[ Marchand ]Chez Akimitsu

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Monsieur Akimitsu:
Le vieille homme, sembla ravis de voir Idame rentrer dans le magasin. Un sourire chaleureux, paternelle, et tout de même un peu commercial s’installa alors, sur son vieux visage abîmé par le temps. Tapant des mains, il démontra à l’arrivant, la joie qu’il avait de le voir.

« Hoo ! Un jeune Shinobi ! Qu’elle est belle notre nouvelle génération, qu’elle est belle ! » On eut pu penser, que l’homme s’arrêterait là. Mais en présence d’un ninja, un ninja jeune en plus, il ne pu s’empêcher d’évoquer ses souvenirs d’autant. Ecoutant à moitié ce que le jeune garçon lui avait dit, il enchaîna rapidement, le sourire toujours aussi vivace..

« Haa, ça fait plaisir à voir, de si braves jeunes.. De mon temps, j’était aussi un bon lascar comme toi et tes p’tits copains.. C’bon vieux temps, un jour ou l’autre on l’regrette.. Mais que veus tu mon pauvre, on peu rien contr’ le temps qui passe.. Et ouai, d’ja soixante dix shuriken dans les dents.. ça passe, ça passe hein.. Et te voila déjà chunnin, à ce que j’en vois de tes vêtements.. Très jolie d’ailleurs, de notre temps nous n’avions pas systématique de tels habits pour notre promotions, vous êtes chanceux.. Enfin,…… » Il parla, parla, parla. Rien ne semblait apte à l’arrêter, jusqu’à ce que le vieille homme, se rende compte qu’il risquait de faire perdre du temps au chunnin. S’activant, il se retourna pour aller dans la réserve. Du magasin, on entendait toujours la faible voie du petit homme

« Ho ! Je parle, je parle mais comm’ j’dis.. L’temps passe, hein.. Et puis, chunnin ça à de la responsabilité hein, d’mon temps, les chunnins… … Alors, kunäi, kunaï kunaî.. Les voici.. Les shurikens sont pas loin, et voilaaa, voila la corde. » Apportant rapidement tout les objets sur le comptoir, il commença calmement à dénombrer ce qu’il allait pouvoir vendredi

« Alors, alors, alors.. Cent Yen les trois Kunaï avec cinquante Yen les dix Shuriken, et puiis.. Voila Cent Yen les vingt mètres de cordes.. Cent plus cinquante plus cent, ça fait, ça fait, ça fait.. Deux cent cinquante Yens… Voila mon jeune homme c’est à toi » Lui tendant les objets, il attendait la somme d’argent, que lui devait maintenant le chunnin…

[Mise à jours, prochainement. Attention, prix plus important sur certains articles. Contactez moi par Mp, d'ici là..]

Monsieur Akimitsu:
Le vieille homme ricana en écoutant les agréables et courtoises paroles d’Idame. Se frottant les mains, amusé, il plaisanta

« Fait donc, fait donc mon petit… je ne te retiens pas.. Moi aussi, on dirait bien que le travaille m’appelle. » S’en allant avec ses petites jambes, dans la petite réserve, il commença à amasser les demandes de Sitael. De l’autre bout du magasin, on l’entendait rugir les quelques champs de guerre qu’il connaissait encore. Sa petite voie frêle, résonnait presque dans tout le magasin. Le vieil semblait plein de vie, depuis qu’il avait ouvert ce nouveau magasin. Idame était semble t-il l’une de ses victimes avec lequel il partageait les conversations de souvenir. Peut-être Sitael, lui, arrivera t-il à se sauver avant l’enclenchement du processus ?

