chose lui indiquait qu’il commettait une erreur. La quel… *Vient..*

Levant le bras distinctement, il fit le signe qui commandait à Hébi son départ. Elle devait maintenant le rejoindre comme il l’avait indiqué. Il fit un geste, que la jeune femme ne pouvait pas comprendre. Il avait écarté les bras soudainement, mais son regard fixé sur la gamine lui montrait clairement qu’il l’attendait. Elle devait se dépêcher..

Le ciel ne se voyait plus. Une épaisse fumé noir, parsemé d’étoiles rouges camouflé le ciel bleu habituel du village. Combien étaient mort au combat ? Dans cette rue aussi, des corps sans vie gisaient un peu partout. Juste à la droite, d’où allait débouler la jeune femme, des corps inertes reposaient, non pas en paix. Il arrivait, que de cet épais fumé de cendre et de braise, de fines gouttes chute comme une pluie funèbre. La guerre, la mort, l’agonie, quel horreur..

» [Combat] Armurerie de Konoha ( Idame VS Katsue )
» [Lieu] Avenue central de Konoha
» [Lieu] Prison de Konoha
» [Lieu, les toits de Konoha]
» [Lieu] Hopital de Konoha