Arrivant à vive allure, objets encombrant dans les bras, derrière le comptoir, il commença à charger celui-ci. Décomptant les différents articles qu’il avait prit, il réfléchissait à haute voie. « Alors, alors vieille tête, est-ce que tu as tout prix.. gants d'étouffement, des chaussettes de poids et une ceinture de poids.. Voila la veste d’entraînement et.. des kunaï ? Maudite tête soit-tu, soit tu prend trop, soit tu oublie ! »

Saisissant les armes, il alla les rangers rapidement derrière le mur qui séparait magasin et réserve. Revenant hâtivement, sur ses courtes pattes, il commençait déjà à compter ses ventes, les affaires marches !
« Gants d’étouffement, entraînement de Ninjutsu pour 800Y, Chaussette de poids pour les cuisses, combien… combien.. ah ! voila 500Y.. Ceinture de poids, 300Y et la ‘belle’ (<-faux) veste d’entraînement de 1000Y.. Oullala, pauvre tête, pauvre tête te trompe pas.. Huit cent Yens, plus cinq cent yens plus, trois cent plus, mille.. le tout, le tout fait 2.600Yens.. oui c’est cela, 2.600 Yens s’il vous plait jeune homme.. Voici qui est à vous.. Qu’c’est beau de tels attiraille, avant j’avait pas tout ça. Ma vieille bure qui me servait de manteau, que c’était misérable. Nous étions pauvres voyez vous » Pas un véritable miracle, il en conclut là. Attendant simplement sa monais, et laissant parler les deux jeunes gens, il laissa place au commercial et à la courtoisie..

Go entra dans le magasin. À peine rentré, que ses yeux s'agrandirent et s’illuminèrent. Tant d’armes, d’objets et d’équipements faisaient que Go se sentait comme un enfant dans une chocolaterie. Il ne prit même pas le temps de saluer le vieux commerçant qu’il se précipita sur les tablettes remplis d’équipement en tout genre. À peine qu’il s’eu émerveiller devant une pièce d’équipement, qu’il s’ahurissait devant une autre. Il se garda bien des touchers, le commerçant n’apprécierait sûrement pas. Son regard venait de quitter une tablette remplie de double kunaï que son regard resta collé sur ce qui lui semblait être la plus merveilleuse chose qu’il est jamais vu : Un poing kunaï. Ces morceaux d’acier si finement travaillés, semblaient être fait pour le combat. Il s’imagina tout ce qu’il pourrait faire avec une telle arme. Protéger ceux qu’il aime serait une partie de plaisir avec cela. Il tenta de voir le prix, mais contrairement à la majorité des articles du magasin, le prix ne se trouvaient nulle part. Go fut déçu. Il se dit qu’un tel objet devait coûter la peau des fesses. Il détourna son regard de cet objet splendide, à la recherche d’autre butin, mais dans sa zone de prix maintenant. Encore une fois, il vit les plus beaux objets du monde, des vêtements dédiés à l’entraînement du taijutsu. Trop cher, encore une fois. Finalement, il trouva un objet, dans sa zone de prix, qui répondait assez bien à ses exigences. Il s’agissait de gant en cuir noir, équipé de petits clous aiguisés. Il en essaya une paire qui semblait être de sa grandeur. C’était plutôt confortable, le gant se portait bien même avec ses bandages qui montait jusqu’aux jointures. Il serra et desserra le poing à plusieurs reprises. Cela le convint, il lui fallait ses gants. Il ôta les gants et se dirigea vers le comptoir. Au passage, il prit une sacoche, un étui à kunai et un havresac. Au comptoir, il déposa les quatre articles.

-Ohayo! Il me faudrait aussi trois kunai et dix shurikens s’il vous plait!

Il regarda autour de lui et dit, presque timidement.

-L’arme là…dit-il en pointant le poing kunai, qu’est-ce que c’est?


[HRP : Récapitulatif des achats :
-Une paire de gantelet clouté : 100Y
-Une sacoche : 40Y
-Un étui à kunai : 50Y
-Un havresac : 60Y
-Trois kunai : 100Y
-Dix shurikens : 50Y
Pour un grand total de 400Y]

[ Edit de la liste des armes et objets en tout genre : augmentation de certains prix pour des raisons de régulation de l'armement. Merci à tous. Elle entrera en jeu après la vente de Go ]

Monsieur Akimitsu:
Les affaires, les affaires !
Le porte feuille du vieil homme se remplissait. Se frottant les mains, il écouta le jeune genin prononcer sa petite liste. Le sourire toujours aussi chaleureux, il acquiesça et se rendit plus que rapidement dans la réserve. Article après article, il prit avec soin tout ce dont on lui avait demandé. « ..il y a des shinobi, de plus en plus jeune.. Ceux-ci n’ont pas quinze printemps, bientôt des nourrissons partiront à la guerre, c’est inouï.. Mince, où j’ai mis les sacoches.. Ah, les voila !.. J’arrive, j’arrive mon enfant.. »

Rappliquant avec tout l’objet dans les bras, il déposa tout sur le comptoir et fit ses comptes. Organisant les articles qu’il allait vendre par type, il en profita pour faire le point du ses réserves. Tout d’un coup, un voie presque timide vint l’interrompre. Pointant du doigt un point Kunaï, le jeune Go lui réclama des informations à son sujet. L’air toujours joviale, le vieille homme alla décrocher l’arme. L’enfilant au poing, il se montra comme menaçant, mais toujours amusé

« Ceci mon garçon est un point Kunaï.. Comme le kunaï, il sert à tout et à rien, et comme on peut le mettre au point, il sert particulièrement à frapper.. C’est une arme dévastatrice ! Ca broie la chair et brise les os, faut faire gaffe avec ces trucs là.. Je ne les vend pas aux étudiants.. Trop fougueux et inconscient.. De mon temps, l’arme n’était pas élaborée de la sorte. Plus arrondis, plus naturelle, c’était fait principalement d’une terre qui discutait à la chaleur.. Très efficace dans les champs de guerre.. Oui, oui très belle arme. Bien utile lorsque l’ont sais bien se battre.. Voyez vous, une fois je suis partit combattre dans les pays du nord. Un vieux guerrier, Lee-shin-wong portait aux poignets….. » La bombe fut amorcé. Le vieil homme s’anima devant le Genin, qui ne pouvait plus l’arrêter. Il lui compta l’histoire d’un homme qui maîtrisait parfaitement ce type d’arme. D’après ses dires, personnes n’avaient eut l’audace de le toucher, il était redoutable. Par la force des choses et avant que la guerre n’entre en scène, ces deux hommes furent semble t-il amis.. Soudain, alors qu’il racontait avec passion ses souvenirs, il s’éveilla et se rendit compte que le jeune homme n’avait pas que ça à faire

« Ho, excuse moi mon petit.. Je parle, je parle, et toit tu glandouilles… Allez, roule jeunesse.. Par contre n’oublie pas de me payer, ça m’arrangerais.. Oui, tout ceci fera 400Yens s’il te plait » La main tendu, le sourire présent, le vieille homme patienta..

Go buvait littéralement les paroles du vieux commerçant. Il s'épatait devant chaques faits qu'il avait fait durant son jeune temps.

-Waouh! Il fait vraiment que je vive des aventure comme ça!

Même si Go était fasciné par les exploits du vieux, celui-ci s'arrêta de parler au grand désespoir de Go. Il fut quand même déçu du fait qu’il ne vendait pas ce type d’arme au jeune. Il se promit de revenir un coup qu’il aurait acquis plus d’expérience. Il sortit les 400Y qu’il devait, paya, et sortit du magasin en saluant le marchant.

Mitsuhide entra dans le magasin les mains dans les poches. Il allait commencer son entraînement avec ses coequipiers prochainement et il devait être prêt à tout. Il avait paumé son matériel en faisant un Kinobori au dessus d'un ravin lords de la dernière mission de rang C, donc sa va lui coûter cher de tout ravoir. Il avança vers le comptoir et sortit de sa poche une liste.

''Salut. Je prendrais: 6 kunais, 40 shurikens,20 fumigènes, un étui à Kunai, un havre sac, une sacoche, 8 bombes aveuglantes et 15 sembons s'il vous plaît.''

Il avait fait le calcule et il devrait lui en rester assez pour s'acheter à bouffer au restaurant de ramen.

*Tout cet argent pour racheter ce que j'avais déjà la pouasse.

Monsieur Akimitsu:
Le vieille homme, toujours aussi ravis d’accueillir un client, invita le jeune homme à approcher, bras ouvert. Alors que le jeune garçon lui dictait une liste d’article, l’homme l’observait avec stupeur. Pauvre tête folle ! Comment se rappellera t-il de tout ce qu’il fallait prendre. Tant d’article qui allait disparaître de ses stock, tant d’argent qui allait remplir ses bourses.. La dure loi du commerce. Mais, Monsieur Akimitsu, lui, n’en n’était pas malheureux. Bien au contraire, on lisait sur son visage un malin plaisir. Précipitamment, il se baissa, ouvrit un tiroir, prit un bloc note et un crayons.

« Oula, Oula, Attention mon garçon, je ne pourrais jamais tout retenir.. Tu sais, l’âge fait des ravages. Laisse moi au moins le temps d’écrire ce que tu souhaite acheter. Alors, alors, Six kunaï, soit deux lots de trois…. Quarante shuriken, soit quatre lots de dix…. Vingt fumigènes à vingt Yens l’unité…. Un étui à Kunaï…. Un havre sac…. Une sacoche…. Huit bombes aveuglantes à vingt Yens l’unité…. Trois lots de cinq Sembon… Et bien, et bien, je ferais plusieurs voyage » Partant déjà au travaille, il commença, dans la réserve, à réunir les articles. S’organisant comme il pouvait, il procéda avec méthode. Dans un premier voyage, il apporta les armes coupantes. A savoir surtout les shurikens, qui sont, ici, en grand nombre. Ensuite, il rapporta les objets pointus comme les Kunaï et les Senbon. Et enfin, il apporta le reste.. Calmement, il fit ses comptes pour ses stocks, et pour le jeune garçon qui attendait l’addition. Pendant ce temps, le vieille homme ne pouvait s’empêcher de raconter quelques histoires qu’il avait vécus…

Enfin, quand les calculs fut terminé, il résuma au jeune homme…
« Alors, mon enfant.. Deux lots de kunaï à 100Yens font deux cents Yens ; Quarante shurikens à cinquante yens les dix font 200Yens ; Vingt fumigènes à vingt Yens font 400Yens ; Huit aveuglantes à vingt Yens font 160Yens ; Trois lots de Sembon à Cinquante Yens les cinq font 150Yens ; L’étui à Kunaï fait 50Yens ; Le Havre Sac fait 60Yens ; et enfin la sacoche est à 40Yens.. Donc, cent plus deux cent, plus quatre plus cent soixante ; plus cent cinquante, plus cinquante plus soixante plus quarante… Mille cent soixante Yens.. s’il te plait »

La main tendu, le sourire présent, le vieille homme attendit ses 1160Yens.. Le jeune homme pouvait prendre les objets qui lui appartenait..

Monsieur Akimitsu:

Un sourire désolé, l’air joviale, il répondit à Mitsuhide.

« Aaaahh.. Non, désolé gamin.. Ce serais une bibliothèque, je ne dis pas.. Mais même si je serais capable d’utiliser ce livre pour le combat, ce n’est pas dis que je puisse le vendre pour autant.. Je te suggère donc, de retirer 60 Yens de tes achats. » Le petit sourire toujours et encore présent, il se tourna vers le nouvelle arrivant qui se précipita sur le comptoir. Le ville homme le regarda d’un air étrange

« Pauvre enfant, respire, respire.. Je n’ai absolument rien compris.. Pauvre, pauvre.. Tellement de pression sur de si jeunes épaules ! D’où sort tu ainsi ? De l’entraînement ? Tu sais, il existe le repos qui fait aussi partit de l’entraînement.. Allala, mais les temps changes. Les dieux s’acharnent sur nous, pauvres mortel, de plus en plus jeune. Mais que pouvons nous.. Nous devons poursuivre ce long chemin qu’est la vie.. Quoi que longue, tout dépend de qui nous parlons. Certains meures bien avant d’avoir vue le jours.. Ça me rappelle une petite anecdote. Nous étions dans les pays du sud, lorsque… » La machine, se remit en route. Des histoires, le vieil homme en avait toute une vie. Ignorant son entourage, il parla, parla, parla. L’anecdote traitait d’une mission t'escorte, dans les pays du sud. Une très grande ambassadrice, enceinte, qui devait changer de terres sous penne de mort. Le vieille homme ainsi que ses compagnons, avaient, semble t-il mis leurs vie en danger, pour protéger la jeune mère.. L’histoire fut longue, longue, presque inintéressant pour les deux jeunes présents dans la boutique. Un peu comme ce message, mais l’intérêt est là.

Terminant sont histoire, il réalisa qu’on l’attendait. S’excusant, il demanda à Dokara, ce qu’il désirait en prenant le temps de lui demander de respirer..

[Tensui vient du lieu: La rivière Argentée]
Tensui kiryoku:

Les mains dans les poches, manches retroussées, l’air calme, Tensui poussa calmement la porte du magasin. La personne impulsive, mouvement et active qu’il était semblait s’être camouflé, endormis, et pour cause ce dernier était apaisé : il sortait de l’entraînement. Annonçant distinctement une formule de politesse, il s’infiltra entre les rayons. Observant les différents articles, il commençait à rêver devant des objets de valeur. Il se demandait, si un jour il possèderait la moitié de ces armes, et encore mieux, si un jours il saurait les utiliser efficacement. Il s’attarda un moment, sur les objets d’entraînements qui était proposé. Il trouva le choix limité, mais trouva son bonheur dans la grosse ceinture de poids et les chaussettes d’entraînement. Il fit très rapidement une fixation dessus. Droit, la main droite collée sur le menton, l’air soucieux il calcula les différents prix des articles qu’il désirait.

Il se rendait clairement compte, qu’il ne restera plus énormément d’argent. Que faire ? Dépenser, ne pas dépenser, le choix était dur. Prix d’un élan de folie, il s’empara des objets, qui faisaient leurs poids. En fait, prenant la catégorie la plus lourde, il eut presque du mal à soulever le tout. Une goutte de sueur froide coula le long de son dos, lorsqu’il réalisa qu’il devrait les porters. Etrangement, son corps refusa catégoriquement de retourner en arrière pour changer la quantité de poids.. Le pas lourd, s’efforçant de rester droit pour ne pas se tasser le dos il déposa lourdement le tout sur le comptoir qui résonna. Patientant, il savait combien il débourserait pour ces deux objets, et connaissait le troisième article qu’il allait devoir réclamer. Voyant le vieil homme occupé, il attendit..


Monsieur Akimitsu:
L’homme fit signe à Tensui d’attendre, pendant qu’il traitait avec l’une des deux personnes déjà ici. S’emparant des grenades, avec ses mains fripées, il n’oublia pas à noter sur un petit bloc-note qu’il venait de perdre 60Yens. Maudits moyens de Genin, tanpi, il en avait déjà bien assez. Donnant tout le reste au jeune garçon, il lui souhaita une agréable journée et lui fit le vœu de le revoir prochainement. Laissant de côté, Dokana qui semblait apparemment en train de reprendre son souffle, il accorda un moment à Tensui. Se tournant vers lui, il constata son allure

« Ooh ! Tensui, comme tu as grandit. Tu n’est pas un acheteur toi, hein.. Tu préfère t’entraîner, n’est-ce pas ? C’est bien, c’est bien, le combat, l’art de vivre, l’art martial.. il n’y a que ça de vrai, non ? En plus, tu n’as que quinze ans, ne te laisse pas avoir que d’autres, tu seras bon.. Tu me rappelle un jeune garçon que j’ai cotoyer.. Comment s’appelait t-il.. hummm.. je ne sais plus.. arh, peu importe.. Il était brave, et son cœur était pur. Il connaissait son corps, mieux que n’importe qui. Aucun Ninjutsu ne pouvait l’atteindre, ahh ! C’était impressionnant.. Ce pauvre jeune garçon s’est fait duper, et il s’est fait tué durant son sommeil.. C’est vraiment moche, je te jure !! Tu dois faire attention ! Tiens, une autre histoire me vint à l’idée. Dans les pays du sud, toujours, un vieux sage avait pour apprentis, un très jeune enfant. Il lui dévoila tout son savoir, qui…. » Les paroles coulaient de sa bouche, comme l’eau ruisselle entre la roche. Mais combien d’histoire, combien d’aventure ce vieil homme avait vécu. Pourtant interressante, il stoppa son aventure pour se retourner vers Dokana. Le pauvre, il devait se débarrasser de Tensui.

Saisissant les deux objets de masse pour enlevés leurs signes macketing, il commença à faire ses comptes sur le vieux bloc note. Mais alors, discrètement, Tensui leva la main pour l’interrompre, ce qu’il fit. Le jeune chunnin réclama avec, une jarre de Saké. Impressionné, mais conscient de son âge et de sa certaine sagesse, le vieil homme s’exécuta. *Pauvres petit, ils se mettent à boires de plus en plus tôt.. Bientôt le lait ne servira plus aux nourrissons..* Apportant la jarre, il refit ses comptes.

« La ceinture de poids à 300Yens, les chaussettes de poids à 500Yens, la jarre de Saké, 125cl à 200Yens, et bien le tout fait 1000Yens tout pile.. Donc mille yens s’il vous plait » Commençant à tendre les objets, il s’apprêtait à recevoir l’argent.

Tensui kiryoku:

Ouvrant son porte monais, plein, il constata que si, lui, allait gagner quelques kilos, son porte feuille allait en perdre lui. Tendant les mille fameux yens qui ne représentait, après tout, qu’une longue année d’économie, il commença à s’équiper dans le magasin. Enfilant la ceinture, il sentit sa musculation se contracter pour soutenir cette nouvelle masse. Se pliant en deux, il s’abaissa pour enfiler les chaussettes, qui étaient prévus pour être mis et enlevé. Une fois ces quelques dizaines de kilogrammes de rajouté, il accrocha soigneusement la jarre de bois à sa ceinture.

Une fois ceci fait, il commença à partit. Un pas après l’autre, laborieux, il se dirigea vers la sortit. Faisant un dernier signe au vendeur, il lui présenta ses respects. Calmement, obligé de l’être, il s’en alla, retournant à l’entraînement.
[Tensui se rend au lieux: Le vieil arbre vert de konoha]

[Gomen Nasaï pour le temps de réponse]


Monsieur Akimitsu:
Alors que le jeune Nara lui exposait tous les articles qu’il désirait, le vieil homme s’empressa d’aller écrire tous les prochains qui allaient sortir du magasin. Il prit le temps, par ailleurs, de vérifier chaque prix de chaque objets, cette homme vie de ce qu’il vend.. « Alors, alors. Que prends tu de beau mon enfant… je vois, tu prend le meilleur des lance fléchettes. C’est ce qui se fait de mieux, un coup de point, et paff, deux fléchettes dans la gorge.. Très redoutable, mais il va te falloir travailler tes lancés, ce n’est pas très facile au début. Avant, nous n’avions pas ce type d’arme.. Un morceau de bamboo, une fléchettes et c’était bon.. Mais c’était certes bien moins précis et moins discret.. »

Terminant d’écrire, il s’empara de la somme d’argent, que lui tendait le Nara. S’inclinant de par ailleurs, il le remercia ‘être venu. « Merci bien mon garçon, tout ceci t’appartiens à présent.. Passe une bonne journée »

Enfin, il se tourna vers Dokana qui patientait. Ayant pleinement repris ses esprits, il répéta ses besoins. Rapidement, le vieil homme prit note pour aller se réfugier une nouvelle fois dans les réserves. Parlants à haute voix, il préparait ce qu’il allait apporter au jeune garçon. « Allez, allez vieille tête n’oublie rien.. Donc, le lot de trois kunaï, ici. Le lot de dix shuriken, là. La fumigène, la bombe aveuglante, je vais les mètres dans l’havre sac.. Voila.. Non, si, mais non j’ai bien mieux.. Procédant intelligemment. Je mets tout dans le sac, tôt ou tard ce sera fait. Il ne reste plus que la corde.. Qui est ici, voila »

Le vieil homme rassembla tout les article dans le sac à dos, qu’il ferma. Apportant le contenant à Dokana, il fit ses comptes en proclamant. « J’ai tout mis dans ton nouveau sac.. Tu peu évidemment vérifier. Donc, le lot de trois kunaï est à 100 yens, celui de dix shuriken est à 50 yens. Le fumigène et l’aveuglante sont toutes deux à vingt yens, ce qui fait 40 yens. La corde simple fait 100 yens, et l’havre sac 60 yens.. Si ma tête malade et folle ne me joue pas de tours, le tout fait 350 yens.. »

Tendant la main le sourire agréable aux lèvres, il attendit l’argent qui lui était destinée..

La jeune genin entra. A son habitude elle avait un sourire jovial. Elle regarda la vieux monsieur le regard emplie de respect. elle fit le tour de l'étalage rapidement, détaillant ce qui pourrait lui plaire dans la limite de se que contient sa bourse. elle compta son argent devant le vieux monsieur.

*Bon pas plus de 500, garde en un peu*

Puis elle fit la queue une fois devant le marchand elle dit:

"Bonjour monsieur, je suis genin ici et j'aurai aimé me ravitailler...

Il me faudrait une paire de gants cloutés, dix shurikens, un Kage Fusha et trois kunais si il vous plaît."

*elle compta mentalement 525 ryos normalement.*

De ce fait elle prépara la monnaie.

Monsieur Akimitsu:
Le vieil homme accueillit la jeune femme, bras ouvert.

« Ooh ! Une demoiselle ! De nos, temps, c’était tout de même rare. Il était dit que la guerre était réservée au homme. Uniquement une poigné partait au combat.. Vous savez, la plus part des femmes travaillaient dans les magasin, comme je le fait aujourd’hui à cause de mon grand âge.. Vous me rappelez d’ailleurs, un très belle shinobi que j’ai connu sur un champ de bataille. On la disait aussi redoutable que la foudre, et ce n’était pas des mensonges. On dit, que de part leurs endurances et leurs souplesse, les femmes sont meilleur au combat que les hommes.. Je ne certifie pas, mais ne désapprouve pas… D’ailleurs, ceci me rappelle quelque chose.. C’était.. Où était-ce déjà ? Ah, oui ! Voila, je m’en souvient. Dans les pays de l’est. Je n’y suis pas allé souvent, mais du peu que j’y suis allé, j’y est eut des choses à faire. Voyez vous, nous devions protéger une embarcation, où une shinobi de renom devait traversait une région comme, tropical.. Et puis…… » Il se permit de raconter à la jeune femme, l’histoire qu’il avait vécu. Apparemment, il prenait un malin plaisir à lui raconter sa vie, comme il le faisait à tant d’autres personnes. Pressé ? Il ne faut jamais, au non jamais être pressé en entrant dans ce magasin. Les mots et les lettres s’écoulant comme une eau de roche, il est alors impossible d’en placer une. Une fois la machine lancée, il ne pouvait s’arrêter. Continuant à compter son récit, il se dirigea calmement vers la réserve, d’où il allait apporter les nouveaux biens de la jeune femme. En deux voyages, il pu apporter au comptoir les demandes de la jeune femme. Depuis, il avait dérivé sur un autre sujet de conversation. La genin n’avait pas encore pu en placer une..

« ..et oui, c’était comme ça.. Excusez moi, je fais mes comptes, alors, alors. J4ai tout notée ici.. Voila, ici .150 yens, les gants cloutés ; 50 yens les dix shurikens ; 225 yens le magnifique Kage fuma ; et enfin 100 yens les trois kunaï… donc, attendez les calcules me vont mal.. alors, alors, alors.. Le tout fait 625 yens s’il te plait.. Voila, et ce tout est à toi. » L’œil douteux, il se tourna vers son calepin. Quelque chose n’allait pas. Vérifiant, il décela dans ses comptes une erreur, il s’en excusa

« Oh, Oh, attend deux minutes.. Excuse moi. Le tout fait bien cinq cent vingt cinq yens. Je me suis égaré parmi les chiffres.. Donc c’est bien cinq cent vingt cinq yens pour ce tout.. S’il te plait bien entendu.. » Un nouveau sourire chaleureux, presque paternel, il attendait l’argent..